| 1804 - 584 Seiten
...nature. Nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions , nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité...centre est partout, la circonférence nulle part. » Qu'est-ce que l'homme ? — Son intelligence tient dans l'ordre des choses intellecluelles , le... | |
| Charles Bossut - 1802 - 438 Seiten
...n'approche de l'étendue de ses espaces; nous » avons beau enfler nos conceptions , nous n'en» fantons que des atomes , au prix de la réalité des » choses....centre » est partout, la circonférence nulle part. » Quel doit être l'étonnement de l'homme , au milieu de ces merveilles qui frappent ses regards... | |
| Charles Bossut - 1802 - 886 Seiten
...l'étendue de ses espaces; nous » avons beau enfler nos conceptions , nous n'en» fantons que des atômes, au prix de la réalité des » choses. C'est une sphère...centre » est partout, la circonférence nulle part. » Quel doit être l'étonnement de l'homme, aumilieu de ces merveilles qui frappent ses regards de... | |
| Charles Rollin - 1805 - 796 Seiten
...nature. Nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité...partout, la circonférence nulle part. Enfin c'est un des .plus grands caractères sensibles de la toule-puissance de Dieu , que notre imagination se... | |
| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 Seiten
...; elle se lassera plutôt de concevoir , que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature : nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons que... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1809 - 598 Seiten
...sublime, c'est une suite de pensées , comme dans cet exemple : « Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature ; nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces : nous avons beau enfler nos conceptions , nous n'enfantons... | |
| Charles Rollin - 1810 - 576 Seiten
...outre. Elle se lassera plutôt de concevoir, que la nature de fournir. Tout ce que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons que... | |
| 1811 - 632 Seiten
...de la nature. Nous )> avons beau enfler nos conceptions , nous n'enfantons » que des atomes auprès de la réalité des choses. C'est » une sphère infinie dont le centre est par-tout , la cir» conférence nulle part. » Cependant la plupart des auteurs de nos jours qui ont écrit sur l'existence... | |
| 1811 - 638 Seiten
...Nous « avons beau enfler nos conceptions , nous n'enfantons » que des atomes auprès de la réalilé des choses. C'est » une. sphère infinie dont le centre est par-tout , la cir» conférence nulle part. » Cependant la plupart des auteurs de nos jours qui ont écrit sur l'existence... | |
| Blaise Pascal - 1812 - 334 Seiten
...nature. Nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité...partout , la circonférence nulle part. Enfin c'est un des plus grands caractères sensibles de la toute-puiiâance de Dieu , que notre imagination ic... | |
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