Caractères et paysagesMame-Delaunay, 1833 - 417 Seiten |
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... on leur permît de les embrasser une fois ! et pas une permission ac- cordée ! pas un adieu ! non , pas un dernier coup d'œil ! Nous apercevions bien les gens du navire sur le pont , mais nous n'en distinguions aucun . EN ANGLETERRE . 37.
... on leur permît de les embrasser une fois ! et pas une permission ac- cordée ! pas un adieu ! non , pas un dernier coup d'œil ! Nous apercevions bien les gens du navire sur le pont , mais nous n'en distinguions aucun . EN ANGLETERRE . 37.
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... dernier lit ; au centre brillait une étoile , comme une fleur blanche sur le sein de la fiancée . » Une promenade dans les caveaux d'une église gothique , mérite d'être citée . Le grand Organiste me . conduisait à travers la cathédrale ...
... dernier lit ; au centre brillait une étoile , comme une fleur blanche sur le sein de la fiancée . » Une promenade dans les caveaux d'une église gothique , mérite d'être citée . Le grand Organiste me . conduisait à travers la cathédrale ...
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... dernier regard sur le corps , son ancien asile . Ce fut là , près de ce monument de souffrance , sous la voûte immense du ciel nocturne , que je lus à Pauline une poé- tique ébauche ; je l'adresse à toutes ses sœurs , et je l'offre à ...
... dernier regard sur le corps , son ancien asile . Ce fut là , près de ce monument de souffrance , sous la voûte immense du ciel nocturne , que je lus à Pauline une poé- tique ébauche ; je l'adresse à toutes ses sœurs , et je l'offre à ...
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... dire bruyam- ment le dernier bonsoir , et poser l'éteignoir sur la chandelle de ma vie . Eh bien ! j'échappai à tout je ne fus pas tué . Quand j'arrivai à l'au- berge , deux ou trois coquins se mirent à rire 7 SUR JEAN - PAUL . 97.
... dire bruyam- ment le dernier bonsoir , et poser l'éteignoir sur la chandelle de ma vie . Eh bien ! j'échappai à tout je ne fus pas tué . Quand j'arrivai à l'au- berge , deux ou trois coquins se mirent à rire 7 SUR JEAN - PAUL . 97.
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... dernier relais conduit notre héros et ses com- pagnons de route de Niederschoena jusqu'à Floetz , but de son voyage . Il a passé à travers tant d'é- cueils qu'il ne craint plus rien . Cependant un évènement inattendu vint soumettre son ...
... dernier relais conduit notre héros et ses com- pagnons de route de Niederschoena jusqu'à Floetz , but de son voyage . Il a passé à travers tant d'é- cueils qu'il ne craint plus rien . Cependant un évènement inattendu vint soumettre son ...
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Seite 248 - Desiring this man's art and that man's scope, With what I most enjoy contented least ; Yet in these thoughts myself almost despising, Haply I think on thee, and then my state, Like to the lark at break of day arising From sullen earth, sings hymns at heaven's gate; For thy sweet love remember'd such wealth brings That then I scorn to change my state with kings.
Seite 248 - That time of year thou mayst in me behold When yellow leaves, or none, or few, do hang Upon those boughs which shake against the cold, Bare ruin'd choirs, where late the sweet birds sang. In me thou seest the twilight of such day As after sunset fadeth in the west, Which by and by black night doth take away, Death's second self, that seals up all in rest.
Seite 248 - In me. thou see'st the twilight of such day As after sunset fadeth in the west ; Which by and by black night doth take away, Death's second self, that seals up all in rest. In me thou see'st the glowing of such fire That on the ashes of his youth doth lie, As the death-bed whereon it must expire, Consumed with that which it was nourish'd by.
Seite 44 - Les solives noires sillonnent le plafond jaune. Des pigeons domestiques voltigent çà et là , en murmurant leur roucoulement mélancolique. Une vieille femme, armée de ses lunettes, tricote des bas auprès du poêle : une jeune femme fait la cuisine près de la grande fenêtre à gauche ; le cliquetis des ustensiles de ménage se mêle , sans s'accorder, avec la voix sourde et monotone des pigeons qui ramassent, en caquetant, leur grain sur le carreau.
Seite 44 - L'homme assis à cette petite table , c'est JeanPaul-Frédéric Richter, génie admirable , un Sterne si vous voulez , un Rabelais s'il vous plaît encore , quelque chose de plus ou de moins que tout cela , le plus original des écrivains modernes. Il est enveloppé d'une grosse redingote dont la boutonnière est ornée d'une fleur des champs. Observez ses traits, c'est une étude...
Seite 46 - C'est un chaos de parenthèses , d'ellipses , de sous-entendus ; un carnaval de la pensée et du langage; une population de mots nouveaux qui viennent sous le bon plaisir de l'auteur, prendre droit de bourgeoisie dans le discours; des périodes de trois pages...
Seite 217 - ... ces souverains, astres égaux, confondre leurs rayons par leur présence. Il n'y avait pas de langue calomniatrice qui osât remuer, pas d'œil qui ne fût ébloui de ces spectacles. Puis il fallait voir le tournoi et les hérauts d'armes, et les prouesses de chevalerie qui furent faites. La vieille histoire de nos romanciers a cessé d'être fabuleuse. Oui, je croirai désormais tout ce que les conteurs nous rapportent. » Ces lignes d'un poète immortel, je les...
Seite 248 - When, in disgrace with Fortune and men's eyes, I all alone beweep my outcast state And trouble deaf heaven with my bootless cries And look upon myself and curse my fate.
Seite 44 - Des pigeons domestiques voltigent çà et là en murmurant leur roucoulement mélancolique. Une vieille femme , armée de ses lunettes, tricote des bas auprès du poêle : une jeune femme fait la cuisine près de la grande fenêtre à gauche ; le cliquetis des ustensiles de ménage se mêle, sans s'accorder, avec la voix sourde et monotone des pigeons qui ramassent, en caquetant, leur grain sur le carreau. Il ya une petite table de bois blanc vers la droite et un large coffre debout à côte.
Seite 125 - ... un mélange de pitié et de douleur? Si l'on considère Jean-Paul sous le rapport de l'art et de l'exécution , il reste inférieur à Cervantes. La fusion, l'ensemble, la cohérence, manquent aux productions de Richter. Leur lecture laisse une impression confuse et hétérogène ; le Voyage de l'aumônier Schmelzle est une de celles où l'unité , la grande loi des œuvres de l'esprit, est le moins hardiment violée. De ce chaos de pensées et de sentimens jaillissent , comme d'un fer embrasé...