Œuvres de Voltaire, Band 39Lefèvre, 1830 |
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... presque jamais rien su de cette langue . On eût mieux fait de lui enseigner l'his- toire , la géographie , et surtout la vraie philosophie , que les princes connaissent si rarement . Son bon sens et son goût naturel suppléèrent à tout ...
... presque jamais rien su de cette langue . On eût mieux fait de lui enseigner l'his- toire , la géographie , et surtout la vraie philosophie , que les princes connaissent si rarement . Son bon sens et son goût naturel suppléèrent à tout ...
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... presque toujours , par une allusion délicate , la personne et le rôle . Par exemple , lorsque le roi , dans un de ces ballets , représentait Apollon , voici ce que fit pour lui Benserade : Je doute qu'on le prenne avec vous sur le ton ...
... presque toujours , par une allusion délicate , la personne et le rôle . Par exemple , lorsque le roi , dans un de ces ballets , représentait Apollon , voici ce que fit pour lui Benserade : Je doute qu'on le prenne avec vous sur le ton ...
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... . C'est sur quoi on ne peut assez s'étonner qu'on l'ait osé accuser d'avarice dans presque toutes les pitoya- bles histoires qu'on a compilées de son règne : jamais prince n'a plus donné , plus à propos , et 8 ANECDOTES.
... . C'est sur quoi on ne peut assez s'étonner qu'on l'ait osé accuser d'avarice dans presque toutes les pitoya- bles histoires qu'on a compilées de son règne : jamais prince n'a plus donné , plus à propos , et 8 ANECDOTES.
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... presque plus ; des cordes étaient attachées à chaque corps d'arbre , et plus de douze cents hommes étaient dans ce bois prêts au moindre signal . M. d'Antin sa- vait le jour que le roi devait se promener de ce côté i Voyez , tome XX ...
... presque plus ; des cordes étaient attachées à chaque corps d'arbre , et plus de douze cents hommes étaient dans ce bois prêts au moindre signal . M. d'Antin sa- vait le jour que le roi devait se promener de ce côté i Voyez , tome XX ...
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... presque toujours avec cette noblesse . Rien ne fait plus d'im- pression sur les hommes , et on ne doit pas s'étonner que ceux qui l'approchaient eussent pour lui une es- pèce d'idolâtrie . « Il est certain qu'il était passionné pour la ...
... presque toujours avec cette noblesse . Rien ne fait plus d'im- pression sur les hommes , et on ne doit pas s'étonner que ceux qui l'approchaient eussent pour lui une es- pèce d'idolâtrie . « Il est certain qu'il était passionné pour la ...
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Seite 152 - J'approchai par degrés de l'oreille des rois, Et bientôt en oracle on érigea ma voix. J'étudiai leur cœur, je flattai leurs caprices, Je leur semai de fleurs le bord des précipices. Près de leurs passions rien ne me fut sacré ; De mesure et de poids, je changeais à leur gré.
Seite 150 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles: On a beau la prier; La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois.
Seite 190 - C'est ainsi que la terre avec plaisir rassemble Ces chênes, ces sapins, qui s'élèvent ensemble : Un suc toujours égal est préparé pour eux ; Leur pied touche aux enfers, leur cime est dans les cieux1 ; Leur tronc inébranlable, et leur pompeuse tête, Résiste, en se touchant, aux coups de la tempête...
Seite 253 - Rome demande un maître ; Un jour à tes dépens tu l'apprendras peut-être. Tu vois nos citoyens plus puissants que des rois : Nos mœurs changent, Brutus ; il faut changer nos lois. La liberté n'est plus que le droit de se nuire : Rome, qui détruit tout, semble enfin se détruire. Ce colosse effrayant, dont le monde est foulé, En pressant l'univers, est lui-même ébranlé. Il penche vers sa chute, et contre la tempête II demande mon bras pour soutenir sa tête.
Seite 164 - Et nous faisons courir des ruisseaux de leur sang Avant qu'aucun résiste ou reprenne son rang. Mais bientôt, malgré nous, leurs princes les rallient; Leur courage renaît et leurs terreurs s'oublient : La honte de mourir sans avoir combattu Arrête leur désordre et leur rend leur vertu.
Seite 152 - Ne conçut un projet aussi grand que le mien. Chaque peuple à son tour a brillé sur la terre, Par les lois, par les arts, et surtout par la guerre ; Le temps de l'Arabie est à la fin venu.
Seite 429 - A nation here I pity and admire, Whom noblest sentiments of glory fire, Yet taught, by custom's force, and bigot fear, To serve with pride, and boast the yoke they bear: Whose nobles, born to cringe and to command...
Seite 162 - On n'égorge jamais dans l'enceinte du lieu sacré aucune victime. On n'y brûle point, comme ailleurs, la graisse des génisses et des taureaux; on n'y répand jamais leur sang. On présente seulement devant l'autel les bêtes qu'on offre, et on n'en peut offrir aucune qui ne soit jeune, blanche, sans défaut, et sans tache.
Seite 251 - La main de l'éternel y marqua nos désirs, Et nos chagrins cruels, et nos faibles plaisirs. On voit la liberté, cette esclave si fière, Par d'invisibles nœuds en ces lieux prisonnière : Sous un joug inconnu, que rien ne peut briser, Dieu sait l'assujettir sans la tyranniser...
Seite 153 - L'Inde esclave et timide, et l'Egypte abaissée, Des murs de Constantin la splendeur éclipsée ; Vois l'empire romain tombant de toutes parts, Ce grand corps déchiré, dont les membres épars Languissent dispersés sans honneur et sans vie : Sur ces débris du monde élevons l'Arabie.