Caractères et paysagesMame-Delaunay, 1833 - 417 Seiten |
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... une protection et un asile , non cette frater- nité de pensées qui double la vie de l'âme , et sans laquelle il n'y a que solitude . Rien ne pouvait par la me donner les souvenirs ,, les regrets , 24 SCÈNES D'UN VILLAGE MARITIME.
... une protection et un asile , non cette frater- nité de pensées qui double la vie de l'âme , et sans laquelle il n'y a que solitude . Rien ne pouvait par la me donner les souvenirs ,, les regrets , 24 SCÈNES D'UN VILLAGE MARITIME.
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Philarète Chasles. par la me donner les souvenirs ,, les regrets , les croyan- ces fixes de mes hôtes : nous étions liés bienveillance et la gratitude , non par la commu- nauté des idées : aussi me laissèrent - ils sans peine chercher ...
Philarète Chasles. par la me donner les souvenirs ,, les regrets , les croyan- ces fixes de mes hôtes : nous étions liés bienveillance et la gratitude , non par la commu- nauté des idées : aussi me laissèrent - ils sans peine chercher ...
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... le veut ton état de femme , comme le disent les philosophes , ton nexus cosmologique . Tuétais née pour quelque chose de mieux ; mais comment pourrais - tu l'obtenir ? Ton pauvre époux n est pas en état de te donner un autre 62 ÉTUDES.
... le veut ton état de femme , comme le disent les philosophes , ton nexus cosmologique . Tuétais née pour quelque chose de mieux ; mais comment pourrais - tu l'obtenir ? Ton pauvre époux n est pas en état de te donner un autre 62 ÉTUDES.
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Philarète Chasles. n est pas en état de te donner un autre sort ; et la société ne lui permet pas de te traiter autrement . La mort viendra te surprendre quand les années auront feuille à feuille détruit ta sensibilité ; et les germes ...
Philarète Chasles. n est pas en état de te donner un autre sort ; et la société ne lui permet pas de te traiter autrement . La mort viendra te surprendre quand les années auront feuille à feuille détruit ta sensibilité ; et les germes ...
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... donner cela aux musiciens . A peine les derniers mots fu- rent intelligibles . La clarté des bougies de la mai- son située en face frappait le visage de Lenette ; elle avait , à son approche , affecté d'essuyer la vi- tre que son ...
... donner cela aux musiciens . A peine les derniers mots fu- rent intelligibles . La clarté des bougies de la mai- son située en face frappait le visage de Lenette ; elle avait , à son approche , affecté d'essuyer la vi- tre que son ...
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Seite 248 - Desiring this man's art and that man's scope, With what I most enjoy contented least ; Yet in these thoughts myself almost despising, Haply I think on thee, and then my state, Like to the lark at break of day arising From sullen earth, sings hymns at heaven's gate; For thy sweet love remember'd such wealth brings That then I scorn to change my state with kings.
Seite 248 - That time of year thou mayst in me behold When yellow leaves, or none, or few, do hang Upon those boughs which shake against the cold, Bare ruin'd choirs, where late the sweet birds sang. In me thou seest the twilight of such day As after sunset fadeth in the west, Which by and by black night doth take away, Death's second self, that seals up all in rest.
Seite 248 - In me. thou see'st the twilight of such day As after sunset fadeth in the west ; Which by and by black night doth take away, Death's second self, that seals up all in rest. In me thou see'st the glowing of such fire That on the ashes of his youth doth lie, As the death-bed whereon it must expire, Consumed with that which it was nourish'd by.
Seite 44 - Les solives noires sillonnent le plafond jaune. Des pigeons domestiques voltigent çà et là , en murmurant leur roucoulement mélancolique. Une vieille femme, armée de ses lunettes, tricote des bas auprès du poêle : une jeune femme fait la cuisine près de la grande fenêtre à gauche ; le cliquetis des ustensiles de ménage se mêle , sans s'accorder, avec la voix sourde et monotone des pigeons qui ramassent, en caquetant, leur grain sur le carreau.
Seite 44 - L'homme assis à cette petite table , c'est JeanPaul-Frédéric Richter, génie admirable , un Sterne si vous voulez , un Rabelais s'il vous plaît encore , quelque chose de plus ou de moins que tout cela , le plus original des écrivains modernes. Il est enveloppé d'une grosse redingote dont la boutonnière est ornée d'une fleur des champs. Observez ses traits, c'est une étude...
Seite 46 - C'est un chaos de parenthèses , d'ellipses , de sous-entendus ; un carnaval de la pensée et du langage; une population de mots nouveaux qui viennent sous le bon plaisir de l'auteur, prendre droit de bourgeoisie dans le discours; des périodes de trois pages...
Seite 217 - ... ces souverains, astres égaux, confondre leurs rayons par leur présence. Il n'y avait pas de langue calomniatrice qui osât remuer, pas d'œil qui ne fût ébloui de ces spectacles. Puis il fallait voir le tournoi et les hérauts d'armes, et les prouesses de chevalerie qui furent faites. La vieille histoire de nos romanciers a cessé d'être fabuleuse. Oui, je croirai désormais tout ce que les conteurs nous rapportent. » Ces lignes d'un poète immortel, je les...
Seite 248 - When, in disgrace with Fortune and men's eyes, I all alone beweep my outcast state And trouble deaf heaven with my bootless cries And look upon myself and curse my fate.
Seite 44 - Des pigeons domestiques voltigent çà et là en murmurant leur roucoulement mélancolique. Une vieille femme , armée de ses lunettes, tricote des bas auprès du poêle : une jeune femme fait la cuisine près de la grande fenêtre à gauche ; le cliquetis des ustensiles de ménage se mêle, sans s'accorder, avec la voix sourde et monotone des pigeons qui ramassent, en caquetant, leur grain sur le carreau. Il ya une petite table de bois blanc vers la droite et un large coffre debout à côte.
Seite 125 - ... un mélange de pitié et de douleur? Si l'on considère Jean-Paul sous le rapport de l'art et de l'exécution , il reste inférieur à Cervantes. La fusion, l'ensemble, la cohérence, manquent aux productions de Richter. Leur lecture laisse une impression confuse et hétérogène ; le Voyage de l'aumônier Schmelzle est une de celles où l'unité , la grande loi des œuvres de l'esprit, est le moins hardiment violée. De ce chaos de pensées et de sentimens jaillissent , comme d'un fer embrasé...