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Les campagnards ont aussi ce oronostic: Si le douze de février,

Le soleil apparaît entier,

L'ors (l'ours) estonné de sa lumiere,
Se va remettre en sa tanière;
Et l'homme ménager prend soin
De faire resserrer son foin,
Car l'hiver, tout ainsi que l'ours,
Séjourne aussi quarante jours.

Mars.

Quitte serein, fuis les brouillards, Neige, vent et soleil de mars. Brouillard en mars, bientôt il pleut, Ou gèle en mai, plus qu'on ne veut. On ne doit pas dire hélas! à moins qu'on n'ait tué son père ou sa mère, ou ouï tonner

en mars.

Avril,

Avril pleut aux hommes, mai pleut aux betes. Cela veut dire que la pluie d'avril procure des grains, et celle de mai des fourrages.

Pluie d'avril, rosée de mai.
Avril et mai de l'année
Font tout seuls la destinée.

Avril, dès le eommencement,
Ou bien à la fin se dément.
Gelée d'avril ou de mai,
Misère nous prédit de vrai.
Quand il tonne en avril,
Il faut apprêter son baril.
Avril froid, pain et vin donne.

En avril les matinées

Sont pour dormir villes gagnées.
Quand à Pâque pluie sera
Du fruit de terre peu sera

A la Saint-George
Est levé l'orge.

Mai.

En mai blé et vin naissent.

Au mois de mai la chaleur
Toute l'année est de valeur.

Boue en mai, poussière en août.

Fraîcheur en mai, abondance de pain, mais disette de vin.

Pluie en mai, épis en août.

Il ne sait que c'est vendre vin,
Qui n'attend de mai la fin.

Juin.

Du jour Saint-Médard qu'est en juin,
Le laboureur se donne soin;

Car les vieux disent que s'il pleut,
Que trente jours durer i peut;
Et s'il fait beau, tu es certain

D'avoir abondance de grain.

A la Saint-Barnabé

La faulx au pré.

Le plus grand jour de tout l'été, C'est le jour de Saint-Barnabé. Le seize juin, jour de Saint-Cyr Le doux zéphir se fait sentir.

Juillet

A la fête de Magdelaine,

Le mois bien des fêtes amène
Deux à deux dans la semaine
Et la noix se trouve bien pleine.

Le cerf a bien petit d'haleine
Aux environs la Magdelaine;
Adonc peult le chien chacun jour,
Chasser sans lui donner séjour.

Août.

Quiconque se marie en août, Souvent n'amasse rien du tout. A la saint Laurent,

La faucille au froment. A la fête de Saint-Laurent, Si noix sont, regardez dedans; Le chaud à la Saint-Laurent, Le froid à la Saint-Vincent, S'il est grand fort peu se sent Et la saison bonne nous rend.

Septembre.

Moins il y a de fleurs en septembre, mieux le fruit vaut.

Octobre.

A la Saint-François on sème Si l'on veut et plutôt même.

Novembre.

Saint Martin boit le bon vin,
Et laisse l'eau pour le moulin.

A la fête de saint Clément,
Cessez de semer le froment.

Décembre.

A la fête de sainte Luce,

Le jour croît du saut d'une puce.

A la fête de saint Thomas,

Les jours s'agrandissent d'un pas.

A la Saint-Thomas

Cuis ton pain, bue (lave) tes draps,
Tu n'auras pas sitôt cuit et bué
Que tu verras le jour de Noé.

Si l'hiver était outre la mer, il n'en viendrait pas moins parler à saint Nicolas.

APHORISMES DIVERS.

1. Le roi consiste quand le chamy est labouré.

2. Une vigne ne doit recevoir d'autre ombre que celle du chapeau de son propriétaire.

3. Semez le froment dans la boue et le

seigle dans la poussière.

4. Plantez un arbre par distraction.

5. Il faut être riche pour avoir des vignes. 6. Année de vin, point d'avoine.

7. Le pré fait le champ.

8. De bon provin piante ta vigne, et de ton voisin prends la fille.

9. Froment de semence craint la vinère du temps; mais folle graine ne périt point. 10. Fumier de fougère, Cueillette légère.

11. Ne transporte point les arbres, laisseles dans leur terre natale,

12. Fanez le foin, lorsque le soleil brille. 13. Qui peu sème, peu recueille.

14. Plus vous faites d'avances à la terre, plus elle rend.

15. L'œil du fermier vaut fumier.

16. Loin de son bien, près de sa ruine. 17. Qui fait venir poulet, poulet mange. 18. Il vaut mieux semer moins et travailler mieux.

19. Il ne faut pas laisser de semer, par la crainte des pigeons.

20. Laboure bien profondément,
Tu recueilleras abondamment.
21. Froment à la gloyette,

Seigle à la poudrette.

22. Labour d'été vaut du fumier.
23. Vieux bœuf fait le sillon droit.

24. Qui mal bêche mal plante.

25. La mauvaise herbe s'engraisse de la bonne.

26. Bonne terre, mauvais chemin. 27. Arc-en-ciel au matin, pluie sans fin. 28. Voyages de maîtres, noces de valets. 29. Quand on voit à Noël les mouches, à Pâques on voit les glaçons.

30. L'hiver vient frapper à la porte quand on le croit bien loin.

31. Il faut que février remplisse les fossés et que mars les sèche.

32. De la fleur au grain, il y a sept semaines; et qui bien compte y trouvera deux mois.

33. Il ne faut pas délibérer pour planter: mais il faut délibérer pour bâtir.

34. L'œil du maître fait plus que ses deux mains.

35. Amasser en toute saison,

Dépenser selon la raison,

L'on fait ainsi bonne maison.

36. Saint Paul a dit que celui qui laboure doit labourer dans l'espérance de recueillir, et celui qui foule le grain doit le fouler dans l'espérance d'y avoir part.

37. Labourez pendant que le paresseux dort: vous aurez du blé à vendre et à garder. Labourez pendant tous les instants d'aujourd'hui ; car vous ne pouvez pas savoir tous les obstacles que vous rencontrerez demain.

38. Vendez les mauvaises bêtes pour en avoir de bonnes; le vieux grain pour acheter de nouvelles semences; et chassez le valet qui fait la sourde oreille à vos remontrances, quand la première lueur de l'aurore vient frapper dessus.

(1) Ces aphorismes, aussi répandus qu estimés dans toute la Catalogne, ont été rassemblés par M. Narcisse Fages de la Roma, membre de la junte d'agriculture de la province de Girone, et traduits

APHORISMES RURAUX CATALANS (1),

CHAPITRE PREMIER.

Maximes générales

Aux travaux des champs qui s applique Mérite l'estime publique.

Ton état, brave laboureur,

Ne fut jamais un déshonneur.

Plus haut, plus noble est ton lignage, Plus grand te fait le labourage.

En plaçant l'homme au paradis, Dieu lui dit: Cultive, mon fils!

Et le Rédempteur, qu'on révère, Appelle agriculteur son Père.

A Rome, consuls et prêteurs, S'honoraient d'être agriculteurs.

En Espagne, par un roi sage, Fut enseigné le labourage.

Oui, seul à tout le genre humain, Le laboureur donne le pain; Entourons d'honneur et de gloire. un service aussi méritoire.

Qui forme un bon cultivateur Du pays est le bienfaiteur;

Il n'est rien au monde qu'on puisse Assimiler à ce service.

Il est digne d'un bon pasteur D'instruire le cultivateur.

Rien davantage ne rehausse La charité du sacerdoce.

Bonnes leçons, soins assiaus, Du sol doublent les revenus.

Propriétaire qui cultive

Fait preuve ainsi d'une âme active;

Mais, s'il ne veut point travailler, Qu'il sache au moins bien surveiller.

L'héritier qui fuit tout ouvrage,
Est indigne de l'héritage.

Par un métayer ruiné
Un domaine est fort mal mené;
Quand la misère nous torture,
Il n'est pas de bonne culture.

Vends ton domaine promptement,
Si tu ne l'aimes franchement.

Tiens une pièce bien bordée, Si tu la désires gardée;

Les revenus sont bien plus beaux, Quand le terrain se trouve clos.

Propriétaire qui s'endette Bientôt sentira la disette;

Celui qui cherche l'usurier Met un voleur dans son grenier.

Etre indolent, ne savoir guère, Ruine le propriétaire.

par M. Louis Fabre, professeur au collège de Per pignan. Ce dernier nous a autorisé à comprendre son travail dans le nótre.

Qu'il étudie et soit actif, Son art sera plus productif.

Nul ne sort du sein de sa mère Instruit à conduire une terre,

Et tous, jusques au savetier, Doivent apprendre leur métier.

Sans être un esprit hors mesure, On peut savoir l'agriculture; Le bon sens, l'application, Sont toute la profession.

S'il sait peu, le propriétaire Appauvrit et famille et terre.

Qui tient les livres à mépris, Reste à la routine soumis;

Mais, qui les croit en toute chose, A s'embrouiller souvent s'expose.

Des livres ne prends, pour ton bien, Que ce qu'il faut; mais fais-le bien.

De culture possède un livre, Mais en tout ne va pas le suivre ; N'y prends jamais, pour l'accomplir, Que ce qui peut te convenir.

Entre les mains d'un lecteur sage Un livre est d'un fort grand usage; Mais on ne doit pas s'en servir Sans d'abord beaucoup réfléchir

Gardant la coutume estimée, Des nouveautés fuis la fumée: D'innover connais le plaisir, Si tu peux perdre sans faillir.

Petit à petit rectifie,

Dit l'homme instruit qui se défie
Car, qui réforme lentement,

Suit un sage commandement;

e;

Mais l'homme à tout progrès rebelle,

A coup sûr manque de cervelle

Sans prétendre à l'invention, Recherche la perfection.

:

Sache-le bien Expérience, En culture, passe science.

Qui connaît le sol et le ciel En culture sait l'essentiel.

Si tu fais une expérience, Ne plains rien, fais en conscience Afin d'éviter les procès, Afferme par actes bien faits.

Pour les actes d'un bon notaire Jamais ne regrette un salaire.

Sans hypothèque, de ton bien, Crois-moi, n'afferme jamais rien. Sous seing privé, bail ou police, Ouvre une porte à la malice.

De procès abstiens-toi toujours, Comme de semer sans labours.

Pour faire l'achat d'un domaine, Réfléchis plus d'une semaine Climat, terre, exposition, Doivent fixer l'attention.

De ce que vaut ou non la terre Sa couleur ne nous instruit guère.

Pour achat de terre en talus

Ne prodigue pas tes écus.

Si ton terrain longe une route, Soigne-la bien, coûte que coûte. Un ruisseau borde-t-il ton champ? Sois attentif et vigilant.!

Le lapin, en creusant sa mine, Souvent l'inonde à la sourdine.

Dès l'aube, quand il est debout, Un maître actif anime tout;

Mais s'il se tient loin de sa terre, Chaque chose y reste en arrière.

Qui fête tous les saints se renu, Parmi les riches, indigent.

Gens de marchés, courses et foires, Ne remplissent pas leurs armoires; Outre l'argent que l'on y perd, La culture en aura souffert.

Si tu perds ta terre de vue,
Bientôt son produit diminue.

Quand il visite son terrain;
Le maître y laisse tout en train,
Que de tout il prenne bien note,
Ou son revenu fera faute.

Le maître, qui le voudra bien,
Améliorera son bien.

Qui délaissera son domaine Tombera bientôt dans la gêne.

Quel fumier gras et nourrissant L'aspect du maître est pour un champ

Comme il convient que chacun vive N'exige pas rente excessive.

Si tu n'es un peu libéral, Maître et fermier vous irez mal.

Tiens le bétail et tout ton monde Eloignés du fumier immonde. Si tu veux qu'ils se portent bien, D'infect chez toi ne laisse rien.

Si dans ton champ l'onde se glisse, Prends garde qu'elle n'y croupisse.

Pour soigner ta propriété,
Cherche un homme expérimenté.

Que de régisseurs dont l'adresse
Se borne à bien tenir la caisse !
Métayer peu laborieux,
N'en doute pas, est vicieux.

Pour qui veut bien tenir sa ferme, La besogne n'a pas de terme.

Veux-tu rendre ton bien meilleur. Toi-même sois-en régisseur.

Un domaine, qu'on donne à ferme, A gagné rarement au terme. Fermier, progrès, amendement Fraternisent bien rarement.

D'acheter ne te mets en peine; Rends d'abord meilleur ton domaine.

En culture être le premier Ne se peut sans étudier; Mais un terrain se bonifie Sans qu'on aille à l'Académie, Qu'on soit grand mathématicien, Géologue, ni physicien.

Ne laisse rien perdre en ménage,
Tout pour la terre a son usage.
Sociétés d'agriculteurs
Animent les cultivateurs.

L'association assure
Respect, honneur à la culture.

Culture et fabrication,
Vivez en parfaite union!

Mais êtes-vous en concurrence? Rappelez-vous cette sentence: Qu'industriels et fabricants Cèdent tous à l'homme des champs.

Rien ici-bas ne nous procure Autant de biens que la culture.

CHAPITRE II.

Culture.

En culture tous les progrès Pour le pays sont des bienfaits. Travaille dûment ton domaine, Si tu veux récolte certaine.

Selon que tu cultiveras, Tous les ans tu récolteras.

Douze ares qu'en règle on façonne En font vingt qu'à peine on sillonne.

Pour être bon cultivateur, Consulte chaque agriculteur. L'agriculteur a triste chance, S'il ne cultive avec prudence.

Au climat qui n'a point égard D'action n'en sait pas la part.

Qui laisse appauvrir une terre, Chaque jour décline et s'obère.

Fume bien, sois bon laboureur, Tu seras bon cultivateur.

Tout nid d'oiseaux a sa structure, Et chaque champ veut sa culture.

Du petit fermier vois le champ Et son labour, c'est important.

Domaine qu'ainsi l'on cultive Double sa vertu productive.

De ton champ tu retireras Selon que tu l'exploiteras.

Si ton domaine est en souffrance, N'épargne ni soin, ni dépense.

Qui son bien ne veut pas soigner,
A d'autres doit le résigner.

En fatiguant trop ton domaine,
Tu n'auras pas la bourse pleine.
Ne soumets à trop de travail
Ni la terre, ni le bétail..

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Sans une charrue à souhait, Il n'est pas de labour bien fait,

Ce qu'on observe avec sagesse Pour les outils de toute espèce.

Avec des instruments meilleurs, Meilleurs seront tous les labeurs ; Forts, simples, à la main faciles, C'est ainsi qu'ils seront utiles.

Qui déteste un instrument neuf, Sans examen, est un gros bœuf.

Et c'est un veau, plus qu'autre chose, Qui rejette le vieux sans cause.

Ne te sers pas d'un instrument Sans l'essayer auparavant.

No médis pas de la charrue Tant qu'à l'œuvre tu ne l'as vue; Les insensés vont décrier

Un instrument sans l'essayer.

Quand du semoir vientia semence, On dit qu'elle a meilleure chance

Travaux.

Engrais, que le labour ne suit, Pour exploiter point ne suffit.

Dès que la gerbière s'élève, Que du champ le chaume s'enlève.

Qui ue laboure quand il peut No labouré pas quand il veut.

En temps d'agir qui se promène, De façons prive son domaine.

Dormir sur un banc vaut bien mieux
Que labourer terrain fangeux.

Quand la terre n'est point imbue,
N'en approche point la charrue,
Du moins en un sol sablonneux;
Mais laboure s'il est herbeux.

Si le sol est pris par la glace,
Laisse la charrue à sa place.

Brise bien les mottes qu'au champ Du soc souleva le tranchant.

Une terre bien labourée Devra paraître triturée,

Ce qu'on obtient totalement rar la herse à multiple dent.

A qui sait en régler l'usage
La herse offre un grand avantage.

Le champ qu'on a pulvérisé
A bien labourer est aisé.

Jamais au labour qui précède
Qu'un labour trop tôt ne succède,
Afin que la terre ait le temps
D'absorber les gaz fécondants.

Retourne la terre argileuse
Plus souvent que la sablonneuse
Remue à plus d'un pied le champ
Où tu veux semer le froment.

La houe en vingt jours ne remue
Autant qu'en un seul la charrue ;
Mais sois bien certain que houer
Vaut beaucoup mieux que labourer.
Avant de houer une pièce,
Du terrain remarque l'espèce;
Imprudemment ne va jamais
Pour le bon prendre le mauvais.

Le sol qu'avec soin l'on triture
Se prépare pour la culture.

Dans un terrain bien préparé Bon produit est presque assuré.

Engrais.

De tout temps la bonne culture Veut de fumier grosse mesure.

Double le fumier seulement, Le produit doublera souvent.

Fumer beaucoup, semer à peine, C'est la règle; que l'on s'y tienne.

Ne crois pas qu'il soit suffisant De fumer une fois ton champ.

Un repas dont on lui fit fête, Seul, n'engraisse pas une bête.

L'on devra seulement semer Le sol qu'on a pu bien fumer.

La récolte, quoique détruite, Bien enfouie encor profite.

Changer de semence.

Je ne dis pas, sois-en certain,
Tous les ans sème un nouveau grain;
Mais je t'engage avec instance
A changer parfois de semence.
Si l'épi n'est propre ni plein
Change de semence soudain.
Alterner.

Qui veut que son champ se repose
En culture sait peu de chose;
Les récoltes, en s'alternant,
Font assez reposer un champ.
Qui ne change pas de semence
Du sol ruine la puissance.

Les racines font discerner
Les plantes qu'on doit alterner:
Verticales et tubéreuses
S'alternent avec les fibreuses.

A bien alterner qui s'entend
Est sûr qu'un gros profit l'attend.
Qui sait bien alterner ses graines
Améliore ses domaines.

Le cultivateur entendu,
Tout en semant clair, cueille dru.
La semence trop enfoncée
Dans le sol demeure oppressée;
Mais si tu ne la couvres pas,
Les oiseaux en font leur repas;
Sur le blé trois pouces de terre
Sont un milieu fort salutaire.

Sans labour ne sème jamais;
C'est pire qu'un mauvais procès.

Celui qui de bonne heure sème,
Selon moi, suit un bon système.

De purger on n'est pas forcé
Le champ que propre on a laissé.
Si tu retardes la semaille,
Ta récolte n'est rien qui vaille.

Le sol une fois préparé,
Qu'au sillon le grain soit livré ;

Mais l'autonne fût-il sans pluie, Pour semer n'attends pas qu'il fuie.

Il faut que, l'hiver commencé, Du blé la racine ait poussé,

Sarcler et tenir le champ net. N'épargne rien, laboureur sage, De ce qu'exige le sarclage.

Quelques sous sont petit objet, Si ton champ demeure bien net.

Du sol, où le chiendent s'accroche, Extirpe-le de proche en proche.

A mauvaise herbe aucun quartier, Ou bien il en sort par millier. Avant que la fleur se présente, L'enterrer, c'est vaincre la plante; Amende tes soins, rarement L'herbe servit au traitement.

Qu'à blé niellé, cela t'importe, Succède un grain d'une autre sorte.

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