 | Jacques André Naigeon, Paul Henri Thiry Holbach (baron d') - 1768 - 214 pages
...de ma vie , celui où mes yeux ont commencé à s'ouvrir indépendamment du calme ôc de la liberte d'efprit dont je jouis depuis que je ne fuis plus...fes puiflances infinies des fentimens plus élevés, ôc pjus dignes de ces grands objets. Je fuis plus fidèle à mes devoirs , je les remplis avec plus... | |
 | Robert Challes - 1776 - 212 pages
...plus heureux de ma vie, celui où mes yeux ont commencé à s'ouvrir indépendamment du calme & de t la liberté d'efprit dont je jouis depuis que je ne fuis plus fous le joug des pré'. jugés religieux ; je fens que j'ai de Dieu , ! de la nature & de fes puiffances infinies, des... | |
 | Voltaire - 1785 - 412 pages
...édition ) : 55 ont commencé à s'ouvrir : indépendam" ment du calme et de la liberté d'efprît dont 99 je jouis depuis que je ne fuis plus fous le » joug des préjugés religieux, je fens que » j'ai de D ï E u, de fa nature et de fes puif!» fances infinies , des fentimens plus élevés »5 et plus... | |
 | Voltaire - 1792 - 496 pages
...heureux » de ma vie , celui où mes yeux ont commencé à » s'ouvrir : indépendamment du calme & de la liberté » defprit dont je jouis depuis que je ne fuis plus lous » le joug des préjugés religieux, je leus que j'ai de » Dieu , de fa nature , & de fes puiflances... | |
 | Jacques André Naigeon - 212 pages
..., celui où mes yeux ont commencé à s'ouvrir indépendamment du calme ôc de la liberté dVfprit dont je jouis depuis que je ne fuis plus fous le joug des préjugés religieux ; je !ens que j';ù de Dieu , de la nature ôc de fes puiffances infinies des fentimens plus élevés, ôc... | |
 | Voltaire - 1768 - 700 pages
...heureux de ma vie celui » où mes yeux ont commencé à s'ouvrir : indépendamment du calme Se » de la liberté d'efprit dont je jouis depuis que je ne fuis plus fous le » joug des préiugés religieux , je fens que j'ai de DlEU , de fa nature » & de fes puifTances infinies , des... | |
| |
Pour moi je fçai préfentement à quoi m'en tenir à cet égard , ôc je ne crains pas d'avouer que je mets au nombre des momens les plus heureux de ma vie , celui où mes yeux ont commencé à s'ouvrir indépendamment du calme ôc de la liberté d'efprit... 