Revue de Paris |
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Seite 248 - Exposition des principes du gouvernement républicain, tel qu'il a été perfectionné en Amérique, Paris, 1833, in-8°, xxvn-415 p.
Seite 317 - Cher petit oreiller, doux et chaud sous ma tête, Plein de plume choisie, et blanc! et fait pour moi! Quand on a peur du vent, des loups, de la tempête, Cher petit oreiller, que je dors bien sur toi ! Beaucoup , beaucoup d'enfants pauvres et nus , sans mère , Sans maison , n'ont jamais d'oreiller pour dormir; Ils ont toujours sommeil . O destinée amère ! Maman ! douce maman ! cela me fait gémir.
Seite 317 - Maman ! douce maman ! cela me fait gémir. Et quand j'ai prié Dieu pour tous ces petits anges Qui n'ont pas d'oreiller, moi, j'embrasse le mien. Seule, dans mon doux nid qu'à tes pieds tu m'arranges, Je te bénis, ma mère, et je touche le tien. Je ne m'éveillerai qu'à la lueur première De l'aube ; au rideau bleu c'est si gai de la voir ! Je vais dire tout bas ma plus tendre prière : Donne encore un baiser, douce maman ! Bonsoir...
Seite 247 - L'art de la déclamation ne laissant après lui que des exemples et des souvenirs, et ne pouvant se transmettre par aucun précepte écrit, il est de la plus grande importance pour l'avenir de notre théâtre de réunir à la Comédie-Française tout ce qui reste de précieux talens qui l'ont illustrée.
Seite 317 - Dieu, ne fais plus d'orphelins-! Laisse descendre, au soir, un ange qui pardonne, Pour répondre à des voix que l'on entend gémir. Mets, sous l'enfant perdu que sa mère abandonne, Un petit oreiller qui le fera dormir ! L'enfant qui s'en va1.
Seite 119 - L'espérance que j'ai de vous voir demain retient ma main de vous faire plus long discours. Ce sera dimanche que je ferai le saut périlleux '. A l'heure que je vous écris j'ai cent importuns sur les épaules, qui me feront haïr Saint-Denis comme vous faites Mantes.
Seite 316 - Ondine! enfant joyeux qui bondis sur la terre, Mobile comme l'eau qui t'a donné son nom , Es-tu d'un séraphin le miroir solitaire? Sous ta grâce mortelle orne-t-il ma maison? Quand je t'y vois glisser , dansante et gracieuse , Je sens flotter mon âme errante autour de toi ; Je me regarde vivre, ombre silencieuse; Mes jours purs, sous tes traits, repassent devant moi. Car, toujours ramenés vers nos jeunes annales , Nous retrempons nos yeux dans leurs fraîches couleurs.
Seite 223 - ... rhumatismes, avec lesquels il s'avise de faire l'amoureux? Et le soir, quand il me sert de tabouret, croyez-vous que je ne pense pas avec une sorte de joie que j'ai là sous mes pieds l'un des plus grands seigneurs de la Grande-Bretagne, un des premiers pairs d'Angleterre? Et cependant c'est la sœur du malheureux prisonnier qu'ils assassinent qui le traite ainsi.
Seite 317 - Dieu des enfants, le cœur d'une petite fille, Plein de prière, écoute! est ici sous mes mains; On me parle toujours d'orphelins sans famille: Dans l'avenir, mon Dieu! ne fais plus d'orphelins! Laisse descendre au soir un ange qui pardonne, Pour répondre à des voix que l'on entend gémir. Mets sous l'enfant perdu, que la mère abandonne, Un petit oreiller qui le fera dormir.
Seite 316 - O ma blanche colombe ! entr'ouvre-moi ton aile ; Mon cœur a fait le tien ; il s'y renfermera ; Car ce serait affreux et pitié de t'apprendre, Quand tu baises mes pleurs, ce qui les fait couler ; Va les porter à Dieu, sans chercher à comprendre Ce qu'une larme pèse et coûte à révéler ! Tout pleure ! et l'innocent que le torrent entraîne, Et ceux qui, pour prier, n'ont que leurs repentirs ; Peut-être en ce moment les soupirs d'une reine, Sur la route du ciel, rencontrent mes soupirs. Mais...