Poésies de C. V. CatulleC. L. F. Panckoucke, 1837 - 278 Seiten |
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... porte à la ville ses mamelles gonflées de lait ; lorsqu'il vend l'agneau engraissé dans mes bergeries , il revient au logis les mains chargées d'argent ; et , ravies aux mugissemens de leur mère , ses tendres génisses vont rougir de ...
... porte à la ville ses mamelles gonflées de lait ; lorsqu'il vend l'agneau engraissé dans mes bergeries , il revient au logis les mains chargées d'argent ; et , ravies aux mugissemens de leur mère , ses tendres génisses vont rougir de ...
Seite 49
... porte ne soit ouverte à personne ; sur- tout ne va pas t'aviser de sortir reste au logis , et pré- pare - toi à voir se renouveler neuf fois de suite mes amoureux exploits . Mais , si tu dis oui , que ce soit à Novem continuas ...
... porte ne soit ouverte à personne ; sur- tout ne va pas t'aviser de sortir reste au logis , et pré- pare - toi à voir se renouveler neuf fois de suite mes amoureux exploits . Mais , si tu dis oui , que ce soit à Novem continuas ...
Seite 87
... Porte donc ici tes pas ; hâte - toi de quitter les rochers de Thespies et les grottes Aoniennes qu'arrose de ses fraîches ondes la source Aganippide . Conduis dans la nouvelle demeure , dont elle devient la maîtresse , cette vierge qui ...
... Porte donc ici tes pas ; hâte - toi de quitter les rochers de Thespies et les grottes Aoniennes qu'arrose de ses fraîches ondes la source Aganippide . Conduis dans la nouvelle demeure , dont elle devient la maîtresse , cette vierge qui ...
Seite 95
... ! Franchis , sous d'heureux auspices , la porte de ta nouvelle demeure , et que tes pieds n'en effleurent pas le seuil . Vive , vive à jamais Hymen , dieu d'hyménée ! Adspice , intus ut accubans Vir tuus Tyrio in toro CATULLE . 95 - LXI .
... ! Franchis , sous d'heureux auspices , la porte de ta nouvelle demeure , et que tes pieds n'en effleurent pas le seuil . Vive , vive à jamais Hymen , dieu d'hyménée ! Adspice , intus ut accubans Vir tuus Tyrio in toro CATULLE . 95 - LXI .
Seite 111
... hon- neur du gymnase et la gloire du pugilat . La foule des courtisans qui se pressaient à ma porte n'en laissaient jamais refroidir le seuil ; et lorsque l'aurore venait Ego Mænas , ego mei pars , ego vir sterilis CATULLE . 111 - LXIII .
... hon- neur du gymnase et la gloire du pugilat . La foule des courtisans qui se pressaient à ma porte n'en laissaient jamais refroidir le seuil ; et lorsque l'aurore venait Ego Mænas , ego mei pars , ego vir sterilis CATULLE . 111 - LXIII .
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Seite 276 - En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Seite 238 - Tibur Argeo positum colono sit meae sedes utinam senectae, sit modus lasso maris et viarum militiaeque ! unde si Parcae prohibent iniquae, dulce pellitis ovibus Galaesi flumen et regnata petam Laconi rura Phalantho.
Seite 4 - LUGETE, o Veneres Cupidinesque, et quantum est hominum venustiorum. passer mortuus est meae puellae, passer, deliciae meae puellae, quem plus illa oculis suis amabat.
Seite 225 - Tandis que Colletet \ crotté jusqu'à l'échine, S'en va chercher son pain de cuisine en cuisine, Savant en ce métier, si cher aux beaux esprits, Dont Montmaur 2 autrefois fit leçon dans Paris.
Seite 245 - Hanc volitent animae circum sua fata querentes semper et e tectis strix violenta canat. Ipsa fame stimulante furens herbasque sepulcris quaerat et a saevis ossa relicta lupis, currat et inguinibus nudis ululetque per urbes, 55 post agat e triviis aspera turba canum!
Seite 158 - O misero frater adempte mihi, Tu mea tu moriens fregisti commoda, frater, Tecum una tota est nostra sepulta domus, Omnia tecum una perierunt gaudia nostra, Quae tuus in vita dulcis alebat amor.
Seite 128 - ... sed quali solam Theseus me mente reliquit, tali mente, deae, funestet seque suosque!» Has postquam maesto profudit pectore voces supplicium saevis exposcens anxia factis, annuit invicto caelestum numine rector, 205 quo motu tellus atque horrida contremuerunt aequora concussitque micantia sidera mundus.
Seite 224 - Lynx envers nos pareils, et taupes envers nous, Nous nous pardonnons tout, et rien aux autres hommes. On se voit d'un autre œil qu'on ne voit son prochain. Le fabricateur souverain Nous créa besaciers tous de même manière, '' Tant ceux du temps passé que du temps d'aujourd'hui : II fit pour nos défauts la poche de derrière, Et celle de devant pour les défauts d'autrui.
Seite 6 - Qui nunc it per iter tenebricosum illuc, unde negant redire quemquam. At vobis male sit, malae tenebrae Orci, quae omnia bella devoratis : tam bellum mihi passerem abstulistis. 15 Vae factum male ! vae miselle passer, tua nunc opera meae puellae flendo turgiduli rubent ocelli.
Seite 74 - Ille mi par esse deo videtur, ille, si fas est, superare |divos, qui sedens adversus identidem te spectat et audit dulce ridentem, misero quod omnis eripit sensus mihi: nam simul te, Lesbia, aspexi, nihil est super mi vocis in ore. lingua sed torpet, tenuis sub artus flamma demanat, sonitu suopte tintinant aures, gemina teguntur lumina nocte.