Poésies de C. V. CatulleC. L. F. Panckoucke, 1837 - 278 Seiten |
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... Grèce , quoique cultivés à cette époque avec une grande faveur , n'avaient point tellement apprivoisé les vainqueurs , qu'il ne leur restât encore beaucoup de leur brutalité soldatesque . Ce fut au milieu de cette société demi - barbare ...
... Grèce , quoique cultivés à cette époque avec une grande faveur , n'avaient point tellement apprivoisé les vainqueurs , qu'il ne leur restât encore beaucoup de leur brutalité soldatesque . Ce fut au milieu de cette société demi - barbare ...
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... grecs , accusés de corrompre la jeunesse ; et pourtant les citoyens les plus distingués de la république , sans même en excepter Caton , s'empressaient à l'envi d'étudier les chefs - d'oeuvre de la Grèce . C'était à qui imiterait ces ...
... grecs , accusés de corrompre la jeunesse ; et pourtant les citoyens les plus distingués de la république , sans même en excepter Caton , s'empressaient à l'envi d'étudier les chefs - d'oeuvre de la Grèce . C'était à qui imiterait ces ...
Seite 117
... Grèce . Les champs restent sans culture ; libre du joug , le tau- reau s'amollit dans le repos ; le râteau recourbé ne purge plus la vigne rampante des herbes qui l'étouffent ; penché sur sa charrue , le laboureur ne retourne plus la ...
... Grèce . Les champs restent sans culture ; libre du joug , le tau- reau s'amollit dans le repos ; le râteau recourbé ne purge plus la vigne rampante des herbes qui l'étouffent ; penché sur sa charrue , le laboureur ne retourne plus la ...
Seite 163
... Grèce sous les remparts de Troie . Funeste Troie ! commun tombeau de l'Europe et de l'Asie , toi qui ensevelis sous tes cendres tant de héros et de hauts faits ! C'est aussi toi qui causas le funeste trépas de mon frère . O mal- heureux ...
... Grèce sous les remparts de Troie . Funeste Troie ! commun tombeau de l'Europe et de l'Asie , toi qui ensevelis sous tes cendres tant de héros et de hauts faits ! C'est aussi toi qui causas le funeste trépas de mon frère . O mal- heureux ...
Seite 165
... Grèce , le gouffre ouvert , près de Phénée , par le fils supposé d'Amphitryon ; lorsque , par l'ordre d'un tyran cruel , il creusa les entrailles d'une montagne , pour dessécher le sol fangeux du marais de Stymphale , et perça de ses ...
... Grèce , le gouffre ouvert , près de Phénée , par le fils supposé d'Amphitryon ; lorsque , par l'ordre d'un tyran cruel , il creusa les entrailles d'une montagne , pour dessécher le sol fangeux du marais de Stymphale , et perça de ses ...
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Seite 276 - En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Seite 238 - Tibur Argeo positum colono sit meae sedes utinam senectae, sit modus lasso maris et viarum militiaeque ! unde si Parcae prohibent iniquae, dulce pellitis ovibus Galaesi flumen et regnata petam Laconi rura Phalantho.
Seite 4 - LUGETE, o Veneres Cupidinesque, et quantum est hominum venustiorum. passer mortuus est meae puellae, passer, deliciae meae puellae, quem plus illa oculis suis amabat.
Seite 225 - Tandis que Colletet \ crotté jusqu'à l'échine, S'en va chercher son pain de cuisine en cuisine, Savant en ce métier, si cher aux beaux esprits, Dont Montmaur 2 autrefois fit leçon dans Paris.
Seite 245 - Hanc volitent animae circum sua fata querentes semper et e tectis strix violenta canat. Ipsa fame stimulante furens herbasque sepulcris quaerat et a saevis ossa relicta lupis, currat et inguinibus nudis ululetque per urbes, 55 post agat e triviis aspera turba canum!
Seite 158 - O misero frater adempte mihi, Tu mea tu moriens fregisti commoda, frater, Tecum una tota est nostra sepulta domus, Omnia tecum una perierunt gaudia nostra, Quae tuus in vita dulcis alebat amor.
Seite 128 - ... sed quali solam Theseus me mente reliquit, tali mente, deae, funestet seque suosque!» Has postquam maesto profudit pectore voces supplicium saevis exposcens anxia factis, annuit invicto caelestum numine rector, 205 quo motu tellus atque horrida contremuerunt aequora concussitque micantia sidera mundus.
Seite 224 - Lynx envers nos pareils, et taupes envers nous, Nous nous pardonnons tout, et rien aux autres hommes. On se voit d'un autre œil qu'on ne voit son prochain. Le fabricateur souverain Nous créa besaciers tous de même manière, '' Tant ceux du temps passé que du temps d'aujourd'hui : II fit pour nos défauts la poche de derrière, Et celle de devant pour les défauts d'autrui.
Seite 6 - Qui nunc it per iter tenebricosum illuc, unde negant redire quemquam. At vobis male sit, malae tenebrae Orci, quae omnia bella devoratis : tam bellum mihi passerem abstulistis. 15 Vae factum male ! vae miselle passer, tua nunc opera meae puellae flendo turgiduli rubent ocelli.
Seite 74 - Ille mi par esse deo videtur, ille, si fas est, superare |divos, qui sedens adversus identidem te spectat et audit dulce ridentem, misero quod omnis eripit sensus mihi: nam simul te, Lesbia, aspexi, nihil est super mi vocis in ore. lingua sed torpet, tenuis sub artus flamma demanat, sonitu suopte tintinant aures, gemina teguntur lumina nocte.