Oeuvres complètes de Voltaire: Correspondance généraleCarez, Thomine et Fortic, 1821 |
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Seite 358
... Pollion , celle de Mi- nerve - Émilie est celle où vous devriez être . Tâchez de vous assurer dans votre chemin de tout ce que vous trouverez qui concernera l'histoire des hommes sous Louis XIV , de tout ce qui regar dera le progrès des ...
... Pollion , celle de Mi- nerve - Émilie est celle où vous devriez être . Tâchez de vous assurer dans votre chemin de tout ce que vous trouverez qui concernera l'histoire des hommes sous Louis XIV , de tout ce qui regar dera le progrès des ...
Seite 361
... Pollion de La Poplinière pensât de moi plutôt comme les étrangers que comme les Français . On m'a dit que ce portrait est imprimé . Je suis persuadé que les calomnies dont il est plein seront crues quelque temps , et je suis encore plus ...
... Pollion de La Poplinière pensât de moi plutôt comme les étrangers que comme les Français . On m'a dit que ce portrait est imprimé . Je suis persuadé que les calomnies dont il est plein seront crues quelque temps , et je suis encore plus ...
Seite 363
... Pol- lion - Poplinière ; vous assistez à de beaux concerts italiens ; vous voyez les pièces nouvelles ; vous êtes dans le tourbillon du monde , des belles lettres et des plaisirs ; moi je goûte , dans la paix la plus pure et dans le ...
... Pol- lion - Poplinière ; vous assistez à de beaux concerts italiens ; vous voyez les pièces nouvelles ; vous êtes dans le tourbillon du monde , des belles lettres et des plaisirs ; moi je goûte , dans la paix la plus pure et dans le ...
Seite 370
... Pollion de La Poplinière pense un peu favorable- ment de moi . C'est à de tels lecteurs que j'offre mes écrits . Je suis toujours très indigné de l'édition de Ju- les - César ; je ne l'ai point encore vuc . I On dit que dans les Indes l ...
... Pollion de La Poplinière pense un peu favorable- ment de moi . C'est à de tels lecteurs que j'offre mes écrits . Je suis toujours très indigné de l'édition de Ju- les - César ; je ne l'ai point encore vuc . I On dit que dans les Indes l ...
Seite 407
... mes jours dans les douceurs de la société et du tra- vail , et je ne regrette guère que vous . Je voudrais être aussi - bien auprès de Pollion , que vous auprès d'Émilie . * 257.A M. BERGER . * A Cirey , le GÉNÉRALE . - 1735 . 407.
... mes jours dans les douceurs de la société et du tra- vail , et je ne regrette guère que vous . Je voudrais être aussi - bien auprès de Pollion , que vous auprès d'Émilie . * 257.A M. BERGER . * A Cirey , le GÉNÉRALE . - 1735 . 407.
Häufige Begriffe und Wortgruppen
Adieu aimable aime Alzire amis amitié assez assurément aura avez beau bonté calomnies charmante cher ami cher Cideville cher Thiriot chose Cirey cœur comédie corriger crois d'Argental d'avoir d'écrire Demoulin Dieu dire donner duc de Richelieu écrire écrit édition embrasse Émilie envoyé épître Éryphile êtes fâché fera fesait flatte Formont fortune garde des sceaux gens Henri IV Henriade Hérault heureux homme imprimer j'ai j'aime j'aurai j'avais j'en jamais Jore jours l'abbé Desfontaines l'amitié l'édition Lamarre Lettres anglaises Linant long-temps Louis XIV m'avez m'en madame du Châtelet mademoiselle malade mande Mandez-moi Mariamne marquise du Châtelet ment mérite mieux mille monde monsieur Montjeu n'ai Newton ouvrage pardonne parler passer penser personne petit philosophe pièce plaisir poëme poëte Pollion prince public raison Richelieu rien Rouen Rousseau s'il sais Samson santé savez sentiments sera seul sûr Temple du Goût tendre tragédie trouve Ussé vais vérité veux Voilà Voltaire voudrais Zaïre
Beliebte Passagen
Seite 163 - Dans deux ou trois ans il écrira mieux que moi, et je l'en aimerai davantage. Mon Dieu! mon cher Cideville, que ce serait une vie délicieuse de se trouver logés ensemble trois ou quatre gens de lettres, avec des talents et point de jalousie ! de s'aimer, de vivre doucement, de cultiver son art, d'en parler, de s'éclairer mutuellement!
Seite 454 - Il est vrai que je lui souhaite quelquefois un style moins recherché et des sujets plus nobles; mais je suis bien loin de l'avoir voulu désigner en parlant des comédies métaphysiques. Je...
Seite 352 - ... d'un vieil inutile, infirme, est une chose bien pitoyable. Si cela ne vous donne pas un peu de courage et ne vous excite pas à secouer l'engourdissement dans lequel vous laissez votre âme, rien ne vous guérira.
Seite 159 - ... exceptez M. Racine. Je regarde ces deux grands hommes comme les seuls qui aient eu un pinceau correct, qui aient toujours employé des couleurs vives, et copié fidèlement la nature. Ce qui m'a toujours charmé dans leur style, c'est qu'ils ont dit ce qu'ils voulaient dire, et que jamais leurs pensées n'ont rien coûté à l'harmonie ni à la pureté du langage.
Seite 200 - ... voulait point entendre parler des cérémonies du départ ; mais j'étais obligé d'honneur à la faire mourir dans les règles. Je lui amenai un prêtre moitié janséniste, moitié politique, qui fit semblant de la confesser, et vint ensuite lui donner le reste.
Seite 55 - Forge m'ont tué, je passe chez vous une vie solitaire, j'ai renoncé à toute la nature. Je regarde les maladies un peu longues comme une espèce de mort qui nous sépare et qui nous fait oublier...
Seite 351 - Poplinière1, je vous reproche de borner là toutes vos pensées et toutes vos espérances. Vous vivez comme si l'homme avait été créé uniquement pour souper, et vous n'avez d'existence que depuis dix heures du soir jusqu'à deux heures après minuit.
Seite 558 - On paie deux, trois cents, quatre cents florins par an à des nouvellistes obscurs de Paris , qui griffonnent toutes les infamies imaginables , qui forgent des histoires auxquelles les regrattiers de Hollande ajoutent encore ; et tout cela s'en va réjouir les cours de l'Allemagne et de la Russie.
Seite 302 - Les misères de la vie, philosophiquement parlant, ne prouvent pas plus la chute de l'homme , que les misères d'un cheval de fiacre ne prouvent que les chevaux étaient tous autrefois gros et gras, et ne recevaient jamais de coups de fouet; et que, depuis que l'un d'eux s'avisa de manger de l'avoine, tous ses descendans furent condamnés à traîner des fiacres.
Seite 15 - ... vous me devez. Je ne me suis point caché de l'envie que j'ai d'aller moimême consulter mon oracle. On allait autrefois de plus loin au temple d'Apollon, et sûrement on n'en revenait point si content que je le serai de votre commerce. Je vous donne ma parole que, si vous allez jamais aux PaysBas, j'y viendrai passer quelque temps avec vous. Si même l'état de ma fortune présente me...