France en suspens attendait le succès d'une entreprise qui, selon toutes les règles de la guerre, était infaillible. Hélas ! nous savions tout ce que nous pouvions espérer, et nous ne pensions pas à ce que nous devions craindre. Principes de littérature - Seite 161von Charles Batteux - 1824Vollansicht - Über dieses Buch
| Dumarsais - 1811 - 420 Seiten
...règles de la guerre , était m« faillible. Hélas ! nous savions ce que nous u devions espérer j et nous ne pensions pas à « ce que nous devions craindre. . . . O Dicu « terrible, mais juste en vos conseils sur le* « enfants des hommes ! vous disposez «t des... | |
| Ludwig Ideler - 1812 - 618 Seiten
...en suspens attendoit le succès d'une entreprise, qui, eelon toutes les règles de la guerre, étoit infaillible. Hélas.' nous savions tout ce que nous...espérer, et nous -ne pensions pas à' ce que nous devion* craindre. La providence divine nous cacboit un malheur plus grand que la perte d'une bataille.... | |
| Christian Ludwig Ideler - 1818 - 636 Seiten
...en suspens atlcndoit le succès d'une entreprise, qui, selon toutes les règles de la guerre, étoit infaillible. Hélas! nous savions tout ce que nous...nous ne pensions pas à ce que nous devions craindre. Là providence divine nous cachoit un malheur plu< grand que la ppHc d'une bataille. Il en devoit coûter... | |
| Charles Pierre Girault-Duvivier - 1822 - 706 Seiten
...dans l'intonation que dans les idées. Ainsi , dans cette phrase : Nous savions ce que n.ous devions espérer , et nous ne pensions pas à ce que nous devions craindre ; l'intonation sera plus haute dans le premier membre , et plus basse dans le second. Mais cette variété... | |
| Esprit Fléchier - 1823 - 436 Seiten
...précipiter cettu retrnitu; et lu Fraurr. on suspens attendait le suceès d'une ontrepi isr il«i, selon toutes les règles de la guerre, était infaillible....nous ne pensions pas à ce que nous devions craindre. Lu providence divine nous cachnil un mnllieur plus grand que la perte d'une bal aille, îl en devoit... | |
| Esprit Fléchier - 1826 - 512 Seiten
...en suspens attendoit le succès d'une entreprise qui , selon toutes les règles de la guerre, étoit infaillible. Hélas ! nous savions tout ce que nous...nous ne pensions pas à ce que nous devions craindre. La Providence divine nous en choit un malheur plus grand que la perte d'une bataille. Il en devoit... | |
| Esprit Fléchier - 1828 - 972 Seiten
...en suspens attendoit le succès d'une entreprise qui , selon toutes les règles de la guerre, étoit infaillible. Hélas ! nous savions tout ce que nous...nous ne pensions pas à ce que nous devions craindre. La providence divine nous cachoit un malheur plus grand que la perte d'une bataille ; il en devoit... | |
| Esprit Fléchier - 1828 - 470 Seiten
...en suspens attendoit le succès d'une entreprise qui, selon toutes les règles de la guerre , étoit infaillible. Hélas ! nous savions tout ce que nous...nous ne pensions pas à ce que nous devions craindre. La providence divine nons cachoit un malheur plus grand que la perte d'une bataille ; il en devoit... | |
| 1830 - 682 Seiten
...cipiler cette retraite, et la France en suspens attendait le succès d'utir; entreprise qui, selon toutes les règles de la guerre, était infaillible....Hélas! nous savions tout ce que nous pouvions espérer y et nous ne pensions pas à ce que nous devions craindre. La providence divine nous cachait un malheur... | |
| Charles Pierre Girault-Duvivier - 1830 - 762 Seiten
...dans l'intonation que dans les idées. Ainsi, dans celle pbrase: A'otu gavions ce que nous devions espérer, et nous ne pensions pas à ce que nous devions craindre; l'intonation sera plus baute, dans le premier membre, et plus basse dans le second. Mais cette variété... | |
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