Oeuvres complètes de Voltaire: Correspondance généraleCarez, Thomine et Fortic, 1821 |
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Voltaire. LETTRE I I I. 1736 . A M. DE CIDEVILLE . A Cirey , le 19 janvier . JE E vous avais écrit , mon cher Cideville , une lettre qui n'était que longue , en réponse à votre épitre charmante où vous aviez mis cette jolie épitaphe . Je ...
Voltaire. LETTRE I I I. 1736 . A M. DE CIDEVILLE . A Cirey , le 19 janvier . JE E vous avais écrit , mon cher Cideville , une lettre qui n'était que longue , en réponse à votre épitre charmante où vous aviez mis cette jolie épitaphe . Je ...
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... cher Cideville , je vous remercie bien tendrement de la part que vous prenez à la cruelle affliction où je suis . Il n'y a que des amis comme vous qui puissent me consoler . J'ai besoin plus que jamais que vous m'aimiez . Je me veux du ...
... cher Cideville , je vous remercie bien tendrement de la part que vous prenez à la cruelle affliction où je suis . Il n'y a que des amis comme vous qui puissent me consoler . J'ai besoin plus que jamais que vous m'aimiez . Je me veux du ...
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Voltaire Theodore Besterman. D2094 . Voltaire to Pierre Robert Le Cornier de Cideville Mon cher Cideville voicy un jeune homme qui fait des vers , et qui veut en déclamer . Ce seroit je croi une bonne aquisition pour La trouppe de Lanoue ...
Voltaire Theodore Besterman. D2094 . Voltaire to Pierre Robert Le Cornier de Cideville Mon cher Cideville voicy un jeune homme qui fait des vers , et qui veut en déclamer . Ce seroit je croi une bonne aquisition pour La trouppe de Lanoue ...
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... Cideville ( D1285 ) : Mon cher Cideville j'ai reçu vos lettres , où vous faites parler votre cœur avec tant d'esprit . Pardon mon cher ami , si j'ai tardé si longtemps à vous répondre . Je vais bien haïr la philosophie qui m'a ôté l ...
... Cideville ( D1285 ) : Mon cher Cideville j'ai reçu vos lettres , où vous faites parler votre cœur avec tant d'esprit . Pardon mon cher ami , si j'ai tardé si longtemps à vous répondre . Je vais bien haïr la philosophie qui m'a ôté l ...
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... Cideville , mon cher Cideville m'ai- me toujours , je suis consolé . » N ° 59 . AU MÊME . Paris , 11 Octobrc . << Mon cher ami , je tombai malade le jour même que je devais partir avec M. le duc de Richelieu , et me voici entre MM ...
... Cideville , mon cher Cideville m'ai- me toujours , je suis consolé . » N ° 59 . AU MÊME . Paris , 11 Octobrc . << Mon cher ami , je tombai malade le jour même que je devais partir avec M. le duc de Richelieu , et me voici entre MM ...
Häufige Begriffe und Wortgruppen
Adieu aimable aime Alzire amis amitié assez assurément aura avez beau bonté calomnies charmante cher ami cher Cideville cher Thiriot chose Cirey cœur comédie corriger crois d'Argental d'avoir d'écrire Demoulin Dieu dire donner duc de Richelieu écrire écrit édition embrasse Émilie envoyé épître Éryphile êtes fâché fera fesait flatte Formont fortune garde des sceaux gens Henri IV Henriade Hérault heureux homme imprimer j'ai j'aime j'aurai j'avais j'en jamais Jore jours l'abbé Desfontaines l'amitié l'édition Lamarre Lettres anglaises Linant long-temps Louis XIV m'avez m'en madame du Châtelet mademoiselle malade mande Mandez-moi Mariamne marquise du Châtelet ment mérite mieux mille monde monsieur Montjeu n'ai Newton ouvrage pardonne parler passer penser personne petit philosophe pièce plaisir poëme poëte Pollion prince public raison Richelieu rien Rouen Rousseau s'il sais Samson santé savez sentiments sera seul sûr Temple du Goût tendre tragédie trouve Ussé vais vérité veux Voilà Voltaire voudrais Zaïre
Beliebte Passagen
Seite 163 - Dans deux ou trois ans il écrira mieux que moi, et je l'en aimerai davantage. Mon Dieu! mon cher Cideville, que ce serait une vie délicieuse de se trouver logés ensemble trois ou quatre gens de lettres, avec des talents et point de jalousie ! de s'aimer, de vivre doucement, de cultiver son art, d'en parler, de s'éclairer mutuellement!
Seite 454 - Il est vrai que je lui souhaite quelquefois un style moins recherché et des sujets plus nobles; mais je suis bien loin de l'avoir voulu désigner en parlant des comédies métaphysiques. Je...
Seite 352 - ... d'un vieil inutile, infirme, est une chose bien pitoyable. Si cela ne vous donne pas un peu de courage et ne vous excite pas à secouer l'engourdissement dans lequel vous laissez votre âme, rien ne vous guérira.
Seite 159 - ... exceptez M. Racine. Je regarde ces deux grands hommes comme les seuls qui aient eu un pinceau correct, qui aient toujours employé des couleurs vives, et copié fidèlement la nature. Ce qui m'a toujours charmé dans leur style, c'est qu'ils ont dit ce qu'ils voulaient dire, et que jamais leurs pensées n'ont rien coûté à l'harmonie ni à la pureté du langage.
Seite 200 - ... voulait point entendre parler des cérémonies du départ ; mais j'étais obligé d'honneur à la faire mourir dans les règles. Je lui amenai un prêtre moitié janséniste, moitié politique, qui fit semblant de la confesser, et vint ensuite lui donner le reste.
Seite 55 - Forge m'ont tué, je passe chez vous une vie solitaire, j'ai renoncé à toute la nature. Je regarde les maladies un peu longues comme une espèce de mort qui nous sépare et qui nous fait oublier...
Seite 351 - Poplinière1, je vous reproche de borner là toutes vos pensées et toutes vos espérances. Vous vivez comme si l'homme avait été créé uniquement pour souper, et vous n'avez d'existence que depuis dix heures du soir jusqu'à deux heures après minuit.
Seite 558 - On paie deux, trois cents, quatre cents florins par an à des nouvellistes obscurs de Paris , qui griffonnent toutes les infamies imaginables , qui forgent des histoires auxquelles les regrattiers de Hollande ajoutent encore ; et tout cela s'en va réjouir les cours de l'Allemagne et de la Russie.
Seite 302 - Les misères de la vie, philosophiquement parlant, ne prouvent pas plus la chute de l'homme , que les misères d'un cheval de fiacre ne prouvent que les chevaux étaient tous autrefois gros et gras, et ne recevaient jamais de coups de fouet; et que, depuis que l'un d'eux s'avisa de manger de l'avoine, tous ses descendans furent condamnés à traîner des fiacres.
Seite 15 - ... vous me devez. Je ne me suis point caché de l'envie que j'ai d'aller moimême consulter mon oracle. On allait autrefois de plus loin au temple d'Apollon, et sûrement on n'en revenait point si content que je le serai de votre commerce. Je vous donne ma parole que, si vous allez jamais aux PaysBas, j'y viendrai passer quelque temps avec vous. Si même l'état de ma fortune présente me...