Abbildungen der Seite
PDF
EPUB

MM.

LISTE DES AUTEURS QUI ONT CONTRIBUÉ A LA RÉDACTION
DU 8 VOLUME DE CETTE ÉDITION.

Arago (Étienne).

Arago (Jacques).

Artaud, insp. gén, de l'enseign. prim.

Aubert de Vitry.

Audiffret (H.).

Baillet de Sondalo.

Bailly, de Blois (docteur).

Bandeville (l'abbé).

Bardin (le général).

Barré (Édouard).

[blocks in formation]

Barthe, anc. membre de l'Ass, nationale. Fauche (H.).

Fayot (Frédéric).

Ferry, ancien examinateur à l'École poly- Orbigny (C. d').

Nisard (Charles).

Odolant-Desnos.

Barthélemy (l'abbé).

Baucher, professeur d'équitation.

Baudry de Balzac (docteur).

Belfeld-Lefèvre.

Benoist (F.).

Bertet-Dupiney.

Billot.

Bordas-Demoulin.

d'Eure-et-Loir.

Bouillet, ancien proviseur.

Boullée (A.).

[blocks in formation]

Bouchitté (H.), recteur de l'Académie Fournier (Édouard).

Page (Théogène), capitaine de vaisseau.
Pariset (Dr), de l'Académie de médecine.
Pecqueur (C.).

Français de Nantes (comte), ancien Pellissier.

pair de France.

Fresse-Montval.

[blocks in formation]
[blocks in formation]

Gervais (Paul), professeur à la Faculté Roger (Dr Henri).

des sciences de Montpellier.

Rogron, avocat à la Cour de cassation.

Golbéry (P. de), anc. procureur général. | Roland (Pauline).

Grangez (Ernest).

Guizot (F.), de l'Académie française.

Hennequin (V.).

Héreau (Edme).

Héricourt (Ach. d').

Husson (Auguste).

Chasles (Philarète), professeur au College Janin (Jules).

de France.

Clermont (N.).

Colin.

Colombat de l'Isère (docteur).

Cottereau (D' P. L.).

Coupin (P. A.).

Cuvier, de l'Académie des sciences.

Danjou (F.).

Delbare (Th.).

Delestre (J.-B.).

Démezil.

Denne-Baron.

Denne-Baron (Mme Sophie).

Joncières.

Kératry (de).

Romey (Charles).

Saint-Genis (H. de).

Saint-Prosper.

Saint-Prosper jeune.

Salverte (Eusèbe), de l'Institut.
Sandeau (Jules).

Sarrans (B.).

Saucerotte (docteur ).

Savagner (Aug.).

Sedillot.

Silvestre.

Kirwan (A. V.), avocat à la cour du Say (J.-B.), de l'Institut.

Queen's Bench, à Londres.

Labat (Dr Léon).

de France.

Laboulaye (Édouard), de l'Institut.

Labitte (Charles), professeur au collège Teyssèdre.

Delamarche (A.), ingénieur bydrographe. La Grange (m1), sénateur, de l'Institut.

Desclozeaux (Ernest), ancien secrétaire

général du ministère de la justice.

Desmarest (E.), avocat à la Cour d'appel

de Paris.

Desmarest (Mme Joséphine).
Dinaux (Arthur).

bubard, ancien procureur général.

Lainé, anc. généalogiste des ordres du roi.
La Madelene (Jules de).

Laurent (Dr L.), ancien chirurgien en

chef de la marine. Laurent (de l'Ardèche). Laurentie.

Lavigne (E.).

Legoyt (Alfred).
Le Guillou (docteur).
Lemoine (Edouard).
Lemonnier (Charles).
Lepeintre.

Thibaud (Hippolyte).

Thoré (Th.).

Tiby (Paul).

Tissot, de l'Académie française.

Tollard alné.

Vaisse (Léon).
Vaucher (L.).

Vaudoncourt (général G. de ).

Vaulabelle (Achille), ancien ministre de

l'instruction publique.

Viennet, de l'Académie française.

Viollet-Leduc.

Virey (J.-J.), de l'Académie de médecine.

Vivien, de l'Institut.

Volart (Elise

[blocks in formation]

DICTIONNAIRE

DE LA

CONVERSATION

ET DE LA LECTURE

INVENTAIRE RAISONNÉ DES NOTIONS GÉNÉRALES LES PLUS INDISPENSABLES A TOUS
PAR UNE SOCIÉTÉ DE SAVANTS ET DE GENS DE LETTRES

SOUS LA DIRECTION DE M. W. DUCKETT

[blocks in formation]

PARIS

es ent

e et

mes, e figuépuisé, vait sous it que sept ~, empreints uleur, étaient etait d'une avaComptement trèsce que l'on attribue artée qu'il adopta à - quittée. Au reste, le iui fut pas inutile, et eclat de couleur et cette ment tant de prix et de Dow est peintre; il doit ce tre: peut-être, ce qui est plus tre; maintenant, il lui reste iquera ce talent. Il commence sa manière est minutieuse et ales; l'ennui les gagne, et leurs me alors dans son atelier, et se , celui de donner à ses ouvrages

LIBRAIRIE DE FIRMIN DIDO FRERES, FILS ET C

INPREFERS DE DE FRANCE

M DO LXXT

[graphic]
[blocks in formation]

Les lecteurs sont prévenus que tous les mots espacés dans le texte courant (par exemple Transsubstantiation, Immortalité, César) sont l'objet d'articles spéciaux dans le Dictionnaire, et constituent dès lors autant de renvois à consulter.

1070583-190

DICTIONNAIRE

DE

LA CONVERSATION

ET DE LA LECTURE.

DOVALLE (Feu). Ce nom, depuis longtemps oublié, eut un certain retentissement dans les derniers jours de la Restauration. C'était celui d'un tout jeune écrivain, attaché à la rédaction d'un petit journal de critique théâtrale. Il fut tué en duel par un directeur, qu'il avait gratuitement insulté. L'origine futile de ce duel, sa fatale issue, impressionnèrent vivement cette multitude indifférente et blasée qu'on appelle le public. Toujours à l'affût des émotions passagères de la foule, les feuilles publiques décernèrent hypocritement les honneurs de l'apothéose à l'étourdi qui venait de payer de sa vie un moment de vivacité; et ce fut alors, parmi nos entrepreneurs de réputations, à qui déplorerait le plus la perte prématurée d'un écrivain qui n'avait encore pu parvenir qu'à se faire admettre dans les rangs de la bohéme littéraire en possession d'exploiter la vanité des acteurs, mais qui dès qu'il fut bel et bien enterré se trouva subitement avoir eu tous les talents, toutes les qualités de l'esprit et du cœur. La spéculation finit par s'en mêler, et il y eut bientôt dans les journaux de tout format un déluge de pièces inédites, offertes à l'admiration du public par des auteurs trop modestes ou trop avisés pour ne pas apprécier la valeur d'un pseudonyme en crédit.

Dovalle était né le 23 juin 1807, à Montreuil-Bellay (Maine-et-Loire); il fut tué le 30 novembre 1829, à Paris, par le fils de l'acteur Brunet, qui dirigeait alors le théâtre des Variétés. Une souscription fut ouverte pour élever un monument à sa mémoire. Ses Œuvres ont été publiées à Paris (1830, in-8°).

DOVE (HENRI-GUILLAUME), l'un des plus célèbres physiciens de notre époque, né le 6 octobre 1803, à Liegnitz, où son père exerçait le commerce, se consacra exclusivement, à partir de 1821, à l'étude des sciences mathématiques et physiques. La thèse qu'il soutint pour le doctorat était intitulée: Debarometri mutationibus (Berlin, 1826). Peu de temps après, il s'établit comme professeur particulier à Koenigsberg, où il fut nommé agrégé en 1828; position qu'il échangea l'année suivante contre une place analogue à Berlin, où par la suite il est devenu professeur titulaire et membre de l'Académie des sciences. C'est sur sa proposition qu'a été fondé l'Institut royal de météorologie, dont il a été nommé directeur. Parmi ses ouvrages les plus importants nous citerons surtout ses Recherches météorologiques (1837), son Essai sur les Variations périodiques de la température à la surface de la terre (1843), de l'Électricité (1848), Théorie des couleurs (1853), la Loi

DICT. DE LA CONVERS. T. VIII.

des tempêtes (1857), et Phénomènes météorologiques de l'Allemagne du Nord (1864).

DOVER (Poudre de). On appelle ainsi, en médecine, un mélange d'opium et de poudre d'ipécacuanha (dans la proportion pour chacune de ces matières d'environ 3 à 4). diarrhée, et on l'emploie aussi comme narcotique et comme Cette poudre est un moyen certain et agréable contre la sudorifique. On y ajoute quelquefois un sel laxatif (sulfate de soude ou de potasse), addition qui dans beaucoup de cas peut être très-nuisible. Dans ces derniers temps la morphine a un peu détrôné la poudre de Dover.

DOW (GÉRARD), célèbre peintre hollandais, dont on rencontre aussi quelquefois le nom écrit Don ou Douw, naquit à Leyde, en 1613. Son père était vitrier; cette profession avait alors pour principale occupation la peinture sur verre, encore fort en honneur à cette époque. Le jeune Gérard étudia donc d'abord la peinture sur verre; mais il l'abandonna à l'âge de quinze ans, pour entrer dans l'atelier de Rembrandt, le Shakspeare de l'école hollandaise. Il n'y resta que trois ans, et prit immédiatement son essor. Tous les biographes qui se sont occupés de Gérard Dow s'étonnent qu'un élève du peintre le plus fougueux, le plus poétique et le moins fini, se soit borné à reproduire des scènes calmes, dans lesquelles il ne fait entrer qu'un petit nombre de figures, et qu'il n'ait quitté le pinceau que lorsqu'il avait épuisé, pour ainsi dire, tous les détails du modèle qu'il avait sous les yeux. Il faut remarquer que Rembrandt n'avait que sept ans de plus que son élève. Ses premiers ouvrages, empreints d'une grande expression, et d'une très-belle couleur, étaient cependant très-étudiés et très-finis. Mais il était d'une avarice extrême, et ses productions furent promptement trèsrecherchées; c'est à cette double circonstance que l'on attribue la manière plus expéditive et plus heurtée qu'il adopta à une certaine époque, et qu'il n'a plus quittée. Au reste, le séjour de Dow chez Rembrandt ne lui fut pas inutile, et c'est à lui sans doute qu'il doit cet éclat de couleur et cette entente du clair-obscur qui donnent tant de prix et de charme à ses tableaux. Gérard Dow est peintre; il doit ce talent à la nature ou à son maître: peut-être, ce qui est plus vraisemblable, à l'un et à l'autre; maintenant, il lui reste à savoir à quel genre il appliquera ce talent. Il commence par faire des portraits; mais sa manière est minutieuse et lente il fatigue ses modèles; l'ennui les gagne, et leurs traits s'altèrent. Il s'enferme alors dans son atelier, et se livre à son goût dornant, celui de donner ses ouvrages

:

[blocks in formation]

tout le fini qu'une étude attentive et prolongée peut produire. Mais, et c'est là le grand mérite de Dow, s'il a mis un temps considérable à exécuter ses tableaux, nulle part, cependant, on ne sent la fatigue; partout, au contraire, son pinceau est délicat sans sécheresse.

On raconte que, pour s'aider dans son travail, il mettait un châssis à carreaux devant les modèles ou les objets qu'il voulait peindre, et qu'il divisait sa toile d'un même nombre de carreaux proportionnellement réduits; qu'il broyait luimême ses couleurs, qu'il faisait ses pinceaux; que lorsqu'il cessait de peindre, il renfermait ses tableaux et sa palette, et qu'avant de les reprendre il restait quelque temps immobile pour laisser tomber la poussière. Qu'importe? ce ue sont là que des habitudes de travail qui ne donnent pas le talent chaque artiste a ses manies, chaque époque a ses procédés. Longtemps les peintres italiens ont fait broyer leurs couleurs chez eux; et si les peintres modernes les achètent toutes préparées, la peinture n'y a pas gagné : que l'on considère les ouvrages exécutés depuis trente ans seulement, et l'on sera frappé de l'altération qu'ils ont éprouvée; c'est que les marchands sont beaucoup plus soigneux de leur intérêt que de celui de l'art. Les tableaux de Gérard Dow ont, au contraire, conservé toute leur fraîcheur; il n'a donc pas pris une peine inutile, et c'est sans contredit un avantage incontestable.

Le Musée du Louvre possède un assez grand nombre d'ouvrages de ce peintre; le plus important est celui qui représente La Femme hydropique : ce tableau, dans lequel Gérard Dow est sorti de son genre habituel quant au caractère de la scène, fait regretter qu'il n'ait pas entrepris plus souvent des ouvrages de cette nature. Trois personnages composent cette scene, et chacun d'eux, par une expression siraple, vraie et bien sentie, concourt à l'effet général, qui ne laisse rien à désirer. Le médecin est grave et tout occupé de son art; la pauvre mère éprouve tout à la fois de l'accablement et de la résignation: on voit qu'elle connaît le sort qui l'attend, et qu'elle n'est plus occupée que de sa fille, dont les larmes trahissent les angoisses. Ce tableau, acheté primitivement 30,000 florins, faisait partie du cabinet du roi de Sardaigne, qui le donna au général Clausel; celui-ci en fit hommage au Directoire. C'est une précieuse conquête pour notre Musée; il a été gravé deux fois, notamment, et en dernier lieu, par M. Claessens, qui a reproduit l'original dans sa dimension, et avec un talent fort_remarquable; c'est une très-belle estampe. Wille a laissé aussi un grand nombre de planches d'après Gérard Dow.

On croit que Gerard Dow mourut en 1680; on ne pourrait cependant l'affirmer. Ce qu'il y a de certain, c'est qu'il vivait encore en 1664, puisque l'un des tableaux du Musée, Le Peseur d'or, porte cette date. Ses principaux élèves furent Sckhalken, Mieris et Metzu.

P.-A. COUPIN.

DOWN, comté formant l'extrémité orientale de la province d'Ulster (Irlande), situé entre les comtés de Louth, d'Armagh et d'Antrim et la mer d'Irlande, qui y pénètre fort avant, par un bras appelé le Lough Strangford, et qui, avec les baies de Carlingford et de Belfast, forme ses limites au sud et au nord, tandis qu'il est borné au sud-est par la baie de Dundrum. Le Newry, qui coule dans la direction du sud, vient se jeter dans la baie de Carlingford; le Ban, qui coule au nord, déverse ses eaux dans un grand lac intérieur appelé Neagh. Un canal les met en communication l'un avec l'autre, et un autre relie encore au Neagh le Lagan, qui a son embouchure dans la baie de Belfast.

Les côtes de ce comté sont généralement plates; mais à l'intérieur le sol en est montagneux. Au sud notamment, on y trouve la chaîne granitique des monts Mourne, dont le pic le plus élevé, le Sleve-Donard, est à 885 mètres audessus du niveau de la mer. Sur quelques points ce sol est marécageux, partout ailleurs il est assez fertile, et le climat

[ocr errors]

DOYEN

sain et tempéré. On y récolte peu de seigle, mais beaucoup d'orge et de pommes de terre. Après les produits de l'agriculture, les principales ressources de la population consistent dans l'élève du bétail, des moutons surtout, la pêche, l'exploitation de mines de fer, de cuivre, de plomb et de | houille, et le tissage du lin. Le commerce d'exportation a pour principaux objets les bestiaux, l'orge, les harengs, les toiles et les poteries. Ce comté est divisé en 8 baronnies; sa superficie est de 43 myriamètres carrés. En 1871 sa population était de 277,715 habitants; depuis trente ans elle avait diminué de 84,725 âmes.

Son_chef-lieu Down ou Down-Patrick, sur le Lough Strangford, Pune des villes les plus anciennes de l'Irlande, siége d'évêché, compte 4,000 habitants, dont la fabrication des toiles est la principale industrie. Tout près de là se trou. vent les eaux minérales de Saint-Patrick. Mais l'endroit le plus peuplé de tout le comté est le bourg de Newry, construit sur les bords du canal conduisant depuis 1765 à la mer. Sa population, forte de 10,000 ames, fait un commerce actif en produits métallurgiques, eaux-de-vie de grains, bière, toile, beurre et viandes salées.

DOXOLOGIE (du grec dóka, gloire, et λéyw, je dis), nom que les Grecs ont donné à l'hymme angélique ou cantique de louanges que les Latins chantent à la messe, el qu'on nomme communément le Gloria in excelsis. Ces divers noms lui viennent des premiers mots par lesquels il commence dans les deux langues. On appelle aussi ce cantique la grande doxologie, pour le distinguer de la petite doxologie, qui n'est autre que le verset Gloria Patri, etc., par lequel on termine le chant ou la récitation de chaque psaume dans l'office divin. Les rubricaires donnent aussi le nom de doxologie à la dernière strophe ou à la conclusion de chaque hymne de l'Église où l'on rend gloire aux trois personnes de la Trinité.

DOYAT (JEAN DE), que quelques biographes nomment mal à propos Doyac, naquit, à ce qu'on croit généralement, vers 1445, au château de Doyat, en Auvergne. Procureur général au parlement de Paris, conseiller de Louis XI, et gouverneur du haut et bas pays d'Auvergne, il s'opposa aux empiétements de ce puissant et factieux duc de Bourbon, Jean II, qui, beau-frère du roi de France, profitait de son rang élevé pour porter le trouble au sein de l'État. Ce fut Doyat qui accusa formellement le duc auprès du monarque, et qui dut instruire le procès que le roi de France intenta à ce prince. Si cette conduite lui attira la plus haute faveur de Louis XI, elle lui valut en même temps la plus cruelle inimitié du duc; et à la mort du roi, comme il avait blessé beaucoup de gens, soit dans l'exercice de ses fonctions judiciaires, soit en affichant un luxe écrasant, ses ennemis n'eurent pas de peine à prévaloir contre lui. Il se vit condamné, presque sans information, à être fustigé dans tous les carrefours de Paris, à avoir une oreille coupée et la langue percée. Cet ignominieux supplice dut se renouveler dans la petite ville de Montferrand, jadis théâtre de ses triomphes. Banni du royaume, le malheureux Doyat vit l'affreuse vengeance du duc de Bourbon s'étendre à tous les siens. Il survécut pourtant à tant de malheurs, et vit iuire enfin le jour de la ré habilitation. C'était encore sous Charles VIII, quand ce prince venait d'atteindre sa majorité. Le duc de Bourbon avait essayé d'une nouvelle révolte; un des premiers actes du jeune monarque fut d'ordonner la révision du procès de Doyat; il fut solennellement réhabilité, remis en posses sion de tous ses biens, et rentra même aux affaires à l'époqu. de l'expédition d'Italie. Doyat mourut en 1498.

DOYEN. Ce mot, qui a plusieurs significations en français, dérive du latin decanus (voyez DÉCAN), 'nom que les Romains donnaient au commandant de dix soldats, au président d'un tribunal de dix juges, à l'instar desquels les prélats chrétiens établirent des juges qui les aidaient pour la visite de leur diocèse. Le doyen dans l'Église grecque,

« ZurückWeiter »