Stace, Martial, Manilius, Lucilius Junior, Rutilius, Gratius Faliscus, Nemesianus et Calpurnius: oeuvres complètes avec la traduction en franc̦aisFirmin Didot, 1865 - 836 Seiten |
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adhuc Adraste æquora æthera agmina amor anxia Apollon Argie Argos arma armes armis arva astres atque Bacchus Cæsar Capanée carmina César char cher chevelure ciel combats conjux coursiers cruel cuncta déesse dicis dieu Dieux Domitien domus dulce ecce enim ense erat Étéocle fama fata fides fils flamme flots fureur gémissements Grecs guerriers habet hæc hinc hunc ignes illa ille ingenti inter ipsa ipse Jamque jeune Jupiter larmes Latium Libye licet limina magni main manu manus matris mihi modo mort Mycènes nihil nocte nunc omnes omnia pater pectora père Phébus poëte Polynice prælia procul quæ quam quid quis quod quoque quos quum Rome sacré sæpe sang sanguine semper sesterces seul SILVE sorores Stace Styx tamen tantum tecta temple terre Thébains Thèbes tibi Tirynthe tota triste tunc turba Tydée umbra visage vultus
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Seite 475 - ... d'écaillé, il se désole de ce qu'il n'est pas assez grand pour sa table de citronnier. Il consulte son nez, pour s'assurer si ces vases sentent l'airain de Corinthe; et on l'entend, Polyclète, critiquer tes statues. Tout en se plaignant qu'on ait gâté des cristaux en y mêlant un peu de verre, il a désigné et mis de côté dix cassolettes à myrrhe. Il marchande des corbeilles antiques, et, s'il s'en trouve...
Seite 332 - Rome : car il était peu avantagé des biens de la fortune A cette occasion Pline remarque que c'était un ancien usage d'accorder des récompenses utiles ou honorables à ceux qui avaient écrit à la gloire des villes ou de quelques particuliers. Aujourd'hui, dit-il, la mode en est passée avec tant d'autres, qui n'avaient pas moins de grandeur et de noblesse.
Seite 376 - Cirea te, Ligurine, solitudo ; Quid sit, seire cupis? nimis poeta es : poêle : c'est un bien dangereux défaut. Le tigre qui s'élance après le ravisseur de ses petits , la vipère que brûle le soleil de midi, le scorpion dangereux, sont moins redoutés que toi. Car qui pourrait, je le demande, supporter de pareils ennuis? Que l'on soit debout, que l'on soit assis , que l'on soit en course, que l'on soit en train de soulager son ventre, il faut t'entendre lire, lire sans cesse. Je vais me réfugier...
Seite 292 - ... qu'elles sollicitent. Elles-mêmes vont annonçant partout sur leur passage l'arrêt de Thèbes et la cruauté de Créon. Ainsi les oiseaux de Thrace, d'une voix inarticulée, adressent à leur toit hospitalier leurs plaintes douloureuses, et racontent longuement le double hymen et le crime de Térée. Au milieu de la ville s'élevait un autel qui n'était consacré à aucune des divinités supérieures. La douce Clémence ya fixé son séjour, et les malheureux l'ont rendu sacré. Là se pressent...
Seite 389 - Qua vicina pluit Vipsanis porta columnis Et madet assiduo lubricus imbre lapis, In iugulum pueri, qui roscida tecta subibat, Decidit hiberno praegravis unda gelu : Cumque peregisset miseri crudelia fata, 5 Tabuit in calido vulnere muero tener.
Seite 402 - Solis 5 sive salutiferis candidus Anxur aquis, mittimus, o rerum felix tutela salusque, sospite quo gratum credimus esse lovem. tu tantum accipias : ego te legisse putabo et tumidus Galla credulitate fruar.
Seite 467 - ... partout revêtu de marbre et d'or, repose sur un sol témoin de l'enfance du maître de l'empire. Heureux le sol qui entendit ses nobles vagissemens, qui soutint et vit se traîner ses mains enfantines! Là s'élevait cette maison digne de tant de respects , qui a eu la gloire de donner à la terre ce que Rhodes et la pieuse Crète ont donné aux cieux. Les Curetés protégèrent du bruit de leurs armes la naissance de Jupiter, si tant est que ce fussent des armes que portaient ces Phrygiens...
Seite 401 - Gai de cœur et libre de dettes usuraires, je dîne, je bois , je chante , je joue , je me baigne , je soupe , et je me repose. A la faible lueur de ma petite lampe , ces vers m'ont été dictés par les Muses , compagnes de mes veillées nocturnes. 9l. — A SON LIVBE. Holà ! c'est assez 1 holà ! petit livre ! Nous voici A se Thaida qui probet fululam , Qmim multi cnpiant, rogeolque mullí.
Seite 441 - Vous avez fait élargir les voies trop étroites , et ce qui naguère n'était qu'un sentier est une rue aujourd'hui. Il n'ya plus de piliers entourés de bouteilles enchaînées , et le préteur n'est plus obligé de marcher au milieu de la boue. Le rasoir du barbier ne fonctionne plus à l'aventure au milieu d'une foule qui se presse , et de noirs cabarets n'encombrent plus la voie publique.