Oeuvres de M. de Voltaire, Band 1;Band 29Cramer et Bardin, 1775 |
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abfurde accufé affaffine affez affurément aifément ainfi auffi avaient ayent c'eft c'eſt caufe cent Cérès chap chofe chrêtiens confervé connaiffance défert déja DIEU Dieux difait difent dire efprit enfans enfuite ère vulgaire eſpèce eſt facré fage faifait faint fang fans doute favez favoir feconde fecret felon femble femme fens fent ferait fervir feul fiécle fille fociété foient foit foleil fommes font fous fouvent ftatue fuis fupplice fuppofe fur l'Encycl furtout Gargantua gens gouvernement Grecs hiftoire hiftoriens hommes impoffible jamais jéfuites jufqu'à jufte juftice Juifs l'efprit l'églife l'hiftoire laiffe langue lèpre lieuës livre loix longtems Louis XIV Madian ment mille Monbailli monfieur Montefquieu n'eft n'en n'eſt nation néceffaire paffer parle pays penfer père Perfes perfonne peuple philofophes plaifir plufieurs préfent prefque puiffance puiffe qu'un quarré Queft raifon refte religion rien rois Romains Rome s'eft tems terre tion toûjours ufages voifins دو دو دو دو دو
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Seite 415 - Cette vénalité est bonne dans les États monarchiques, parce qu'elle fait faire , comme un métier de famille , ce qu'on ne voudrait pas entreprendre pour la vertu ; qu'elle destine chacun à son devoir, et rend les ordres de l'État plus permanens.
Seite 110 - Dieu solennellement avant d'aller exterminer son prochain. Si un chef n'a eu que le bonheur de faire égorger deux ou trois mille hommes, il n'en remercie point Dieu; mais lorsqu'il y...
Seite 189 - N'est-ce pas celle d'un gueux qui voudrait que tous les riches fussent volés par les pauvres, afin de mieux établir l'union fraternelle entre les hommes?
Seite 419 - Si l'on veut lire l'admirable ouvrage de Tacite sur les mœurs des Germains, on verra que c'est d'eux que les Anglais ont tiré l'idée de leur gouvernement politique. Ce beau système a été trouvé dans les bois.
Seite 128 - L'histoire est le récit des faits donnés pour vrais , au contraire de la fable , qui est le récit des faits donnés pour faux.
Seite 392 - Tout ce fatras fut du chanvre en son temps; Linge il devint par l'art des tisserands, Puis en lambeaux des pilons le pressèrent : II fut papier ; cent cerveaux à l'envers De visions à l'envi le chargèrent ; Puis on le brûle, il vole dans les airs, II est fumée, aussi bien que la gloire. De nos travaux voilà quelle est l'histoire ; Tout est fumée, et tout nous fait sentir Ce grand néant qui doit nous engloutir.
Seite 93 - ... au milieu de la nuit, pour être conduit dans un donjon ou dans un désert; que vous aurez, en sortant du sommeil, le pouvoir de publier tout ce que vous pensez; que si vous êtes...