Le ministère y était attaqué dans la personne de son chef et dans celle de ses membres, et, pour juger sur-le-champ de la violence de l'attaque, il suffit de savoir que cette lettre, assez longue, se terminait ainsi : « Considérez d'un coup d'oeil... Horace Walpole. Junius. Burke. Fox - Seite 115von Charles de Rémusat - 1856Vollansicht - Über dieses Buch
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1851 - 1174 Seiten
...suffit de savoir que cette lettre, assez longue, se terminait ainsi : « Considérez d'un coup d'oeil une nation accablée par sa dette, ses revenus ravagés,...justice devenue odieuse et suspecte au peuple entier. A cette déplorable scène, on ne peut ajouter qu'une chose : — nous sommes gouvernés par des conseils... | |
| Charles de Rémusat - 1857 - 608 Seiten
...suffit de savoir que celle lettre, assez longue, se terminait ainsi : a Considérez d'un coup d'oeil une nation accablée par sa dette, ses revenus ravagés, son commerce en déclin j les affections de ses colonies aliénées et le devoir du magistrat transporte à la troupe soldée;... | |
| Charles de Rémusat - 1865 - 614 Seiten
...suffit de savoir que cette lettre, assez longue, se terminait ainsi': « Considérez d'un coup d'oeil une nation accablée par sa dette, ses revenus ravagés,,...affections de ses colonies aliénées et le devoir du magistral transporté à la troupe soldée 5 une vaillante armée, qui ne combattit jamais à contre-cœur... | |
| Charles Dollfus - 1868 - 792 Seiten
...s'il ya rien, dans M. de Cormenin, qui se rapproche de ce morceau : « Considérez d'un coup d'oeil une nation accablée par sa dette, ses revenus ravagés,...justice devenue odieuse et suspecte au peuple entier. A cette déplorable scène, on ne peut ajouter qu'une chose : — Nous sommes gouvernés par des conseils... | |
| Eugène Spuller - 1894 - 476 Seiten
...Lettres de Junius. Cherchez s'il ya rien, dans M. de Cormenin, qui se rapproche de ce morceau : « Considérez d'un coup d'œil une nation accablée...justice devenue odieuse et suspecte au peuple entier. A cette déplorable scène, on ne peut ajouter qu'une chose : Nous sommes gouvernés par des conseils... | |
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