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oppofent perpendiculairement.

Ibid. V. Premiere raifon de la diminution de l'action des fluides fur les furfaces qu'on incline à leur cours. VI. Seconde raifon de la diminution de l'action des fluides fur les furfaces qui s'oppofent obliquement à leur cours.

369

Ibid.

VII. Idée des mouvemens compofés, & de la décompofition des forces.

370

VIII. Effets principaux qui résultent des mouvemens compofes.

IX. Conféquences.

372

373

X. Ce qu'il doit réfulter du mouvement imprimé au corps A, relativement à une furface ab, qui s'oppose à fon mouve

ment.

374

XI. Application de ce qu'on vient de dire au choc des flui

377

379

des. Conféquences. XII. ‘Calcul de la résistance du fluide fur la proue du vaif feau de 70 canons dont nous avons fait le plan, comparée à l'effort du même fluide fur l'aire du maître couple. 381 Calcul de la réfiftance du fluide fur la proue d'un vaisseau 70 canons, en la comparant à celle qu'éprouveroit for maître gabari.

de

Premier exemple de comparaison.

Second exemple de comparaifon.

386

392

393

CHAPITRE DIXIEME.

METHODE pour connoître fur un plan fi le vaisseau qu'on

Ce

projette poriera la voile.

394

que c'eft que porter la voile. Les avantages qui en réfultent.

D'où dépend la ftabilité d'un vaiffeau,

Ibid. 395

Que cette qualité dépend de la pofition du centre de gravité du vaiffeau tout armé.

Ibid.

Idée générale de ce qui eft contenu dans ce Chapitre.

396

Ibid.

I. Idées générales fur la pefanteur.

Que quoique la pefanteur exifte dans tous les corps, même dans toutes les parties de la matiere, elle n'y eft pas toujours fenfible, ces effets pouvant être diminués ou anéantis.

397

Ce qu'on doit entendre quand on dit que des corps font légers ou dépourvus de pefanteur.

398

Que la pefanteur exerce toujours fon action, suivant une ligne verticale ou à plomb.

Ibid.

Que les différentes formes qu'on donne aux corps ne changent point leur pefanteur.

II. Du centre de gravité.

Ce

que c'est que le centre de gravité d'un corps:

Ibid.

399

Fbid

De l'équilibre des corps, & par occafion de la balance, & fa defcription.

400

Qualités néceffaires au fléau de la balance pour qu'il foit bien fait.

De l'équilibre confidéré par rapport à une ligne Mathématique.

Ibid. Ibid.

401

Où fe trouve le centre de gravité d'une ligne, d'une furface, d'un parallelogramme, d'un cercle, d'une ellipfe, d'un triangle; enfin d'un polygone. Comment on obtient le centre de gravité des furfaces rectilignes irrégulieres, & non fymmétriques. Comment on obtient le centre de gravité des corps folides, d'un parallelipipede, d'un prifme, d'une pyramide triangulaire. 403 De l'équilibre des corps de différente pefanteur. Comment on a le centre de gravité de ces corps.

402

404

Expérience avec la balance, qui prouve que l'équilibre fubfifte entre deux corps quand les poids font en raifon réciproque des puiffances.

Autre expérience qui prouve la même vérité.

Digreffion fur une propriété finguliere du levier.

405

406

Ibid.

Comment on trouve le centre de gravité d'un système de tant de corps qu'on voudra.

Remarques fur les centres de gravité.

410 411

Les méthodes pour trouver le centre de gravité d'un fyftême de corps, pourroient fervir pour trouver celui du vaiffeau. Cette opération feroit trop longue. Il faut avoir recours aux momens.

III. Des Momens.

412 Ce qu'on entend par moment d'un corps grave, ou d'une furface. Distinction entre la pefanteur abfolue & la pefanteur relative d'un corps. C'est la pefanteur relative d'un corps qu'on confidere quand on fait ufage des momens.

- Ibid. Le centre des momens peut-être placé entre deux corps. 413 La fomme des momens des corps qui compofent un fyftême eft égale au moment de tous ces corps réunis dans leur centre de gravité. Qu'on peut trouver le centre de gravité d'un système par les mo

mens.

414

417

Ibid. Application de la théorie des centres de gravité & des momens à la balance Romaine. Application des mêmes principes pour trouver le centre de gravité du vaiffeau. Connoître le centre de gravité de l'aire de la coupe d'un vaiffeau à la ligne de flottaifon. Premiere condition néceffaire pour la folurion du problême.

418

Il faut avoir les momens de toutes les parties élémentaires de la furface. Seconde condition néceffaire pour trouver le centre de gravité d'un vaiffeau. Démonftration de cette méthode par un exemple.

419

Que ces calculs font faits fur des hypothefes; mais qu'ils font néceffaires au conftructeur pour s'aflurer fi fon vaiffeau aura fon centre de gravité avantageufement placé.

424

Que les corps graves qui flottent fur un fluide pefent fur le fluide, & que ce fluide réagir contre le corps

Ce

425

qui arrive aux corps moins pefans que le fluide dans lequel ils na

gent.

426

Expérience d'un bâton plongé verticalement dans un fluide en repos pour démontrer le méchanifme des corps flottans.

Ce

que c'eft que le métacentre.

428

432

Ce qu'il faut pour qu'un vaisseau foit bien dans fon affiete. 433 Qu'il eft important que le centre de gravité du vaiffeau ne fe trouve pas trop au deffus du centre de gravité de la maffe d'eau déplacée.

435

On trouve dans les ouvrages de M. Bouguer des méthodes pour placer les métacentres d'un vaiffeau. 436 Qu'en élévant le centre de gravité d'un vaisseau, on en diminue la ftabilité. Qu'on éleve ce centre de gravité en élevant l'acaftillage, & en augmentant les poids au deffus de la flottaifon. 437 Qu'on peut changer la longueur d'un vaiffeau fans élever le centre de gravité & le métacentre.

Ibid.

Qu'en diminuant la largeur on perd de la ftabilité. Cette ftabilité

ne

438

ne varie point en raifon des changemens qu'on fait à la largeur. Que cette variation eft en raifon des cubes. Expérience qui le prouve. Qu'il y auroit de l'inconvénient à trop augmenter la largeur d'un vaiffeau.

Ce qui arriveroit en n'augmentant que le creux.

Ibid.

440

Ce que c'eft qu'un vaiffeau qui va chercher fon fort trop haut. Pourquoi il ne faut pas trop furcharger un vaiffeau de left. Ce qu'on entend quand on dit que le fort d'un vaiffeau est noyé. Principes fur la qualité du left, & la façon d'arrimer. Ibid. Le left pefant eft le plus avantageux. La diftribution des poids n'est pas une chose indifférente dans l'arrimage des vaiffeaux. 441 Comment on peut élever le centre de gravité par l'arrimage. Bons effets qui en résultent.

442

Que la force de la carene, l'acculement des varangues, la largeur de la quille contribuent à diminuer les mouvemens de roulis.

Ibid.

Un vaiffeau dont les capacités font mal proportionnés aux poids qu'elles doivent contenir, navigue toujours mal, quelque bien arrimé qu'il foit. Exemple de la Junon.

Fin de la Table des Matieres.

444

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EXPLICATION

De plufieurs termes de Marine dont on a fait usage dans ce Traité.

En faveur de ceux qui n'ont aucune connoiffance de la Marine, on s'eft cru obligé de donner l'explication de plufieurs termes qui ne font en ufage que pour l'Art que nous traitons. On renvoye à l'ouvrage pour les termes qui y font définis, & on donne une courte définition des autres.

A CASTILLAG

A.

CASTILLAGE ou Encaftillage. Voyez page 52. Affût de mer, eft un affemblage de deux planches épaiffes ou flafques, avec plufieurs traverfes: le tout eft fupporté fur quatre petites roues. Son ufage eft de foutenir le canon prefqu'en équilibre fur fes tourrillons, pour pouvoir le pointer commodément. Aiguillettes. Voyez Porques, pag. 16.

Alonges. Voy. pag. 14. de Couples, de Corniere, ou de Tableau. 11, & 14. d'Ecubiers.

Apôtres. Voy. Alonges d'Ecubiers.

Arcaffe, eft la face poftérieure du vaiffeau, ou le derriere de la pouppe. Voy. II & III.

Archipompe. Voy. 33.

Arqué. Un vaiffeau eft arqué quand les parties de l'arriere & de l'avant ont baiffé, alors la Quille, les Préceintes & les Ponts ont perdu leur tonture, & ont pris une courbure en fens contraire dont la convexité eft en haut. Pour fçavoir de combien un vaiffeau eft arqué, on tend une ligne fur la face inférieure de la quille pour mesurer la fleche de fa courbure.

Arrimage, eft la diftribution des marchandises & des munitions de guerre & de bouche dans les différentes parties de la capacité d'un vaiffeau. Un mauvais arrimage fait fouvent perdre à un vaiffeau fes bonnes qualités, & on corrige par l'arrimage une partie de fes défauts.

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