ÍV. Tracer fur le plan de projection le neuvième couple de l'ar riere. 279 V. Tracer les liffes intermédiaires de l'arriere fur le plan de projection. 280 VI. Tracer fur le plan horisontal la premiere lisse intermédiai re. 281 VII. Tracer fur le plan horisontal la feconde liffe intermédiaire de l'arriere. 282 VIII. Maniere de tracer la liffe d'hourdi fur le plan de projection & fur le plan horisontal. 283 IX. Tracer fur le plan horisontal la troisième lisse intermédiai re. 284 X. Marquer fur le plan horisontal la position de l'eftain. 285 XI. Tracer les couples de l'arriere fur le plan de projection. Ibid. XII. Tracer l'eftain comme il convient pour conftruire. 286 XIII. Tracer la projection de l'eftain fur le plan d'élévation. 288 Ce que c'eft que les couples élancés. Ibid. XIV. Tracer le couple du balancement de l'avant fur le plan: de projection. XV. Tracer fur le plan de projection le huitième couple de 289 l'avant. XVI. Tracer les lisses intermédiaires fur le plan de projection. 290 291 XVII. Tracer fur le plan horisontal la premiere lisse intermédiaire. 292 XVIII. Tracer fur le plan horisontal la feconde & la troifiéme liffe intermédiaire de l'avant. XIX. Tracer les couples de l'avant fur le plan de projection. 293 Ibid. De l'acaftillage. 295 XX. Trouver l'élévation des liffes d'acaftillage fur les allonges qu'on a tracé fur le plan de projection. Ibid. XXI. Tracer fur le plan horisontal les deux liffes d'acaftillage, XXII. Tracer toutes les allonges. XXIII. Des lignes d'eau fur le plan d'élévation. 296 Ibid. 297 298 XXIV. Porter fur le plan de projection la hauteur des lignes d'eau qui font marquées fur le plan d'élévation. XXV. Rapporter les lignes d'eau fur le plan horisontal. 300 CHAPITRE SEPTIEME. Remarques générales fur la conftruction. 303 La science du Constructeur ne se borne pas aux regles de pratique qu'on a décrites dans les Chapitres précédens. La différente deftination des Vaiffeaux tant à l'égard du fluide fur lequel ils doivent naviguer, que relativement à leur fervice, augmente la difficulté de la icience du Conftructeur. Ibid. I. Des principales qualités que les Vaisseaux doivent avoir. 304 II. S'il eft poffible qu'un V'aisseau ait toutes ces qualités. 305 III. Des gabaris qui paroissent propres à donner au Vaisseau la qualité de bien porter la voile. 306 Ibid. IV. Des gabaris qui rendent un Vaisseau sensible à son gouvernail & à la manœuvre. V. Des gabaris qui conviennent pour avoir une batterie élevée. Ibid. & que fes VI. Ce qu'il faut pour qu'un Vaisseau tangue peu, mouvemens foient doux. VII. Des gabaris qui font qu'un Vaisseau a un bon fillage. 307 Ibid. Ibid. VIII. De la figure qui convient pour qu'un V'aisseau tienne bien le vent, & qu'il dérive peu. IX. L'élévation de la batterie peut fubfifter avec toutes les autres qualités qu'un Vaiffeau peut avoir. X. Un Vaileau peut avoir une belle batterie & bien porter 308 la voile. 308 XI. On peut réunir dans un même Vaiffeau les trois qualités d'avoir une belle batterie, de bien porter la voile, & d'être fin voilier. 309 XII. On peut procurer à un Vaisseau la qualité d'être fenfible à fon gouvernail, en ne perdant que peu fur fes autres bonnes qualités. 310 312 XIII. On peut faire un Vaisseau fin voilier, fans rien perdre fur fes autres qualités. XIV. On peut faire un bon boulinier fans perdre les autres bonnes qualités. 313 Qu'on peut corriger par l'arrimage quelques uns des défauts d'un Vaiffeau; mais cette reffource eft délicate. Qu'il convient qu'un Vaiffeau qui eft destiné à combattre en corps d'armée foit plus acaftillé que celui qui doit naviguer en Efcadre, ou faire la courfe. Qu'on peut procurer à un même Vaiffeau les principales qualités qu'on exige. 314 Ce qui a guidé les Conftructeurs pour faire les regles méchaniques dont nous avons parlé. Qu'il faut d'autres connoiffances pour faire un bon Constructeur. Il leur faut de la théorie. Ecueils où font fouvent tombés ceux qui n'avoient que de la pratique. 315 Idée des connoiffances que doit avoir un bon Constructeur. 316 Que les regles pratiques de la Conftruction ont leur avantage. Mauvais ufage qu'on peut faire de ces regles. Que la feule inspection ou le coup d'œil ne font pas fuffifans pour porter un jugement folide fur les bonnes ou mauvaises qualités d'un Vaiffeau. Qu'il faut examiner les plans par le calcul avant que d'entreprendre la construction d'un Vaiffeau. 317 318 CHAPITRE HUITIEME. Méthode pour connoître fur le plan d'un Vaiffeau quelle fera l'élévation de fa batterie. 319 Ce qu'on entend par l'élévation de la batterie, Expofition du pro blême & des élémens qu'on doit employer pour le réfoudre. Ibid. 1. Ies corps folides fubmergés font pouffés vers la fuperficie du fluide, par une force égale au poids du volume du fluide dont ils occupent la place. Ce qu'on entend par la fluidité. 320 Ibid. Des caufes qui peuvent concourir à la fluidité. Les parties des fluides étant folides, elles ont les mêmes propriétés que les parties des folides. Caufe par lefquelles l'eau de la mer eft plus péfante que l'eau douce. Pourquoi la furface des liquides fe met de niveau. 321 Exemple qui rend cette explication fenfible. Que les folides plongés dans les fluides font preflés par le fluide. Expérience qui le prouve. Ce que cette preffion produit fur les corps qui font d'une même péfanteur fpécifique que le fluide. 322 Ce que cette preffion produit fur les corps qui font d'une péfanteur fpécifique plus légere que le fluide. Ce qu'elle produit fur les corps fpécifiquement plus pefants que le fluide. Expérience qui prouve ces effets des fluides fur les folides. SECONDE EXPERIENCE. 323 325 Autre expérience qui prouve la même chofe. Donc les folides éprouvent de la part des fluides dans lefquels ils font plongés une pouffée verticale égale au poids du fluide dont ils occupent la place. Application de ces principes aux Vaiffeaux. Ibid. 326 Ibid. II. Connoître le poids d'un Vaiffeau armé. III. Etat de la Frégate la Renommée de 30 canons approvifionnée de vivres pour fix mois, afin de connoître quel eft fon poids. 327 Etat fommaire d'une Frégate de 50 canons approvifionnée de fix mois de vivres, pour connoître fon poids. 329 Itid. Maniere de connoître le poids des Vaiffeaux fans faire les Etats dont on vient de donner des exemples. Poids de plufieurs Vaiffeaux de différents rangs armés. 330 Méthode pour jauger & réduire en pieds cubes la carène des Bâtimens de mer. 331 Puifqu'un corps flottant entre dans l'eau jufqu'à ce qu'il ait déplacé Fff un volume d'eau auffi pefant que lui, un Vaiffeau entrera dans l'eau jufqu'à ce que fa carène ait déplacé la quantité de pieds cubes qui font néceffaires pour égaler fon poids. Ibid. Donc on peut connoître le poids d'un Vaiffeau armé en réduifant fa partie fubmergée en pieds cubes qu'on multiplie par le poids d'un pied cube d'eau. Donc en connoiffant le poids d'un Vaiffeau armé, on peut connoître jufqu'à quel point il calera, puisqu'il déplacera autant de pieds cubes d'eau qu'il en faut pour égaler fon poids. 332 Sila carène des Vaiffeaux avoit une figure Géométrique, on pourroit la réduire en pieds cubes par une feule opération. Comme la figure de la carène eft irréguliere, il la faut réduire en petites parties dont la figure foit à peu près réguliere. Comment il faut faire cette divifion de la carène pour la réduire en efpeces de parallelipipedes. Comment on mefureroit ces parallelipipedes fi toutes leurs faces étoient régulieres. Comment on peut diminuer l'irrégularité des parallelipipedes qui forment les élemens de la carène. Qu'il faut prendre une moyenne proportionnelle entre la face fupérieure & l'inférieure. Maniere d'opérer. 333 334 Méthode de M. Bouguer auffi exacte & plus expéditive que la précé dente. 335 Explication d'un point de la méthode de M. Bouguer qui embarraffe les Commençans. 336 IV. Application de la méthode précédente pour réduire en pieds cubes la carène du Vaisseau de 70 canons dont nous avons fait le plan. 338 Application des regles précédentes, pour s'affurer fi la ligne de floraifon eft bien placée fur le plan. 347 Tâtonnement des anciens Conftructeurs pour connoître à peu près la capacité des Vaiffeau xqu'ils projettoient. Comment ils ont perfectionné ce tâtonnement. Les Conftructeurs Ibid. |