Théorie des genres littérairesC. Poussielgue, 1902 - 316 Seiten |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
Achille actes Agamemnon alexandrins Andromaque Aristote Art poétique Article Athalie Boileau Bossuet Britannicus caractère causes césure Chanson de Roland chant choses chrétien classique colère comédie comique Corneille critique Démosthène dénouement dialogue didactique Dieu discours dix-neuvième siècle dix-septième siècle dramatique drame enthymème épique épopée époques Euripide événements fable Fénelon général genres littéraires grecque Grecs hémistiches héros historique Homère homme Horace Hugo humaine idées Iliade l'action l'âme l'art l'éloquence l'épopée l'histoire l'homme l'Iliade l'imagination l'orateur l'unité Lamartine Légende des siècles LITT lyrisme ment merveilleux moderne mœurs Molière morale moyen âge narration œuvre parfois passé passion pensée pentamètre personnages peuple philosophie phorminx pièce poème poésie lyrique poète préface premier primitive Principes raisonnés prose Pyrrhus Racine raisonnés de Littérature réalité récit récits reste ridicule rimes rire roman rythme saint satire scène science sens sensibilité sentiments serait seulement sorte souvent strophes style sujet surtout syllabes tantôt théâtre théorie tion tique tragédie versification voyelle
Beliebte Passagen
Seite 210 - ... morales, soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie, l'élèvent, la maintiennent, ou la précipitent; tous les accidents sont soumis à ces causes; et, si le hasard d'une bataille, c'està-dire une cause particulière, a ruiné un État, il y avait une cause générale qui faisait que cet État devait périr par une seule bataille. En un mot, l'allure principale entraîne avec elle tous les accidents particuliers.
Seite 276 - Pyrrhus, la laitière, enfin tous, Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant; il n'est rien de plus doux...
Seite 35 - Il neigeait, il neigeait toujours! La froide bise Sifflait; sur le verglas, dans des lieux inconnus, On n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus.
Seite 30 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés...
Seite 269 - ... c'est une pauvre brebis qui se laisse tondre. — Venez, venez, camarades, dit cette soldatesque insolente ; voilà ce fou dans le corps de garde, qui s'imagine être roi des Juifs ; il faut lui mettre une couronne d'épines ! — Tradebat autem judicanti se injuste.
Seite 50 - Il est dans le ciel une Puissance divine , compagne assidue de la religion et de la vertu; elle nous aide à supporter la vie, s'embarque avec nous pour nous montrer le port dans les tempêtes, également douce et secourable aux voyageurs célèbres , aux passagers inconnus. Quoique ses yeux soient couverts d'un bandeau, ses regards pénètrent l'avenir; quelquefois elle tient des fleurs naissantes dans sa main , quelquefois une coupe pleine d'une liqueur enchanteresse; rien n'approche du charme...
Seite 232 - Grecs avaient une espèce de longue tradition qui nous manque ; ils avaient plus de culture pour l'éloquence que notre nation n'en peut avoir. Chez les Grecs tout dépendait du peuple, et le peuple dépendait de la parole. Dans leur forme de gouvernement, la fortune, la réputation, l'autorité, étaient attachées à la persuasion de la multitude; le peuple était entraîné par les rhéteurs...
Seite 243 - L'homme digne d'être écouté est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu.
Seite 75 - Qui vont l'emplir du souffle adoré du printemps. Et voyez le regard, qu'une ombre étrange voile, Et qui, mystérieux, semble un lever d'étoile! Oui, Dieu le veut, la mort, c'est l'ineffable chant De l'âme et de la bête à la fin se lâchant; C'est une double issue ouverte à l'être double. Dieu disperse, à cette heure inexprimable et trouble, Le corps dans l'univers et l'âme dans l'amour. Une espèce d'azur que dore un vague jour, L'air de l'éternité, puissant, calme, salubre, Frémit et...