Der Vokalismus des Vulgärlateins

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Seite 499 - En général ces formes du bas-latin sont des formes qui allongent ; par cela elles indiquent que les populations qui les avaient créées, et .qui s'en servaient, avaient perdu le sens des formes plus courtes et plus analogiques qui étaient propres à la latinité. Or un patois (on n'a qu'à le voir par nos propres patois) n'a pas ce caractère, et il tient plus de l'archaïsme que de toute autre chose, tandis que ces formes allongées sont néologiques, étant dictées par la nécessité d'assurer...
Seite ix - Sammlung und Bearbeitung dieses Materiales dürfte einen erheblichen Beitrag zur Bereicherung der lateinischen Grammatik und des lateinischen Lexikons ergeben. In der Untersuchung muss der...
Seite xi - Denn es liegt mehr im Interesse der Wissenschaft, über schwierige Punkte zuerst überhaupt eine, wenn auch kühne Ansicht aufzustellen, als dieselben blofs mit einem kritischen Kreuze zu bezeichnen, da auf jene Weise der Widerspruch, das belebende Element der Forschung, geweckt wird.
Seite ix - Vulgärlatein' strenggenommen nicht eine einzige Sprache, sondern eine Summe von Sprachstufen und Dialekten von der Zeit der ersten römischen bis zur Zeit der ersten wirklich romanischen Schriftdenkmäler bedeutet.
Seite 499 - ... considérées comme la transformation ou l'expansion. Il ya extinction de quelque chose d'ancien et naissance de quelque chose de nouveau. Pendant que le latin avait une existence qui de jour en jour cessait davantage d'être réelle, il se formait, parmi les populations, un parler qui en...
Seite 499 - Puis tout à coup il disparaît, et l'on voit sortir, comme de dessous terre, chacun des idiomes auxquels il a donné naissance. Il meurt brusquement et sans se transformer, de sorte que ces langues secondaires ne peuvent en être considérées comme la transformation ou l'expansion. Il ya extinction de quelque chose d'ancien et naissance de quelque chose de nouveau. Pendant que le...
Seite 499 - ... modifié. Une autre hypothèse a été de supposer que les langues romanes provenaient d'un certain latin rustique. Si par là on a voulu dire qu'au moment de la désorganisation ce fut la langue populaire qui prévalut, on a raison. Mais si l'on entend que le patois latin, qui se parlait sans doute dans les campagnes au temps d'Auguste et de ses successeurs, est plus particulièrement l'origine du roman, c'est-à-dire que les mots...
Seite 499 - ... une corruption qui ne l'est pas moins. Quant à l'allégation que les langues romanes proviennent du parler populaire qui avait cours, à côté du latin •littéral, dès les plus beaux temps de la langue, cela non plus n'est vrai que dans des limites assez étroites.
Seite 61 - Mille, mille, mille, mille, mille decollavimus. Unus homo mille, mille, mille decollavimus. Mille, mille, mille, mille, vivat qui mille occidit.
Seite 30 - C'est ce que prouvent les transcriptions du grec en syriaque. J'ai développé ceci dans mes Éclaircissements tirés des langues sémitiques sur quelques points de la prononciation grecque. (Paris, 1849.) La langue des inscriptions grecques de Syrie est très-mauvaise.

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