Oeuvres de Le Sage: ThéâtreA. A. Renouard, 1821 |
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ACTE Adieu affaire aime allez Allons Alvarade amant amour ANDRÉ bas ANGÉLIQUE apercevant ASMODÉE assez avez avoit BARONNE BÉATRIX billet BRANCHE CAPITAINE cavalier César Ursin cher CHEVALIER chose CLARIN cœur COMTE connois connoître CRISPIN d'Alvarade d'Elvire dame diable dis-je dois DON ALONSE DON ANDRÉ don Carlos DON CÉSAR DON CLEOPHAS DON FÉLIX DON GARCIE DON JUAN bas don Lope DON LUIS ELVIRE épouser ESTELLE êtes étoit femme fille FLAMAND FLÉRIDE FRONTIN Gaëte GALINDO GAMACHE GOUVERNEUR HIPPOLYTE homme INÈS ISABELLE j'ai j'avois J'en j'étois JACINTE laisse LÉONOR LISARDE LISETTE m'en madame Jacob madame Oronte madame Turcaret maître maîtresse mariage MARINE MARQUIS Mendoce MME JACOB MME ORONTE MOGICON Monsieur n'ai NISE ORGON parbleu parler paroît passe père plaisir RAFLE raison RAMIRE reconnoissant rien sais SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII seigneur don seroit seul sœur sort Théâtre trouve vais VALÈRE valet veux vient voilà vois voudrois
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Seite 499 - J'en ai déjà touché l'argent; il est en sûreté: j'ai quarante mille francs. Si ton ambition veut se borner à cette petite fortune , nous allons faire souche d'honnêtes gens. LISETTE. J'y consens. FRONTIN. Voilà le règne de M. Turcaret fini ; le mien va commencer.
Seite 443 - V qu'il fera valoir à son profit ce qui pourra lui rester à la compagnie , et que vous prendrez son parti si l'on vient à s'apercevoir de la manœuvre. M. TURCARET. Cela est dans les règles; il n'ya rien de plus juste : voilà un garçon raisonnable. Vous lui direz , monsieur Rafle, que je le protégerai dans toutes ses affaires... Y at-il encore quelque chose? M. RAFLE après avoir encore regardé dans le bordereau.
Seite 404 - J'admire le train de la vie humaine ! Nous plumons une coquette, la coquette mange un homme d'affaires ; l'homme d'affaires en pille d'autres ; cela fait un ricochet de fourberies le plus plaisant du monde.
Seite 484 - J'y suis toujours à l'affût des modes; on me les envoie toutes dès le moment qu'elles sont inventées, et je puis me vanter d'être la première qui ait porté des pretintailles dans la ville de Valogne.
Seite 428 - FRONTIN, à la baronne. M. le chevalier m'attend. Je vais lui rendre compte de l'arrangement de son repas, et puis je viendrai ici prendre possession de M. Turcaret, mon nouveau maître.
Seite 379 - LA BARONNE : Le préjugé est admirable ! Et tu conclus de là... MARINE : Que le maître et le valet sont deux fourbes qui s'entendent pour vous duper; et vous vous laissez surprendre à leurs artifices, quoiqu'il y ait déjà du temps que vous les connaissez.
Seite 380 - C'est là le bon parti. Il faut s'attacher à M. Turcaret , pour l'épouser ou pour le ruiner. Vous tirerez du moins, des débris de sa fortune, de quoi vous mettre en équipage , de quoi soutenir dans le monde une ligure brillante; et, quoi que l'on puisse dire, vous lasserez les caquets, vous fatiguerez la médisance , et l'on s'accoutumera insensiblement à vous confondre avec les femmes de qualité.
Seite 424 - LE CHEVALIER l'interrompant. Quoi? FRONTIN. Oh! Monsieur, que diable! vous m'entendez de reste. LE CHEVALIER à part. Le maraud ! où at-il été déterrer ce petit minoislà...
Seite 372 - M. ORONTE. Vous avez de l'esprit , mais il en faut faire un meilleur usage ; et, pour vous rendre honnêtes gens, je veux vous mettre tous deux dans les affaires.
Seite 390 - Recevez ce billet, charmante Philis, Et soyez assurée que mon âme Conservera toujours une éternelle flamme, Comme il est certain que trois et trois font six.