Placide à scholastique, sur la manière de se conduire dans le monde, par rapport à la religionJ. Bastien, 1775 - 330 Seiten |
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affez ainfi ainſi Arius au-deffus auffi Auguftin avoit Bened blafphême c'eft c'eſt Catholique caufe ceffe chofes Chrétiens Chrifti Cicéron conféquence confidérer connoiffance connoître Dieu difciples difcours difent-ils difoit difputer dit-il Divinité doctrine dogmes écou effe efprit Eglife enfeignements enim Epift eſt étoit Evêque expofer fage fageffe faint falut fans fauroit fcandale fcience fecte fein feing felon fens fentiments feule Fideles fiecle filence fimples fociété foibleffe foit font fous fouvent fuam fuis fuivant fujet funt fyftême hæretici héréfies hérétiques hommes Hyeron impies Jefus-Chrift jufqu'à jufte l'efprit l'Eglife l'impie l'impiété laiffe libertinage libertins lifez ligion loix lumiere maniere ment mœurs monde Myfteres n'eft n'eſt nihil pable paffer paffions paroît parole particuliere penfer perfonnes peuple Philofophes plufieurs poteft præfcript préfente Prophete puiffance quæ quàm queftion quod raifon refpect Relig Religion s'eft Tertull Tertullien teurs tion vérité viſible Voltaire сс
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Seite 192 - Quelques philosophes ont même avancé qu'il ya plus de différence de tel homme à tel homme, que de tel homme à telle bête.
Seite 290 - ... ses partisans se sont élevés en précepteurs du genre humain. Liberté de penser, voilà leur cri, et ce cri s'est fait entendre d'une extrémité du monde à l'autre. D'une main ils ont tenté d'ébranler le trône, de l'autre ils ont voulu renverser les autels.
Seite 196 - En un mot , je ne fais s'il ya une preuve métaphyfique plus frappante , & qui parle plus fortement à l'homme , que cet ordre admirable qui règne dans le monde ; & fi jamais il ya eu un plus bel argument que ce verfet : Cœli enarrant gloriam Dei. Auffi vous voyez , que Newton n'en apporte point d'autre à la fin de fon optique & de fes principes.
Seite 290 - Liberté de p enfer , voilà leur cri , & ce cri s'eft fait entendre d'une extrémité du monde à l'autre ; d'une main , ils ont tenté d'ébranler le trône ; de l'autre , ils ont voulu renverfer les Autels : leur objet étoit d'éteindre la croyance , de faire prendre un autre cours aux efprits fur les inftitutions religieufes ôc civiles , & la révolution s'eft , pour ainfi dire , opérée.
Seite 291 - ... les ames tout fentiment de vertu. CEUX qui étoient le plus faits pour éclairer leurs contemporains, fe font mis à la tête des incrédules : ils ont déployé l'étendard de la révolte, & , par cet efprit d'indépendance, ils ont cru ajouter à leur célérité.
Seite 290 - ... civiles , & la révolution s'eft , pour ainfi dire , opérée. Les Profélytes fe font multipliés , leurs maximes fe font répandues, les Royaumes ont fenti chanceler leurs antiques...
Seite 79 - Malheur à vous, docteurs de la loi, qui vous êtes saisis de la clef de la science,' et qui, n'y étant point entrés vous-mêmes , l'avez encore fermée à ceux qui voulaient y entrer.
Seite 121 - C'eft pourquoi s'ils ne veulent pas accorder aux novateurs la liberté de régler leur croyance fuivant leur idée, c'eft qu'ils ne la prennent pas pour eux-mêmes. Ils ont reçu la Foi comme un dépôt facré -, ils veulent que leurs frères la confervent de même. D.
Seite 196 - Il ne trouvait point de raifonnement plus convaincant et plus beau en faveur de la Divinité que celui de Platon, qui fait dire à un de...
Seite 288 - Meilleurs (o) , dit-il , jufqu'à quand abufera-t-on de notre patience? s'écrioit l'Orateur Romain , dans un temps où la République , expofée à toutes les fureurs d'une faction prête à éclater, comptoit au nombre des Conjurés les Citoyens les plus illuftres , mêlés avec la plus vile populace. »Ne pouvons- nous pas aujourd'hui adrefler les mêmes paroles aux Ecrivains de ce fiecle , à la vue de cette efpece de confédé-. (o) Quoufyui tandti» ebutcre fatientid nojirâ .-> .fur la Religion.