1 Pages. Simplicité de la cour de Vienne.-Contributions levées d'une manière touchante par les princes de Lorraine.-Sobriété, décence et modestie extrêmes de Marie-Antoinette. : CHAP. V.-Révision des papiers, de Louis XV par Louis XVI.-L'homme au masque de fer.- Intérêts qu'avait le feu roi dans les compagnies de finances.-Son égoïsme.-Représentation d'Iphigénie en Aulide à laquelle assiste Marie-Antoinette.-Ivresse générale.-Le roi donne le petit Trianon à la reine.-Plaisir qu'elle trouve à y vivre simplement.-Reproches sur sa prodigalité combien ils sont injustes.--Ses ennemis font courir le bruit qu'elle a donné le nom de Schoenbrunn ou de petit Vienne à Trianon : elle en est indignée.-Voyage de l'archiduc Maximilien en France.-Questions de préséance.-Mésaventure de l'archiduc.-Couches de madame la comtesse d'Artois.-Les poissardes crient à la reine de donner des héritiers au trône.-Sa douleur.-Petit villageois recueilli par elle.-Mort du duc de La Vauguyon.-Anecdote.-Portrait de Louis XVI.-De M. le comte de Provence.— De M. le comte d'Artois.-Scènes d'intérieur.Aiguille d'une pendule avancée chez la reine: à quelle occasion. - Réflexions. Courses en traî CHAP. VI. Hiver rigoureux. 166 208 Pages. inspecteur de police.-Il est découvert et puni. -Autre intrigante qui contrefait l'écriture de la reine, pour escroquer des sommes considérables. -Madame la comtesse Jules de Polignac paraît à la cour.-Son caractère noble et désintéressé.Projets ambitieux de ses amis.—Moyens qu'ils mettent en usage.-Portrait de la comtesse Jules. -La reine se promet de goûter près d'elle les douceurs de la vie privée. Le comte Jules obtient la place de premier écuyer.-La fortune de sa famille est long-temps médiocre.-La reine se félicite pour la comtesse du gain d'un billet de loterie.-Société de la comtesse Jules.-Portrait de M. de Vaudreuil.-Mot plaisant de la comtesse sur Homère.-La faveur dont jouit la famille de Polignac excite l'envie et la haine des courtisans. Soirées passées chez le duc et la duchesse de Duras.-Jeux à la mode : guerre panpan, descampativos. Paris se moque de ces jeux et les adopte.-Madame de Genlis y fait allusion dans une de ses pièces de théâtre. ÉCLAIRCISSEMENS de madame Campan. ÉCLAIRCISSEMENS et pièces officielles. 241 268 301 FIN DE LA TABLE DU PREMIER VOLUME. |