Revue de Paris, Band 13Bureau de la Revue de Paris., 1840 |
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... main armée ! Ah ! que de sang , que de sang va couler , dit l'abbé en levant au ciel son regard sombre . -Et l'infanterie s'était , je l'espère , mise en bataille en dehors du ravin , pour le couronner , s'écria Poul . Malheureusement ...
... main armée ! Ah ! que de sang , que de sang va couler , dit l'abbé en levant au ciel son regard sombre . -Et l'infanterie s'était , je l'espère , mise en bataille en dehors du ravin , pour le couronner , s'écria Poul . Malheureusement ...
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... main , se précipi- taient tête baissée dans nos rangs et achevaient nos ` blessés à coups de pierre . On tuait ces enragés sur le corps de leur victime , c'est vrai ; mais c'est égal ; ah ! c'était atroce à voir . - Que pensez - vous ...
... main , se précipi- taient tête baissée dans nos rangs et achevaient nos ` blessés à coups de pierre . On tuait ces enragés sur le corps de leur victime , c'est vrai ; mais c'est égal ; ah ! c'était atroce à voir . - Que pensez - vous ...
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... main , une épée de l'autre , et se jeter au milieu des assaillans . Mais bientôt il se reprochait ces velléités guerrières comme un sacrilége , et il retombait dans un abîme de doutes et de terreurs . Tout à coup la fenêtre de sa ...
... main , une épée de l'autre , et se jeter au milieu des assaillans . Mais bientôt il se reprochait ces velléités guerrières comme un sacrilége , et il retombait dans un abîme de doutes et de terreurs . Tout à coup la fenêtre de sa ...
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... forestier , comme s'il eût voulu prouver que la vie du prêtre lui appartenait , mit sa large main sur l'épaule de l'abbé et s'écria avec un accent de farouche triomphe et de dérision cruelle , en faisant allusion à 20 REVUE DE PARIS .
... forestier , comme s'il eût voulu prouver que la vie du prêtre lui appartenait , mit sa large main sur l'épaule de l'abbé et s'écria avec un accent de farouche triomphe et de dérision cruelle , en faisant allusion à 20 REVUE DE PARIS .
Seite 23
... main ferme , en lui disant : - Voilà pour mon frère , que tu as fait massacrer à l'assemblée de l'Alte - Fage , à la porte d'Alais . Soit maudit ! Et il remit le poignard à un camisard nommé Laporte . Le coup n'était pas mortel . L ...
... main ferme , en lui disant : - Voilà pour mon frère , que tu as fait massacrer à l'assemblée de l'Alte - Fage , à la porte d'Alais . Soit maudit ! Et il remit le poignard à un camisard nommé Laporte . Le coup n'était pas mortel . L ...
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Seite 107 - Notre Père qui êtes aux cieux ; que votre nom soit sanctifié ; que votre règne arrive ; que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd'hui notre pain de chaque jour ; pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ; et ne nous laissez pas succomber à la tentation ; mais délivrez-nous du mal.
Seite 61 - Il est vrai que dans les démocraties le peuple paraît faire ce qu'il veut 1 ; mais la liberté politique ne consiste point à faire ce que l'on veut. Dans un État, c'est-à-dire dans une société où il ya des lois, la liberté ne peut consister qu'à pouvoir faire ce que l'on doit vouloir et à n'être point contraint de faire ce que l'on ne doit pas vouloir.
Seite 133 - Evidemment ce jour était venu où le pouvoir perd son droit à la fidélité, où naît pour les peuples celui de se protéger eux-mêmes par la force, ne trouvant plus dans l'ordre établi ni sûreté, ni recours. Jour redoutable et inconnu, que nulle science humaine ne saurait prévoir, que nulle constitution humaine ne peut régler, qui pourtant se lève quelquefois, marqué par la main divine. Si l'épreuve qui commence alors était absolument interdite, si du point mystérieux où il réside,...
Seite 282 - Le mal est fait; il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable ; puis tout ^ <( à coup, ne sais comment , vous voyez calomnie se dresser, siffler, s'enfler, grandir à vue d'œil.
Seite 282 - D'abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l'orage, pianissimo murmure et file et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano vous le glisse en l'oreille adroitement. Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable ; puis tout-à-coup, ne sais comment, vous voyez calomnie se dresser, siffler, s'enfler, grandir à vue d'œil.
Seite 255 - J'ai toujours eu un objet en composant toutes ces pièces. Des occasions différentes me l'ont fourni ; ainsi les titres répondent aux idées que j'ai eues; on me dispensera d'en rendre compte.
Seite 211 - L'escrivaillerie semble estre quelque simptome d'un siecle desbordé. Quand escrivismes nous tant que depuis que nous sommes en trouble ? quand les Romains tant que lors de leur ruyne...
Seite 277 - Ce qui m'excite à t'aimer, ô mon Dieu, Ce n'est pas l'heureux ciel que mon espoir devance , Ce qui m'excite à t'épargner l'offense , Ce n'est pas l'enfer sombre et l'horreur de son feu ! C'est toi , mon Dieu , toi par ton libre vœu Cloué sur cette croix où t'atteint l'insolence ; C'est ton saint corps sous l'épine et la lance , Où tous les aiguillons de la mort sont en jeu. Voilà ce qui m'éprend, et d'amour si suprême...
Seite 282 - Elle s'élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription.
Seite 35 - Il attira tellement l'attention de Louis xiv que ce prince dit en le voyant charger l'ennemi : « On ne peut tirer un coup de fusil « quelque part, que ce petit garçon ne sorte de terre pour s'y trouver.