Caractères et paysagesMame-Delaunay, 1833 - 417 Seiten |
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... peur qu'un autre maraudeur ne vienne parta- ger leur hideux butin . C'est sur une côte aussi désolée et peuplée d'habitans aussi sauvages , qu'un poète anglais , qui a eu des éclairs de génie , Lillo , a placé cette scène terrible , où ...
... peur qu'un autre maraudeur ne vienne parta- ger leur hideux butin . C'est sur une côte aussi désolée et peuplée d'habitans aussi sauvages , qu'un poète anglais , qui a eu des éclairs de génie , Lillo , a placé cette scène terrible , où ...
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... peur tout parce qu'il veut tout approfondir ; un Aumô- nier de régiment qui s'est fait une Théorie esthé- tique du courage , comme Ficht s'est fait une théo- rie du stoïcisme . de Au premier coup d'oeil , vous prendriez Schmelzle pour l ...
... peur tout parce qu'il veut tout approfondir ; un Aumô- nier de régiment qui s'est fait une Théorie esthé- tique du courage , comme Ficht s'est fait une théo- rie du stoïcisme . de Au premier coup d'oeil , vous prendriez Schmelzle pour l ...
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... me trou- verai pas forcé de comparoir devant quelque tri- bunal aulique ! moi , moi que la prudence a tou- jours empêché de m'arrêter devant la porte d'une prison , de peur qu'un espion de police , me SUR JEAN - PAUL . 85.
... me trou- verai pas forcé de comparoir devant quelque tri- bunal aulique ! moi , moi que la prudence a tou- jours empêché de m'arrêter devant la porte d'une prison , de peur qu'un espion de police , me SUR JEAN - PAUL . 85.
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Philarète Chasles. prison , de peur qu'un espion de police , me voyant là , ne me prît pour un collègue extérieur des habitans de la geôle , et ne m'accusât de tra- mner l'évasion d'un de mes amis prétendus ! >> Que l'on n'aille pas m ...
Philarète Chasles. prison , de peur qu'un espion de police , me voyant là , ne me prît pour un collègue extérieur des habitans de la geôle , et ne m'accusât de tra- mner l'évasion d'un de mes amis prétendus ! >> Que l'on n'aille pas m ...
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... peur qu'il ne prît avantage de cet aveu , la patience a ses bor- nes ; l'animal le plus doux se venge quand on le blesse je ne peux pas répondre de moi dans le premier accès de colère : et d'ailleurs mon beau- frère le dragon est là ...
... peur qu'il ne prît avantage de cet aveu , la patience a ses bor- nes ; l'animal le plus doux se venge quand on le blesse je ne peux pas répondre de moi dans le premier accès de colère : et d'ailleurs mon beau- frère le dragon est là ...
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Seite 248 - Desiring this man's art and that man's scope, With what I most enjoy contented least ; Yet in these thoughts myself almost despising, Haply I think on thee, and then my state, Like to the lark at break of day arising From sullen earth, sings hymns at heaven's gate; For thy sweet love remember'd such wealth brings That then I scorn to change my state with kings.
Seite 248 - That time of year thou mayst in me behold When yellow leaves, or none, or few, do hang Upon those boughs which shake against the cold, Bare ruin'd choirs, where late the sweet birds sang. In me thou seest the twilight of such day As after sunset fadeth in the west, Which by and by black night doth take away, Death's second self, that seals up all in rest.
Seite 248 - In me. thou see'st the twilight of such day As after sunset fadeth in the west ; Which by and by black night doth take away, Death's second self, that seals up all in rest. In me thou see'st the glowing of such fire That on the ashes of his youth doth lie, As the death-bed whereon it must expire, Consumed with that which it was nourish'd by.
Seite 44 - Les solives noires sillonnent le plafond jaune. Des pigeons domestiques voltigent çà et là , en murmurant leur roucoulement mélancolique. Une vieille femme, armée de ses lunettes, tricote des bas auprès du poêle : une jeune femme fait la cuisine près de la grande fenêtre à gauche ; le cliquetis des ustensiles de ménage se mêle , sans s'accorder, avec la voix sourde et monotone des pigeons qui ramassent, en caquetant, leur grain sur le carreau.
Seite 44 - L'homme assis à cette petite table , c'est JeanPaul-Frédéric Richter, génie admirable , un Sterne si vous voulez , un Rabelais s'il vous plaît encore , quelque chose de plus ou de moins que tout cela , le plus original des écrivains modernes. Il est enveloppé d'une grosse redingote dont la boutonnière est ornée d'une fleur des champs. Observez ses traits, c'est une étude...
Seite 46 - C'est un chaos de parenthèses , d'ellipses , de sous-entendus ; un carnaval de la pensée et du langage; une population de mots nouveaux qui viennent sous le bon plaisir de l'auteur, prendre droit de bourgeoisie dans le discours; des périodes de trois pages...
Seite 217 - ... ces souverains, astres égaux, confondre leurs rayons par leur présence. Il n'y avait pas de langue calomniatrice qui osât remuer, pas d'œil qui ne fût ébloui de ces spectacles. Puis il fallait voir le tournoi et les hérauts d'armes, et les prouesses de chevalerie qui furent faites. La vieille histoire de nos romanciers a cessé d'être fabuleuse. Oui, je croirai désormais tout ce que les conteurs nous rapportent. » Ces lignes d'un poète immortel, je les...
Seite 248 - When, in disgrace with Fortune and men's eyes, I all alone beweep my outcast state And trouble deaf heaven with my bootless cries And look upon myself and curse my fate.
Seite 44 - Des pigeons domestiques voltigent çà et là en murmurant leur roucoulement mélancolique. Une vieille femme , armée de ses lunettes, tricote des bas auprès du poêle : une jeune femme fait la cuisine près de la grande fenêtre à gauche ; le cliquetis des ustensiles de ménage se mêle, sans s'accorder, avec la voix sourde et monotone des pigeons qui ramassent, en caquetant, leur grain sur le carreau. Il ya une petite table de bois blanc vers la droite et un large coffre debout à côte.
Seite 125 - ... un mélange de pitié et de douleur? Si l'on considère Jean-Paul sous le rapport de l'art et de l'exécution , il reste inférieur à Cervantes. La fusion, l'ensemble, la cohérence, manquent aux productions de Richter. Leur lecture laisse une impression confuse et hétérogène ; le Voyage de l'aumônier Schmelzle est une de celles où l'unité , la grande loi des œuvres de l'esprit, est le moins hardiment violée. De ce chaos de pensées et de sentimens jaillissent , comme d'un fer embrasé...