Oeuvres complètes, Band 7Debarle, 1798 |
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... terre et de l'onde Obéit à sa loi , Si devoit il juger qu'il n'avoit rien au monde Qui fût si grand que toi . Mais ni ton nom fameux jusqu'aux bords d'où l'aurore Se lève pour nous voir , Ni tes justes regrets , ni tes beaux vers encore ...
... terre et de l'onde Obéit à sa loi , Si devoit il juger qu'il n'avoit rien au monde Qui fût si grand que toi . Mais ni ton nom fameux jusqu'aux bords d'où l'aurore Se lève pour nous voir , Ni tes justes regrets , ni tes beaux vers encore ...
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Publius Ovidius Naso. + vant souffrir que mes cendres soient ensevelies dans la terre des Sarmates . Lorsque je me représente jusqu'où s'étend la clémence d'Auguste , je crois pouvoir espérer un port tranquille après tant de naufrages ...
Publius Ovidius Naso. + vant souffrir que mes cendres soient ensevelies dans la terre des Sarmates . Lorsque je me représente jusqu'où s'étend la clémence d'Auguste , je crois pouvoir espérer un port tranquille après tant de naufrages ...
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... terre ; qu'il soit encore long - temps chargé du gouvernement de l'empire , et qu'en- suite il le transmette ( 7 ) de main en main à sa glo- rieuse postérité . $ 1 Mais vous , Maxime , ne craignez point de parler devant un juge dont je ...
... terre ; qu'il soit encore long - temps chargé du gouvernement de l'empire , et qu'en- suite il le transmette ( 7 ) de main en main à sa glo- rieuse postérité . $ 1 Mais vous , Maxime , ne craignez point de parler devant un juge dont je ...
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... terre est presque toujours couverte de neiges . Ici les campagues ne portent ni fruits ni raisins ; on n'y voit point reverdir les saules sur le bord des rivières , ni les chênes sur les montagnes . Et qu'on ne s'imagine pas que la mer ...
... terre est presque toujours couverte de neiges . Ici les campagues ne portent ni fruits ni raisins ; on n'y voit point reverdir les saules sur le bord des rivières , ni les chênes sur les montagnes . Et qu'on ne s'imagine pas que la mer ...
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... il de plus fort qu'un bœuf ? Une terre qui ne s'est jamais re- posée ( 3 ) , s'épuise enfin à force de porter tous les ans . Un cheval qu'on fera servir continuelle- * ment et sans relâche dans les combats du cirque 86 LES PONTIQUES.
... il de plus fort qu'un bœuf ? Une terre qui ne s'est jamais re- posée ( 3 ) , s'épuise enfin à force de porter tous les ans . Un cheval qu'on fera servir continuelle- * ment et sans relâche dans les combats du cirque 86 LES PONTIQUES.
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Seite 428 - ... non potes avelli. simul hinc, simul ibimus," inquit, „te sequar et coniunx exulis exul ero. et mihi facta via est et me capit ultima tellus; accedam profugae sarcina parva rati. 85 te iubet a patria discedere Caesaris ira, me pietas. pietas haec mihi Caesar erit.
Seite 429 - Bientôt autour de moi je sens ses faibles bras : Non, cruel, non, ta perte entraînera la mienne. Penses-tu loin de toi que Rome me retienne? Compagne de tes pas comme de tes malheurs , Au bout de l'univers j'irai sécher tes pleurs. César t'a condamné , ton épouse est proscrite ; César veut ton exil , et l'amour veut ma fuite. Je te suis...
Seite 424 - Ut, quod vos scitis, poenae quoque sentiat auctor! 40 Placato possum non miser esse deo.' Hac prece adoravi superos ego, pluribus uxor, Singultu medios impediente sonos.
Seite 429 - Compagne de tes pas comme de tes malheurs, Au bout de l'univers j'irai sécher tes pleurs. César t'a condamné, ton épouse est proscrite ; César veut ton exil, et l'amour veut ma fuite. Je te suis. .Mais hélas ! malgré tous ses efforts, Un devoir rigoureux m'arrache à ses transports. Désolé, l'œil en pleurs, et la vue égarée, Entre les bras des siens je la laisse éplorée ; Elle tombe, et j'ai su qu'en ces affreux instans, Les ombres de la mort la couvrirent Jong-temps.
Seite 431 - L'instant de mon trépas , ou ma fille expirée , D'un plus vif désespoir ne l'eût pas pénétrée. Sa douleur mille fois aurait tranché ses jours ; L'espoir de m'être utile en prolongea le cours. Dieux, qui nous séparez, prenez soin d'une vie Qui conserve la mienne au fond de la Scythie. Mais le gardien de l'Ourse ensevelit ses feux Dans les Qots agités par son astre orageux.
Seite 433 - Du ciel rempli d'éclairs les voûtes allumées Semblent fondre en éclats dans les mers enflammées. Tremblant, désespéré , le chef des matelots Laisse le gouvernail à la merci des flots. Telle une main trop faible abandonne l'empire Du coursier indompté qu'elle ne peut conduire. Le rapide Aquilon , plus fort que mon devoir , Nous ramène aux climats que je ne dois plus voir. Loin des bords d'Illyrie , à travers les nuages , L'Italie à nos yeux découvre ses rivages. Vents , ne combattez...
Seite 433 - C'est assez contre moi des traits de Jupiter. Souffrez que, dans l'exil terminant ma carrière , Une tranquille mort me ferme la paupière , Du plus affreux trépas daignez me préserver.
Seite 423 - Jl or qui vis mes beaux jours s'éclipser dans tes ombres, Toi qui couvris mes pleurs de tes nuages sombres, O nuit! cruelle nuit témoin de mes adieux, Sans cesse ma douleur te retrace à mes yeux. -. Bientôt du haut des airs l'amante de Céphale Alloit de mon départ fixer l'heure fatale.
Seite 431 - Sont le jouet de ronde et succombent aux vents. Du ciel rempli d'éclairs les voûtes allumées Semblent fondre en éclats dans les mers enflammées. Tremblant, désespéré, le chef des matelots Laisse le gouvernail à la merci des flots. Telle une main trop foible abandonne l'empire Du coursier indompté qu'elle ne peut conduire. Le rapide aquilon, plus fort que mon devoir, Nous ramène aux climats que je ne dois plus voir. Loin des bords d'Illyrie, à travers les nuages, L'Italie à nos yeux découvre...
Seite 423 - L'usage de mes sens tout à coup suspendu Dérobe à mes apprêts le temps qui leur est dû. Mon cœur ne peut gémir, ordonner, ni résoudre. Semblable à ce mortel qui voit tomber la foudre, Et qui , frappé du bruit , environné d'éclairs , Doute encor de sa vie , et croit voir les enfers.