C'est une erreur singulière entre toutes les erreurs humaines (et Rousseau partageait cette erreur et l'a propagée), que d'avoir cru que dans les cités anciennes l'homme jouissait de la liberté. Il n'en avait pas même l'idée. Il ne croyait pas qu'il... Du role de l'état dans l'ordre économique - Seite 410von Edmond-Louis Villey-Desmeserets - 1882 - 482 SeitenVollansicht - Über dieses Buch
| Fustel de Coulanges - 1864 - 542 Seiten
...devant l'intérêt de la patrie. C'est donc une erreur singulière entre toutes les erreurs humaines que d'avoir cru que dans les cités anciennes l'homme...jouissait de la liberté. Il n'en avait pas même l'idée. Il ne croyait pas qu'il pût exister de droit vis-à-vis de la cité et de ses dieux. Nous verrons... | |
| Numa Denis Fustel de Coulanges - 1864 - 536 Seiten
...devant l'intérêt de la patrie. C'est donc une erreur singulière entre toutes les erreurs humaines que d'avoir cru que dans les cités anciennes l'homme...jouissait de la liberté. Il n'en avait pas même l'idée. Il ne croyait pas qu'il pût exister de droit vis-à-vis de la cité et de ses dieux. Nous verrons... | |
| Numa Denis Fustel de Coulanges - 1866 - 540 Seiten
...devant l'intérêt de la patrie. C est donc une erreur singulière entre toutes les erreurs humaines que d'avoir cru que dans les cités anciennes l'homme jouissait de la liberté. ll n'en avait pas même l'idée. Il ne croyait pas qu'il pût exister de I. Aristote, Pol., VIII, 2,... | |
| Gustave Ducoudray, Alphonse Feillet - 1875 - 492 Seiten
...prendre part aux repas sacrés. « C'est donc une erreur singulière entre toutes les erreurs humaines que d'avoir cru que dans les cités anciennes l'homme jouissait de la liberté. Le gouvernement s'appela tour à tour monarchie, aristocratie, démocratie ; sous ces noms divers ce... | |
| Charles Périn - 1876 - 380 Seiten
...chaque citoyen comme lui appartenant. C'est une erreur singulière entre toutes les erreurs humaines, d'avoir cru que dans les cités anciennes l'homme...de la liberté. Il n'en avait pas même l'idée*. » 1 Politique, IV, xiv, 10 et 11. Toute cette théorie antique de l'État est logique, et d'une logique... | |
| Charles Périn - 1876 - 380 Seiten
...chaque citoyen comme lui appartenant. C'est une erreur singulière entre toutes les erreurs humaines, d'avoir cru que dans les cités anciennes l'homme jouissait de la liberté. Il n'en avait pas même l'idée2. » 1 Politique, IV, xiv, 10 et 11. * M. Fustel de Coulanges, la Cité antique, liv. III,... | |
| Albert-Marie-Henry Lagrange - 1878 - 216 Seiten
...forme ; mais la nature de l'État est restée la même, et son omnipotence n'a guère été diminuée. Le gouvernement s'appela tour à tour monarchie, aristocratie,...hommes la vraie liberté, la liberté individuelle. » L'ensemble des devoirs de l'homme envers l'État compose les munera que M. Houdoy (2) définit:... | |
| 1880 - 966 Seiten
...chaque citoyen comme lui appartenant. C'est une erreur singulière entre toutes les erreurs humaines, d'avoir cru que dans les cités anciennes, l'homme...jouissait de la liberté : il n'en avait pas même l'idée1. » S'il est un peuple qui ait professé pour la liberté un culte passionné, c'est bien... | |
| Fustel de Coulanges - 1883 - 494 Seiten
...nature de l'État est restée à peu près la même, et son omnipotence n'a guère été diminuée. Le gouvernement s'appela tour à tour monarchie, aristocratie,...hommes la vraie liberté, la liberté individuelle. Avoir des droits politiqnes, voter, nommer des magistrats, pouvoir être archonte, voilà ce qu'on... | |
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