Quetelet, statisticien et sociologueInstitut supérieur de philosophie, 1912 - 564 Seiten |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
1er mars 2º série Adolphe Quetelet ANNALES DE L'OBSERV année astronomiques Belgique Bibl bourgmestre BULL Bulletins calcul des probabilités causes centrale de statistique Commission centrale Congrès international CORRESP criminelle décembre développement documents Essai étoiles filantes étude Ewyck Falck février gouvernement Guerry Herschel ibidem insérées international de statistique j'ai janvier John Herschel Journal des séances juillet Knapp L'ACAD l'Académie royale l'année l'ANNUAIRE l'arrêté royal l'astronomie l'homme moyen l'Observatoire de Bruxelles Laplace Lettre à Bouvard Liedts loi binomiale lois Mailly MATHÉM mathématiques et physiques MÉM ment météorologie ministre de l'intérieur moyenne typique Notice NOUV observations octobre ouvrage Pays-Bas penchant au crime phénomènes périodiques PHYS physique du globe Physique sociale première qualités physiques rapport recherches statistiques régularité résultats REVUE ENCYCLOPÉDIQUE royale de Belgique Royaume des Pays-Bas savant belge sciences morales scientifique Smits sociologie STAT statisticiens Statistik statistique administrative statistique morale système social tables de mortalité température théorie des probabilités tion Villermé Visschers
Beliebte Passagen
Seite 97 - mouvements des plus grands corps de l'univers et ceux du plus léger atome : rien ne serait incertain pour elle, et l'avenir comme le passé, serait présent à ses yeux. L'esprit humain offre dans la perfection qu'il a su donner à l'astronomie, une faible esquisse de cette intelligence...
Seite 159 - premier emploi que Condorcet soulignait dans l'ouvrage connu de Comte : « L'homme peut prédire, avec une assurance presque entière, les phénomènes dont il connaît les lois ; lors même qu'elles lui sont inconnues, il peut, d'après l'expérience du passé, prévoir avec une grande probabilité les événements de l'avenir
Seite 175 - à l'homme. Plus les lumières se répandent, plus les écarts de la moyenne vont en diminuant ; plus, par conséquent, nous tendons à nous rapprocher de tout ce qui est beau et de tout ce qui est bien. La perfectibilité de l'espèce humaine résulte comme une conséquence nécessaire de
Seite 164 - Gang derselben entdecken könne : und dass auf die Art, was an einzelnen Subjekten verwickelt und regellos in die Augen fallt, an der ganzen Gattung doch als eine stetig fortgehende obgleich langsame Entwicklung der ursprünglichen Anlagen derselben, werde erkannt werden können. So scheinen die Ehen, die daher kommenden Geburten und das Sterben, da der freie Wille der Menschen auf sie
Seite 169 - à l'égal des autres phénomènes de l'univers, comme soumis au grand principe du déterminisme. « Cet axiome, connu sous le nom de principe de raison suffisante, s'étend aux actions mêmes que l'on juge indifférentes. La volonté la plus libre ne peut, sans un motif déterminant, leur donner naissance
Seite 52 - que plus les sciences physiques ont fait de progrès, plus elles ont tendu à rentrer dans le domaine des mathématiques, qui est une espèce de centre vers lequel elles viennent converger. On pourrait même juger du degré de perfection auquel une science est parvenue, par la facilité plus ou moins grande avec laquelle elle se laisse
Seite 159 - Deux principes absolument opposés doivent servir de base à la politique positive : il faut concevoir, d'une part, « l'organisation sociale comme liée avec l'état de la civilisation et déterminée par lui » d'une manière * nécessaire » ; et, d'autre part, « la marche de la civilisation comme assujettie à une loi invariable fondée sur la nature des choses
Seite 97 - de Cournot : la statistique est « la science qui a pour objet de recueillir et de coordonner des faits nombreux dans chaque espèce, de manière à obtenir des rapports numériques sensiblement indépendants des anomalies du hasard, et qui dénotent l'existence de causes régulières dont l'action s'est combinée avec celle des causes fortuites
Seite 152 - Plus le nombre des individus que l'on observe est grand, plus les particularités individuelles, soit physiques, soit morales, s'effacent et laissent prédominer la série des faits généraux qui dépendent des causes en vertu desquelles la société existe et se conserve