Mémoires et correspondance de Duplessis-Mornay: Écrits politiques et correspondance, 1571-1614Treuttel et Würtz, 1824 |
Inhalt
36 | |
43 | |
126 | |
164 | |
182 | |
205 | |
240 | |
254 | |
402 | |
403 | |
404 | |
405 | |
408 | |
409 | |
411 | |
412 | |
267 | |
279 | |
294 | |
341 | |
347 | |
355 | |
367 | |
372 | |
379 | |
381 | |
391 | |
392 | |
393 | |
398 | |
414 | |
415 | |
418 | |
419 | |
425 | |
426 | |
431 | |
432 | |
434 | |
462 | |
526 | |
536 | |
545 | |
547 | |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
adverti advis affaires apres armee assemblee assés asseuré auctorité aulcung aultres aulx auroit avés avoient avoit besoing cardinal de Bourbon catholiques cest estat ceulx chacung chasteau choses chrestienne conduicte consequent contrainct costé d'estre d'icelle d'ung debvoir declaration deniers depesché desire desjà desseings dict Dieu doibt doubte droict duc de Mayenne dudict Duplessis eglises ennemis escrit escus esté estoient estoit estrangers eulx eust faict fault feit feurent feust feut general grace guerre heretiques j'ai jusques l'armee l'aultre l'Eglise l'estat l'ung ledict seigneur roy ledict sieur LETTRE Ligue majesté memoire mesmes mieulx monseigneur MONSIEUR n'estoit necessaire necessité oultre paix particulierement perdeu personne peult estre plustost poinct pont de Cé povre pres present prince prye quattre relligion resolution Reystres riviere roy d'Espaigne roy de Navarre royaume royne ruyne Sainct sçais sçavoir sera seroit soubs subjects susdicts teneu tousjours toutesfois traicter trefve tres trouppes Turenne ungs veneue verité veult voulleu
Beliebte Passagen
Seite 326 - ... contraigniez par force à voir, à souffrir, à faire des choses que sans les armes je mourrois mille fois plustost que de voir, de souffrir et de faire. Je vous conjure de...
Seite 319 - Messieurs, je ne le puis; jamais mon pays n'ira après moy; son utilité précédera tousjours la mienne, et tousjours on verra mon mal, mes dommages, mes afflictions courir devant celles de ma patrie. Mais pour le moins je ne me puis...
Seite 326 - Et néanmoins, jusqu'ici, nul n'a ouvert la bouche pour y trouver le remède ; qu'en toute cette assemblée de Blois, nul n'ait osé prononcer ce sacré mot de paix; ce mot, dans l'effet duquel consiste le bien de ce royaume...
Seite 325 - N'est-ce pas une misère qu'il n'y ait si petit ni si grand en ce royaume, qui ne voie le mal, qui ne crie contre les armes, qui ne les nomme la fièvre continue et mortelle de cet État?
Seite 324 - Avoir été nourri, instruit et élevé en une profession de foi; et sans ouïr et sans parler, tout d'un coup, se jeter de l'autre côté? Non, Messieurs, ce ne sera jamais le roi de Navarre, y eût-il trente couronnes à gagner. Tant s'en faut qu'il lui en prenne envie, pour l'espérance d'une seule I Instruisez-moi , je ne suis point opiniâtre.
Seite 334 - France), qu'ils pensent à eux; qu'ils se contentent de leurs pertes, comme je fais des miennes; qu'ils oublient le particulier pour le public; qu'ils donnent leurs passions, leurs querelles, leurs vengeances et leurs ambitions au bien de la France, leur mère, au service de leur Roy, à leur repos et au nostre.
Seite 376 - ... cousteau, pensant bien me tuer; mais Dieu, qui a soin des siens, n'a voulu que, sous la reverence que je porte à ceux qui se disent vouez à son service, je perdisse la vie, ains me l'a conservée par sa grace, et empesené...
Seite 334 - François, je leur commanderois volontiers encores, comme à ceulx qui ont cest honneur de m'appartenir, et de qui les pères eussent receu ce commandement à beaucoup de faveur, je m'en asseure (si ce n'est de ceste façon, je le feray...
Seite 332 - Dieu voulant peut estre exercer sur nous des jugemens que nous ne sçavons pas, que ce sera de nous et de luy ? que dirons nous des François? Quelle honte que nous ayons chassé nos roys ! Tache qui ne souilla jamais la robbe de nos peres, et le seul advantage que nous avons sur tous les vassaux de la chrestienté.
Seite 351 - J'ai passé l'eau en me recommandant à Dieu, lequel par sa bonté ne m'a pas seulement préservé, mais fait...