Histoire de la révolution française, Band 10Lecointe, 1834 |
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Beliebte Passagen
Seite 80 - Soldats! l'Europe a les yeux sur vous ! vous avez de grandes destinées à remplir, des batailles à livrer, des dangers, des fatigues à vaincre; vous ferez plus que vous n'avez fait pour la prospérité de la patrie , le bonheur des hommes et votre propre gloire. — Soldats, matelots, fantassins, canonniers, cavaliers, soyez unis ; souvenezvous que, le jour d'une bataille, vous avez besoin les I.
Seite 105 - N'est-ce pas nous qui avons détruit le pape, qui disait qu'il fallait faire la guerre aux musulmans? N'est-ce pas nous qui avons détruit les chevaliers de Malte , parce que ces insensés croyaient que Dieu voulait qu'ils fissent la guerre aux musulmans?
Seite 105 - Si l'Egypte est leur ferme, qu'ils montrent le bail que Dieu leur en a fait. Mais Dieu est juste et miséricordieux pour le peuple...
Seite 80 - Vous êtes une des ailes de l'armée d'Angleterre. « Vous avez fait la guerre de montagnes, de plaines, de sièges ; il vous reste à faire la guerre maritime. « Les légions romaines, que vous avez quelquefois imitées, mais pas encore égalées, combattaient Carthage tour à tour sur cette même mer, et aux plaines de Zama. La victoire ne les abandonna jamais, parce que constamment elles furent braves, patientes à supporter la fatigue, disciplinées et unies entre elles.
Seite 106 - Trois fois heureux ceux qui seront avec nous! Ils prospéreront dans leur fortune et leur rang. Heureux ceux qui seront neutres ! Ils auront le temps d'apprendre à nous connaître , et ils se rangeront avec nous.
Seite 107 - Le pillage n'enrichit qu'un petit nombre d'hommes : il nous déshonore, il détruit nos ressources : il nous rend ennemis des peuples qu'il est de notre intérêt d'avoir pour amis. La première ville que nous allons rencontrer a été bâtie par Alexandre. Nous trouverons à chaque pas de grands souvenirs, dignes d'exciter l'émulation des Français.
Seite 81 - Soldats, matelots, vous avez été jusqu'ici négligés; aujourd'hui la plus grande sollicitude de la république est pour vous: vous serez dignes de l'armée dont vous faites partie. «Le génie de la liberté qui a rendu, dès sa naissance, la république l'arbitre de l'Europe, veut qu'elle le soit des mers et des nations les plus lointaines.
Seite 492 - S'il parlait de me mettre hors la loi, j'en appellerais à vous, mes braves compagnons d'armes; à vous, braves soldats, que j'ai tant de fois menés à la victoire...
Seite 63 - Leibnitz, dont l'esprit embrassait toutes choses , adressa au monarque français un mémoire, qui est un des plus beaux monuments de raison et d'éloquence politiques. Louis XIV voulait , pour quelques médailles , envahir la Hollande. Sire, lui dit Leibnitz, ce n'est pas chez eux que vous pourrez vaincre ces républicains, vous ( 108) ne franchirez pas leurs digues, et vous rangerez toute l'Europe de leur côté.
Seite 482 - ... de cette France que je vous ai laissée si brillante? Je vous ai laissé la paix, j'ai retrouvé la guerre ; je vous ai laissé des victoires, j'ai retrouvé des revers; je vous ai laissé les millions de l'Italie et j'ai trouvé partout des lois spoliatrices et la misère. Qu'avez-vous fait de cent mille Français que je connaissais, tous mes compagnons de gloire ? Ils sont morts ! « Cet état de choses ne peut durer.