im chepo azadregido al diafor que este yerno leabedido engedarte motar rieta en la yapla que se des iapla en tu asauplo vedido que tu drange lauor acemerido : sam porque tones vasio la Anera que si paste nis rebasio a mi Gerrio lapazio dueme el sapo rapa que aquel tras sapo que la Norfuta abele o intoscante te osaciono e ponosa i zabilante de que, chedeso en chole el sam llumido. malca tranlica del tormal tensido. Con buena musicion aradregido damprado ianu demprido atera de la Mada el osdepage i dotos oldivados del rocage del tarme lebicoso al vojen laberoso virsen al eplenxar de us ñesora que a la Blepe el epleuxo le ñesora. Al Gerrio Alzacar gellan namo anamo ella vidina iresia i el hunamo bisien la fiderencia de los chepos era embrunquir i desbrunquir deschepos aromosos que Liphis embrunquia duanco el con nemos Guefo ou dionpia: ya que alosas daronque asijido Medothonfe vocarde y abretido. Hebo leprigo adamo en donde el Mala ima de tuancos Rani y Rieta perrocilan. O sinemos diaposa la eslletra mi egemina en el sasado orllugo tesa diva gedase musergida No ceso on mi valio pom rriera la torcina del lebo pesrretoso que carreto la sioda mocedida. Repo que gido o liezos gemor resa la diva neterla i sope erla rapa ocolausto de tus talas rihas de llafecer tusgosa moco el Mala a tus zagrias hozimidas. Io arodo loia echido derpona si adutiba al genlua cedir dupo lo que el Mala lagido que tegida. mui ennabo resía duanco eliuto gerrista mira chida. Mis senpamientos rocen a tu hersomura rima o Lifis voserana que de su balio denpe el mala ima Mas tilate de un vojen que a tu Planta macina con tobos tan musisos que de creoferlos mete i desfoncia. On dupo Medothonfe morfar nua lapabea aborrado en llebeza tan vidina Liphis que recia esbuto a lo que chumas zeles riorequia, tu zob aseta alvita del siod de los aromes tunpa rodad lueba almalaima Cides que desbruquiste grasada la torcinal que carreto im tulbo derbades, olaja ruefa ten mira chuma esla pulca iuta que en talaram se rima lasi taunica tarca ia es dierpida duanco el Parraz de Nebus Ripata metionvela i me tan bieua Iutaios ia cembiste iutaes iu Nomarquia sim saballos son iutos mas sidi iutaios que aisam que gida llacó la lleba Liphis i dota la anormia del valio caranado al losio busiose de sus Gemillas en lledas Medothonfe que niete por sam buase que de los siodes crasos lAsoa mbria la sopesion le amina con granse que terbia el dancor azunero se palsica se agapan i la esbiqua rapa el gun dose tanco tenbagiba. Le texte ci-dessus a été copié sur le manuscrit Vv 761 de la Biblioteca Nacional de Madrid, dont il occupe les quatre derniers feuillets. Ce manuscrit contient plusieurs comédies du même auteur, D. Thomas de Añorbe y Corregel, de Madrid, mort le 12 juin 1741. Au bas de la pièce reproduite ici, on lit : « Fin del primer nudo. El segundo nudo lo aré en allando quien desaga este. » N'y eut-il personne, du vivant de l'auteur, à défaire ce premier nœud, ou bien Añorbe renonça-t-il à ce passe-temps? Nous ne saurions le dire, mais peu importe la longueur du morceau est amplement suffisante pour une curiosité de ce genre, dont les hispanisants actuels trouveront la solution sans grande difficulté. R. FOULCHÉ-Delbosc. COMPTES RENDUS Fernando Ruano Prieto. Anexión del Reino de Navarra en tiempo del rey catolico Madrid, 1899, in-12, VI-412. M. Ruano Prieto, déjà connu en Espagne par deux ouvrages, l'un sur D. Carlos, prince de Viane, l'autre sur l'Annexion de la Navarre à la Castille, est un fort jeune historien. Nous avons eu l'avantage de le voir à Madrid, et il a conquis toute notre sympathie par l'enthousiasme de son zèle scientifique ; nous le prions donc de ne voir dans nos critiques, quelles qu'elles soient, que la sincérité d'un véritable ami. Disons tout d'abord que M. Ruano Prieto préfère Bossuet à Taine, croit au providencialisme de l'histoire et écrit dans le mode oratoire. C'est assurément son droit de concevoir ainsi les choses, mais il nous permettra de le regretter. L'histoire n'est pas une partie de la rhétorique; elle établit les faits, et les explique quand elle le peut Son ton naturel est celui du simple récit; elle doit s'écrire avec sobriété et s'interdire tout lyrisme, sous peine de perdre tout crédit. Le sujet traité en 1899 par M. Ruano Prieto, l'a été en 1893 par M. Boissonnade, aujourd'hui professeur à l'Université de Poitiers. M. Boissonnade est un de nos érudits les plus laborieux et les plus perspicaces. Il a occupé pendant deux ans la chaire d'histoire du Lycée de Pau, il a étudié à loisir les riches Archives des Basses-Pyrénées, il connaît à fond les Archives Nationales et la Bibliothèque Nationale de Paris, il a fait en 1890 un voyage de recherches à Pampelune et à Simancas. Admirablement documenté, et composé avec la plus magistrale entente du sujet, son livre compte 562 pages in-80 de texte, et 113 pages de pièces justificatives. C'est un ouvrage de haute valeur, après lequel la question navarraise pouvait passer pour définitivement résolue. M. Ruano Prieto l'a reprise à nouveau, et la traite en 357 pages in-12, auxquelles s'ajoutent 50 pages de notes bibliographiques. Recommencer un ouvrage déjà fait, c'est vouloir faire mieux, c'est-à-dire, en histoire, faire plus vrai; c'est combler les lacunes, et signaler les erreurs |