Esquisses historiques: Marseille depuis 1789 jusqu'en 1815, Band 2M. Olive, 1844 |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
18 fructidor amis Anglais armée armes arriva Aubagne avaient ayant Barras bataillon Bonaparte Borély brave c'était cachot canon capitaine cents Charles IV citoyens cœur comité royal commandant commerce commissaires compagnies comte comte de Panisse condamnés conseil coup d'Aix d'Albertas d'Aubagne d'Espagne décret de Berlin désarmement devant dévoûment Directoire drapeau duc d'Angoulême floréal frères Laure Fréron frimaire Ganteaume garde nationale garnison général germinal Gobet guerre Guidal heures hommes honorable jacobins jour juges jusques l'amiral l'armée l'ennemi laisser Lapoype Louis XVIII maire maison malheureux marche maréchal marquis de Montgrand Marseille Masséna ment midi mille Montgrand mort municipalité n'avait n'était Napoléon nivose nuit officiers paix passer place population porte pouvait préfecture préfet prince Provence rentrer républicains reste révolution Reynaud de Trets s'était section seille serait seul Sisteron soir soldats sorte St.-Jean Tarascon tête Thibaudeau Thibeaudau tion Toulon Toussaint troupes trouver vaisseaux Varage ventose vint Willot
Beliebte Passagen
Seite 210 - Le commerce des marchandises Anglaises est défendu ; et toute marchandise appartenant à l'Angleterre, ou provenant de ses fabriques et de ses Colonies, est déclarée de bonne prise.
Seite 22 - Représentants, dirent-ils, laissez-nous achever notre besogne; cela sera bientôt fait, et vous vous en trouverez bien. — Misérables! vous nous faites horreur ! — Nous n'avons fait que venger nos pères, nos frères, nos amis ; et c'est vous-mêmes qui nous y avez excités. — Qu'on arrête ces scélérats!
Seite 210 - ... 7. Aucun bâtiment venant directement de l'Angleterre ou des colonies anglaises, ou y ayant été depuis la publication du présent décret, ne sera reçu dans aucun port.
Seite 403 - N'est-ce pas, vous y consentez? » — Ils me dirent : « Oui, à tout ce que vous voudrez. » — « Eh bien, leur dis-je, voici mon avis, et je vous ordonne de le suivre comme subordonnés : j'aurais désiré, comme vous, de périr à la tête de ce brave régiment; mais comme chef et maître de son sort, j'en suis responsable au canton, et ne puis vouloir faire périr sans utilité neuf cents de ses sujets.
Seite 12 - Un jour, passant en bateau devant le fort, et nous ayant aperçus à une fenêtre , il ôta son chapeau et nous salua fort poliment, quoique sans affectation. On peut concevoir qu'une bagatelle de ce genre fasse plaisir, dans une situation comme celle où nous étions alors. J'ignore quelle a été à d'autres égards la conduite politique de Mariette , et ce qu'il était avant la révolution ; il a en général fait peu parler de lui, excepté à Marseille, où il a gagné l'estime des honnêtes...
Seite 115 - Je vous exhorte donc, citoyens, toutes les fois que la loi présentera à votre tribunal des vieillards de plus de soixante ans, ou des femmes, de déclarer qu'au milieu des combats vous avez respecté les vieillards et les femmes de vos ennemis. Le militaire qui signe une sentence contre une personne incapable de porter les armes est un lâche. BONAPARTE.
Seite 18 - Souvent, lorsqu'ils en rencontraient qu'on amenait en prison , ils se faisaient jour à travers ceux qui les gardaient, et les accablaient de coups de sabre. Nous vîmes plusieurs de ces horribles scènes se passer à l'entrée du fort.
Seite 21 - Ces représentans étaient Isnard et Cadroy. En entrant dans notre chambre , ils demandèrent au commandant compte de sa conduite , et ils parurent convaincus de l'impossibilité où il avait été de s'opposer à cette horrible scène; puis, s'asseyant sur nos lits, et se plaignant de l'excessive chaleur, ils demandèrent à boire : on leur apporta du vin. Isnard le repoussa , en criant d'un ton tragique : C'est du sang!
Seite 326 - ... sur Marseille avec de l'artillerie et suffisamment de troupes pour soumettre la seule ville de l'empire qui se refuse aux vœux de la nation et à reconnaître le souverain qu'elle a choisi, le grand Napoléon.
Seite 115 - J'ai appris , Citoyens , avec la plus grande douleur, que des vieillards âgés de soixante-dix à quatre-vingts ans, de misérables femmes enceintes ou environnées d'enfans en bas âge, avaient été fusillés comme prévenus d'émigration. « Les soldats de la liberté seraient-ils donc devenus des bourreaux? « La pitié, qu'ils ont portée jusqu'au milieu des combats, serait-elle donc morte dans leurs cœurs? « La loi du 19 fructidor a été une mesure de salut public; son intention a été...