J'ai connu Bourdaloue ; et dès mes jeunes ans Je fis de ses sermons mes plus chères délices. Mais lui, de son côté lisant mes vains caprices, Des censeurs de Trévoux n'eut point pour moi les yeux. Essai sur l'éloquence de la chaire - Seite 30von Jean Sifrein Maury - 1850 - 468 SeitenVollansicht - Über dieses Buch
| Nicolas Boileau Despréaux - 1800 - 358 Seiten
...n'eut point pour moi les yeux. Ha franchise sur-tont gagna sa bieuveillance. Enfin, après Arnaald, ce fut l'illustre en France Que j'admirai le plus et qui m'aima le mieux. Vers pour mettre au bas du portrait de Tavernier, le célebre voyageur. DE Paris à Delli(i), du conchant... | |
| Nicolas Boileau-Despréaux - 1800 - 354 Seiten
...n'ent point pour moi let. Ma franchise sur-tont gagna sa bieuveillance. Enfin, après Arnauld, ce fnt l'illustre en France Que j'admirai le plus et qui m'aima le mieux. yeux. y ers pouf mettre au bas du portrait de Tafernier, le célebre voyageur. DE Paris à Dell! (i),... | |
| Louis Racine - 1808 - 600 Seiten
...honorable pour lui , quand il a dit : Ma franchise surtout gagna sa bienveillance : Enfin, âpres Arnaud, ce fut l'illustre en France Que j'admirai le plus , et qui m'aima le mieux. En parlant de sa franchise, il en donne un. exemple dans ces vers même. Il eut, au rapport de madame... | |
| Jean Racine - 1808 - 598 Seiten
...honorable pour lui , quand il a dit : Ma franchise surtout gagna sa bienveillance : Enfin, après Arnaud, ce fut l'illustre en France Que j'admirai le plus , et qui m'aima le mieux. En parlant de sa franchise, il en donne un exemple dans ces vers même. Il eut, au rapport de madame... | |
| Jean-Sifrein Maury - 1810 - 570 Seiten
...depuis dix ans, cet étonnant hommage, jusques dans l'épitaphe de Bourdaloue. Enfin , après Arnaud , ce fut l'illustre en France Que j'admirai le plus, et qui m'aima le mieux. Cette digression sur le Grand <4rnaim ne m'a XIV. ... , , ., ,. . j. . . . De Cicéror. point eloigne... | |
| Louis Bourdaloue - 1812 - 514 Seiten
...jeunes ans Je fis de ses sermons mes plus chères délices. Et il ajoute : Enfin , après Arnauld , il fut l'illustre en France Que j'admirai le plus et qui m'aima le mieux. Bourdaloue avoit beaucoup de prudence et de pénétration dans les affaires : mais il cherchoit à... | |
| Jean Racine - 1813 - 486 Seiten
...Bourdaloue étoit honorable pour lui ; quand il a dit : Ma franchise sur- tout gagna sa bienveillance; Enfin, après Arnauld, ce fut l'illustre en France Que j'admirai le plus, et qui m'aima le mieux. En parlant de sa franchise , il en donne un exempîe dans ces vers même. Il eut, au rapport de madame... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1815 - 470 Seiten
...Des censeurs de Trévoux n'eut point pour moi les yeux. Ma franchise sur-tout gagna sa bienveillance. Enfin , après Arnauld , ce fut l'illustre en France Que j'admirai le plus, et qui m'aima le mieux. XXIII. Enigme. Du repos des humains implacable ennemie, J'ai rendu mille amants envieux de mon sort.... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1821 - 670 Seiten
...censeurs de Tré voux(é) n'eut point pour moi les yeux. Ma franchisefc] sur-tout gagna sa bienveillance. Enfin après Arnauld, ce fut l'illustre en France Que j'admirai le plus, et qui m'aima le mietix[</]. « des flagellations volontaires a été" inconnu aux chrétiens pendant • les dix premiers... | |
| Louis Bourdaloue - 1826 - 736 Seiten
...n'eut point pour moi les yeux. Ma franchise surtout gagna sa bienveillance. Enfin , après Arnauld , il fut l'illustre en France Que j'admirai le plus, et qui m'aima le mieux. EXTRAIT du COMMENTAIRE de Pierre-Daniel HUET, évécjue <£Avranches, DE REBUS AD EUM PERTINENTIBUS.... | |
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