Revue des deux mondesAu bureau de la Revue des deux mondes., 1879 |
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... enfin , des louis d'or à poi- gnée ! .. Ah ! bonnes gens , je n'en ai point tant vu depuis que je suis au monde ! .. Et ce n'est point une menterie , mon bon monsieur ? Tout ça est à notre homme pour de vrai ? .. Vous ne voudriez point ...
... enfin , des louis d'or à poi- gnée ! .. Ah ! bonnes gens , je n'en ai point tant vu depuis que je suis au monde ! .. Et ce n'est point une menterie , mon bon monsieur ? Tout ça est à notre homme pour de vrai ? .. Vous ne voudriez point ...
Seite 51
... auquel lieu de Blain , durant le- dit exil , plusieurs enfans farent baptisés . ( Registres de Nantes . Travers , vol . 2 * , page 376 ) avait suivi le prince devant Paris , et enfin à LA FAMILLE ET LA JEUNESSE D'HENRI DE ROHAN . 51.
... auquel lieu de Blain , durant le- dit exil , plusieurs enfans farent baptisés . ( Registres de Nantes . Travers , vol . 2 * , page 376 ) avait suivi le prince devant Paris , et enfin à LA FAMILLE ET LA JEUNESSE D'HENRI DE ROHAN . 51.
Seite 85
... enfin , mon- sieur , quand retournerons - nous en France ? - Jamais , répondit - il , messieurs ; de fausses espérances ne sont pas une monnaie que j'aie Mais , dit Charles Butler , qui était présent , le dans mon tiroir . - - duc de ...
... enfin , mon- sieur , quand retournerons - nous en France ? - Jamais , répondit - il , messieurs ; de fausses espérances ne sont pas une monnaie que j'aie Mais , dit Charles Butler , qui était présent , le dans mon tiroir . - - duc de ...
Seite 92
... Enfin le marquis de Sérent dut se rendre sur - le - champ pour affaire urgente chez l'évêque de Saint - Pol . Montlosier apprit bientôt qu'il était parti avec son frère pour la Vendée , où ils se firent tuer . Une plus grande émotion ...
... Enfin le marquis de Sérent dut se rendre sur - le - champ pour affaire urgente chez l'évêque de Saint - Pol . Montlosier apprit bientôt qu'il était parti avec son frère pour la Vendée , où ils se firent tuer . Une plus grande émotion ...
Seite 128
... enfin de Caunes et de Pha- sélis . La flotte phénicienne n'ira pas rejoindre les Péloponésiens , Alci- biade a détourné Tissapherne de ce projet ; les dispositions du satrape , à l'entendre , sont plus que jamais favorables aux généraux ...
... enfin de Caunes et de Pha- sélis . La flotte phénicienne n'ira pas rejoindre les Péloponésiens , Alci- biade a détourné Tissapherne de ce projet ; les dispositions du satrape , à l'entendre , sont plus que jamais favorables aux généraux ...
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Alcibiade assez Athéniens avaient banquier Brossard C'était Callicratidas Catherine de Parthenay Célestin chef chose citoyen cœur comité central commandement commune conseil côté coup cour cypriote d'Henri délégués demande Desroches devant dire donner Égypte Émile Ollivier enfans établissemens Étienne eût faisait fédérés femme fille flotte force général gens gouvernement Grecs guerre heures hommes j'ai jamais jeune Joubardière jour juges Jules Ferry jury justice Kléber l'armée l'enseignement l'esprit l'état l'Hôtel laisser lettre liberté liberté d'enseignement Lysandre main maison maître Maugars membres ment ministre Montesquieu Montlosier n'avait n'était parler passer pays pendant pensée père personne peuple peut-être Pharnabaze police politique porte pouvait premier Pressigny prince projet public publique qu'un question Raoul Rigault république reste rien Rohan Russie s'est s'était Saint-Clémentin Samos sang semble sentiment serait seul siècle soldats sorte Soubise tête teutoniques Théophile Ferré Thérèse Thiers Thrasybule tion Tissapherne trières trouver vaisseaux Vian voix yeux
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Seite 174 - C'est comme une mer répandue sur une vaste contrée : les sommets des montagnes s'élèvent au-dessus des eaux, et forment des îles fertiles et cultivées. Si cette mer vient à s'écouler, à mesure qu'elle descend, les terrains en pente, puis les plaines et les vallons, paraissent et se couvrent de productions de toute espèce. Il sulïi! que l'eau monte ou s'abaisse d'un pied pour inonder ou pour rendre à la culture des plages immenses.
Seite 294 - L'unité, telle qu'elle nous a été imposée jusqu'à ce jour par l'Empire, la monarchie et le parlementarisme, n'est que la centralisation despotique, inintelligente, arbitraire ou onéreuse. L'unité politique, telle que la veut Paris, c'est l'association volontaire de toutes les initiatives locales, le concours spontané et libre de toutes les énergies individuelles en vue d'un but commun, le bien-être, la liberté et la sécurité de tous.
Seite 213 - Elles doivent être relatives au physique du pays, au climat glacé, brûlant ou tempéré ; à la qualité du terrain , à sa situation , à sa grandeur au genre de vie des peuples , laboureurs , chasseurs ou pasteurs : elles doivent se rapporter au...
Seite 296 - C'est à la France à désarmer Versailles par la manifestation solennelle de son irrésistible volonté Appelée à bénéficier de nos conquêtes, qu'elle se déclare solidaire de nos efforts ; qu'elle soit notre alliée dans ce combat qui ne peut finir que par le triomphe de l'idée communale ou par la ruine de Paris...
Seite 375 - Art. 300. Les citoyens ont le droit de former des établissements particuliers d'éducation et d'instruction, ainsi que des sociétés libres, pour concourir au progrès des sciences, des lettres et des arts.
Seite 295 - L'intervention permanente des citoyens dans les affaires communales par la libre manifestation de leurs idées, la libre défense de leurs intérêts : garanties données à ces manifestations par la Commune, seule chargée de surveiller et d'assurer...
Seite 154 - Croyez au désir que j'ai de vous voir promptement rétabli, et au prix que j'attache à votre estime et à votre amitié. Je crains que nous ne soyons un peu brouillés: vous seriez injuste si vous doutiez de la peine que j'en éprouverais. Sur le sol de l'Egypte , les nuages...
Seite 295 - C'est la fin du vieux monde gouvernemental et clérical, du militarisme, du fonctionnarisme, de l'exploitation, de l'agiotage , des monopoles, des privilèges, auxquels le prolétariat doit son servage, la patrie ses malheurs et ses désastres.
Seite 68 - 1.Le roi joint ses prières et ses exhortations, pour engager les princes et les Français émigrés à ne point faire perdre à la guerre actuelle, par un concours hostile et offensif de leur part, le caractère de guerre étrangère faite de puissance à puissance...
Seite 627 - Mais, sur toute chose, ce qui me plaît en lui, et en quoi il suit mon exemple, c'est qu'il s'attache aveuglément aux opinions de nos anciens , et que jamais il n'a voulu comprendre ni écouter les raisons et les expériences des prétendues découvertes de notre siècle touchant la circulation du sang, et autres opinions de même farine.