Bonaparte, Talleyrand et Stapfer 1800-1803. -Zürich, Orell & Fussli 1869. XX, 262 S.Orell, Fussli & Company, 1869 - 262 Seiten |
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Bonaparte, Talleyrand Et Stapfer, 1800-1803 (Classic Reprint) Philipp Albert Stapfer Keine Leseprobe verfügbar - 2017 |
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11 septembre 17 avril 27 février Acte constitutionnel affaires avez Berne Bonaparte Canton de Vaud cantonales cher Ministre citoyen Glayre Citoyen Ministre citoyen Reding citoyen Reinhard citoyen Talleyrand citoyen Verninac Citoyens Landammann Citoyens Magistrats Cobentzel Conseil d'exécution Conseil exécutif considération conversation Décembre déclaration demande députés désirer Diète diplomatique étrangères fédéralisme Février général Turreau gouvernement helvétique Hauterive hommes indépendance intérêts J'ai l'assurance l'audience l'Europe l'Helvétie l'honneur Léman lettre m'avez Markow marquans ministre des Relations ministre plénipotentiaire ministre Talleyrand MONNARD XVII Moutach nation nationale négociations neutralité note octobre organisation paraît patrie pays Pays-de-Vaud Petit-Conseil Petits Cantons peuple helvétique politique position Premier Consul Premier Landammann principes projet de constitution publique puissances Relations extérieures rendre répondit République française RÉPUBLIQUE HELVÉTIQUE résultat révolution Schwyz SECRÉTAIRE D'ÉTAT Sénat sénateurs Septembre 1802 serait Stapfer Suisse surtout système systême de l'unité Talleyrand m'a TILLIER traité de Lunéville tranquillité troupes françaises vernement vétique vœu
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Seite 204 - Le sang français pourrait couler, et le Premier Consul ne peut l'exposer que pour l'intérêt propre et immédiat des Français. Certainement la France ne peut voir avec indifférence les maux d'un pays voisin et ami. Aussi le Premier Consul serait-il disposé peut-être, si les troubles augmentaient au point de compromettre la masse entière du peuple helvétique, à modifier sa première détermination de rester entièrement étranger à l'œuvre du rétablissement de l'ordre public en Helvétie.
Seite 236 - Je sais bien que le régime de ces démocraties est accompagné de nombre d'inconvéniens, et qu'il ne soutient pas l'examen aux yeux de la raison; mais enfin il est établi depuis des siècles, il a son origine dans le climat, la nature, les besoins et les habitudes primitives des...
Seite 238 - Les grands inquisiteurs à Venise, les censeurs à Rome, étant toujours des magistrats vénérables et ambitieux de l'estime, n'osaient heurter l'opinion, et se voyaient forcés d'éliminer les sénateurs qui devenaient impopulaires ou méprisables. . '. Vous avez eu vos grabeaux dans toutes vos anciennes aristocraties. Pour en prévenir l'abus, on peut en régulariser l'exercice.
Seite 204 - Je l'ai mise sous les yeux du Premier Consul, qui m'a donné l'ordre de répondre sur-le-champ à la demande que vous avez été chargé de lui adresser de la part de votre gouvernement. L'envoi...
Seite 239 - Une forme de gouvernement , qui n'est pas le résultat d'une longue suite d'événemens , de malheurs, d'efforts et d'entreprises d'un peuple , ne peut jamais prendre racine. Des circonstances passagères, des intérêts du moment peuvent conseiller un système opposé...
Seite xiv - Ceux des sénateurs helvétiques , qui n'eussent jamais consenti à faire présenter cette note, durent joindre leur approbation à celle de leurs collègues, et Bonaparte, voyant le sénat helvétique unanime dans sa résolution, ajourna l'exécution de son dessein, pour la reprendre à la fin de 1810. Le Valais dut à cette résistance de rester pendant huit ans exempt de conscription et d'impôts onéreux. Une assemblée de notables, convoquée peu après à Berne...
Seite 205 - Conseil exé» cutif l'expose dans sa lettre ; il n'a pas fait connaître qu'il lui donnât son approbation ; » il a constamment observé sur tout ce qui s'est passé à cet égard en Suisse une attentive » et patiente impartialité. Dans cette vue il n'a pas répondu à la lettre qui lui a été
Seite 238 - Le grabeau me paraît de rigueur absolue dans les aristocraties. Toutes les aristocraties ont un penchant à se concentrer, à se former un esprit indépendant des gouvernés, de leurs vœux et des progrès de l'opinion , et deviennent à la longue à la fois odieuses et insuffisantes aux besoins des états qu'elles administrent.
Seite xiv - a aux yeux de l'humanité un prix d'opinion « que n'ont pu acquérir de grands empires, et « son restaurateur s'assurerait une gloire nou...
Seite 237 - C'est cruel d'ôter à des peuples pasteurs des prérogatives dont ils sont fiers, dont l'habitude est enracinée, et dont ils ne peuvent user pour faire du mal.