Oeuvres complètes, Band 7Debarle, 1798 |
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... rend l'Italie C'est - là Digne de ton mépris . que le soleil ne voit point naître d'homme Que l'on puisse blâmer . D'ignorer ce bel art que tu montrois à Rome Pour savoir bien aimer , Leur cœur est si sensible , et leur ame si prompte A ...
... rend l'Italie C'est - là Digne de ton mépris . que le soleil ne voit point naître d'homme Que l'on puisse blâmer . D'ignorer ce bel art que tu montrois à Rome Pour savoir bien aimer , Leur cœur est si sensible , et leur ame si prompte A ...
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... rend si fiers , ce sont leurs arcs et leurs carquois toujours bien pourvus de flêches ; ce sont leurs chevaux infati- gables dans les plus longues courses , et l'habi- tude qu'ils ont contractée de souffrir patiemment la faim et la soif ...
... rend si fiers , ce sont leurs arcs et leurs carquois toujours bien pourvus de flêches ; ce sont leurs chevaux infati- gables dans les plus longues courses , et l'habi- tude qu'ils ont contractée de souffrir patiemment la faim et la soif ...
Seite 41
... rend avec usure la sémence qu'il a reçue . Paint du tout , rien moins que cela : parcourez tous mes écrits ; nul d'entr'eux ne m'a fait de bien , et quelques - uns m'ont fait beaucoup de mal . • Vous vous étonnez donc après cela que j ...
... rend avec usure la sémence qu'il a reçue . Paint du tout , rien moins que cela : parcourez tous mes écrits ; nul d'entr'eux ne m'a fait de bien , et quelques - uns m'ont fait beaucoup de mal . • Vous vous étonnez donc après cela que j ...
Seite 46
... rend insensible aux maux d'autrui ; rien ne convient moins à des mœurs aussi douces et aussi polies que les vôtres . Les sciences mêmes dont vous faites profession , y sont fort opposées . Oui , cher Græcinus , c'est le propre des beaux ...
... rend insensible aux maux d'autrui ; rien ne convient moins à des mœurs aussi douces et aussi polies que les vôtres . Les sciences mêmes dont vous faites profession , y sont fort opposées . Oui , cher Græcinus , c'est le propre des beaux ...
Seite 74
... rend leur prisonnier , et tend les mains pour recevoir leurs chaînes . ( 9 ) Ovide est fécond en comparaisons , comme tous les poëtes latins : elles ne sont pas toujours des plus justes ni des plus nobles ; mais enfin c'étoit le goût du ...
... rend leur prisonnier , et tend les mains pour recevoir leurs chaînes . ( 9 ) Ovide est fécond en comparaisons , comme tous les poëtes latins : elles ne sont pas toujours des plus justes ni des plus nobles ; mais enfin c'étoit le goût du ...
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Alcinous alloit amis amitié appelle assez Auguste autels avez avoient avoit beau Brutus c'est-à-dire c'étoit char cher Maxime chose Cicéron ciel cœur Colchide consul Cotta d'Auguste d'Ovide Danube déesse Dieu Dieux dire disgrace divinité doux Drusus eaux écrit enfin étoient étoit exil Fabius faisoit fameux femme Flaccus flêches fleuve fortune frère Germanicus Gètes gloire grace Grécin Grecs guerre guerre de Troye guste héros Homère homme illustre j'ai jamais Jason jour Jupiter l'amour l'exil larmes LETTRE livre des Tristes long-temps main maison malheureux maux Messalinus monde mort muse Ovide parle paroît passer patrie pays peine père peuple Pline poëme poésie poëte Pont Pont-Euxin pourroit pouvoit premier prières prince qu'Ovide qu'un rien Romains Rome Sarmates Scythes seroit seul Sexte Sexte Pompée Sicile siège de Troye Solanus souffre souhaite souvent Strabon Suétone Suillius temple terre Thrace Tibère triomphe de Tibère Troye Ulysse Virgile voie Appienne voit
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Seite 428 - ... non potes avelli. simul hinc, simul ibimus," inquit, „te sequar et coniunx exulis exul ero. et mihi facta via est et me capit ultima tellus; accedam profugae sarcina parva rati. 85 te iubet a patria discedere Caesaris ira, me pietas. pietas haec mihi Caesar erit.
Seite 429 - Bientôt autour de moi je sens ses faibles bras : Non, cruel, non, ta perte entraînera la mienne. Penses-tu loin de toi que Rome me retienne? Compagne de tes pas comme de tes malheurs , Au bout de l'univers j'irai sécher tes pleurs. César t'a condamné , ton épouse est proscrite ; César veut ton exil , et l'amour veut ma fuite. Je te suis...
Seite 424 - Ut, quod vos scitis, poenae quoque sentiat auctor! 40 Placato possum non miser esse deo.' Hac prece adoravi superos ego, pluribus uxor, Singultu medios impediente sonos.
Seite 429 - Compagne de tes pas comme de tes malheurs, Au bout de l'univers j'irai sécher tes pleurs. César t'a condamné, ton épouse est proscrite ; César veut ton exil, et l'amour veut ma fuite. Je te suis. .Mais hélas ! malgré tous ses efforts, Un devoir rigoureux m'arrache à ses transports. Désolé, l'œil en pleurs, et la vue égarée, Entre les bras des siens je la laisse éplorée ; Elle tombe, et j'ai su qu'en ces affreux instans, Les ombres de la mort la couvrirent Jong-temps.
Seite 431 - L'instant de mon trépas , ou ma fille expirée , D'un plus vif désespoir ne l'eût pas pénétrée. Sa douleur mille fois aurait tranché ses jours ; L'espoir de m'être utile en prolongea le cours. Dieux, qui nous séparez, prenez soin d'une vie Qui conserve la mienne au fond de la Scythie. Mais le gardien de l'Ourse ensevelit ses feux Dans les Qots agités par son astre orageux.
Seite 433 - Du ciel rempli d'éclairs les voûtes allumées Semblent fondre en éclats dans les mers enflammées. Tremblant, désespéré , le chef des matelots Laisse le gouvernail à la merci des flots. Telle une main trop faible abandonne l'empire Du coursier indompté qu'elle ne peut conduire. Le rapide Aquilon , plus fort que mon devoir , Nous ramène aux climats que je ne dois plus voir. Loin des bords d'Illyrie , à travers les nuages , L'Italie à nos yeux découvre ses rivages. Vents , ne combattez...
Seite 433 - C'est assez contre moi des traits de Jupiter. Souffrez que, dans l'exil terminant ma carrière , Une tranquille mort me ferme la paupière , Du plus affreux trépas daignez me préserver.
Seite 423 - Jl or qui vis mes beaux jours s'éclipser dans tes ombres, Toi qui couvris mes pleurs de tes nuages sombres, O nuit! cruelle nuit témoin de mes adieux, Sans cesse ma douleur te retrace à mes yeux. -. Bientôt du haut des airs l'amante de Céphale Alloit de mon départ fixer l'heure fatale.
Seite 431 - Sont le jouet de ronde et succombent aux vents. Du ciel rempli d'éclairs les voûtes allumées Semblent fondre en éclats dans les mers enflammées. Tremblant, désespéré, le chef des matelots Laisse le gouvernail à la merci des flots. Telle une main trop foible abandonne l'empire Du coursier indompté qu'elle ne peut conduire. Le rapide aquilon, plus fort que mon devoir, Nous ramène aux climats que je ne dois plus voir. Loin des bords d'Illyrie, à travers les nuages, L'Italie à nos yeux découvre...
Seite 423 - L'usage de mes sens tout à coup suspendu Dérobe à mes apprêts le temps qui leur est dû. Mon cœur ne peut gémir, ordonner, ni résoudre. Semblable à ce mortel qui voit tomber la foudre, Et qui , frappé du bruit , environné d'éclairs , Doute encor de sa vie , et croit voir les enfers.