Le génie du christianisme, Band 1 |
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Seite 44 - Où menez-vous ces enfants et ces femmes? (") Le Seigneur a détruit la reine des cités ; Ses prêtres sont captifs , ses rois sont rejetés. Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités. Temple , renverse-toi. Cèdres, jetez des flammes. Jérusalem , objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes! Qui changera mes yeux en deux sources de larmes Pour pleurer ton malheur ? AZARIAS.
Seite 25 - Ton Dieu que tu trahis, ton Dieu que tu blasphèmes, Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres ; Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
Seite 241 - ... c'est d'elle seule que les hommes bienheureux sont nourris; elle sort d'eux et elle y entre ; elle les pénètre et s'incorpore à eux comme les aliments s'incorporent à nous. Ils la voient , ils la sentent, ils la respirent ; elle fait naître en eux une source intarissable de paix et de joie.
Seite 229 - Les forêts des Gaules ont passé à leur tour dans les temples de nos pères, et nos bois de chênes ont ainsi maintenu leur origine sacrée. Ces voûtes ciselées en feuillages, ces jambages, qui appuient les murs et finissent brusquement comme des troncs brisés...
Seite 155 - Per me si va nella città dolente; per me si va nell' eterno dolore; per me si va tra la perduta gente.
Seite 44 - Pleure, Jérusalem; pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide ; De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé ; Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes? Le Seigneur a détruit la reine des cités : Ses prêtres sont captifs , ses rois sont rejetés.
Seite 44 - En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Seite 309 - Tertullien * , parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps: il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux restes.
Seite 25 - C'est le sang des héros, défenseurs de ma loi; C'est le sang des martyrs.... O fille encor trop chère, Connais-tu ton destin? sais-tu quelle est ta mère? Sais-tu bien qu'à l'instant que son flanc mit au jour Ce triste et dernier fruit d'un malheureux amour , Je la vis massacrer par la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée ! Tes frères , ces martyrs égorgés à mes yeux , T'ouvrent leurs bras sanglants , tendus du haut des cieux.
Seite 330 - Je crois que nous ne nous entendons pas sur l'article du peuple, que vous croyez digne d'être instruit. J'entends par peuple la populace, qui n'a que ses bras pour vivre. Je doute que cet ordre de citoyens ait jamais le temps ni la capacité de s'instruire; ils mourraient de faim avant de devenir philosophes. Il me paraît essentiel qu'il y ait des gueux ignorants. Si vous faisiez valoir comme moi une terre, et si vous aviez des charrues, vous seriez bien de mon avis.