Meine Reise durch das Wallis und Pays de Vaud im Jahre 1803J.F. Steinkopf, 1805 - 260 Seiten |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Meine Reise Durch das Wallis und Pays De Vaud: Im Jahre 1803; Von dem ... G. H. Holder Keine Leseprobe verfügbar - 2018 |
Meine Reise Durch das Wallis und Pays De Vaud: Im Jahre 1803; Von dem ... G. H. Holder Keine Leseprobe verfügbar - 2017 |
Häufige Begriffe und Wortgruppen
Alpen Anblik angenehme Arve Aubonne bedekt bepflanzt Berge Bern besezt Bewohner Blik blühenden chen cher Dent de Vaulion dieſes Diß Dorf Dörfchen Entzüken erblikt erheben fand faßt Felsen fich find findet Fuß ganze Gebirge Gefärte Gemmi Genf Gesellschaft gieng Gletscher Gott großen Hand håtte Haus Heerberge Heerde heiligen Helvetiens herrliche Herz Himmel hinab hinauf Hirten hohen Hügel Hütte iſt Jahre jezt Kinder kleine konnte Lac de Joux Land Laura Lausanne Lebens leise Leuk lezten lich Liebe liebliche Louisdors Luft Mädchen Martigni Mauern Meilleries Menschen muß Nahmen Natur nehmlichen Neufchatel Nyon Pays de Vaud Petersinsel plözlich Raucourt Reiz Rhone sanft saß Savoyen schien Schloß Schweiz Sees ſeinem seyn sezte ſich ſie Sitten Spize Stadt Städtchen steilen stieg Stok Straße Strom Stük Stunde stürzt Thal Theil Thurm Ufer Unglük unsere Vevay viel Voltaire Waadt Wälder Wallis Wand ward wåre Wein Wellen Welt wieder Wirth zurük دو وو
Beliebte Passagen
Seite 182 - J'aime. Ne pense pas qu'au moment que je t'aime, Innocente à mes yeux, je m'approuve moi-même, Ni que du fol amour qui trouble ma raison Ma lâche complaisance ait nourri le poison. Objet infortuné des vengeances célestes, Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes. Les Dieux m'en sont témoins, ces Dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang; Ces Dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle.
Seite 185 - Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe : ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m'envie un supplice si doux, Ou si d'un sang trop vil ta main serait trempée, Au défaut de ton bras prête-moi ton épée ; Donne.
Seite 183 - J'ai langui, j'ai séché, dans les feux, dans les larmes. II suffit de tes yeux pour t'en persuader, Si tes yeux un moment pouvaient me regarder.
Seite 184 - Que dis-je? Cet aveu que je te viens de faire, Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire? Tremblante pour un fils que je n'osais trahir, Je te venais prier de ne le point haïr. Faibles projets d'un cœur trop plein de ce qu'il aime!
Seite 186 - Je te venais prier de ne le point haïr. Faibles projets d'un cœur trop plein de ce qu'il aime! Hélas! je ne t'ai pu parler que de toi-même.
Seite 184 - Venge-toi, punis-moi d'un odieux amour. Digne fils du héros qui t'a donné le jour, Délivre l'univers d'un monstre qui t'irrite. La veuve de Thésée ose aimer Hippolyte! Crois-moi, ce monstre affreux ne doit point t'échapper.
Seite 183 - Toi-même en ton esprit rappelle le passé. C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé; J'ai voulu te paraître odieuse, inhumaine; Pour mieux te résister, j'ai recherché ta haine. De quoi m'ont profité mes inutiles soins? Tu me haïssais plus, je ne t'aimais pas moins. Tes malheurs te prêtaient encor de nouveaux charmes. J'ai langui, j'ai séché dans les feux, dans les larmes.
Seite 192 - Tempus ait : deus, ecce, deus ! Cui talia fanti Ante fores, subito non vultus, non color unus, Non comtae mansere comae ; sed pectus anhelum, Et rabie fera corda tument ; majorque videri, Nee mortale sonans ; afflata est numine quando 50 Jam propriore dci.
Seite 152 - Je suis ici dans l'île de Circé, sans être ni aussi fin, ni aussi brave, ni aussi sage, ni aussi cochon, qu'Ulisse & ses compagnons.
Seite 144 - Oh! le bon et le mauvais pays ! Adieu, madame; voilà une assez longue lettre; si j'y ajoutais ce que j'ai toujours à vous dire de mon adoration pour vous, vous mourriez d'ennui. Mettez-moi aux pieds du roi, contez-lui...