Correspondence diplomatique ... 1811-1817, recueillie et publ. par A. Blanc |
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Correspondence diplomatique ... 1811-1817: Tome 1 Joseph Marie Maistre Eingeschränkte Leseprobe - 2023 |
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Seite 230 - ... le ci-devant royaume d'Italie, et cette répartition sera assise sur les bases réunies de la population et du revenu. Les souverains desdits pays nommeront dans le terme de trois mois, à dater de la fin du Congrès...
Seite 234 - ... se borner au courage le plus admirable ; mais sous le rapport de la science militaire, de la hardiesse des plans, de l'ensemble, de la vigueur, de la célérité des mouvements et de l'accord parfait des nombreux agents de ce jeu terrible, ils n'ont rien de commun avec les Français, la seule nation continentale de l'univers qui se batte chez toutes les autres et jamais chez elle.
Seite 158 - Ces paroles contrastent de la manière la plus piquante avec l'irréligion ou l'indifférence religieuse de notre siècle. Je ne puis arracher mes yeux de la fin de cette pièce où Votre Excellence lira : Pour copie conforme, Alexandre. Voilà certes un Secrétaire de bonne maison ; il ya dans toute cette affaire un côté touchant et respectable, qui doit être apprécié et vénéré indépendamment de toute question qu'on pourrait élever sur le véritable esprit qui a dicté la Convention chrétienne...
Seite 11 - Frédéric 1" mourut à trente-huit ans dans le Cydnus. Frédéric II fut empoisonné par son fils après s'être vu déposé. Philippe-le-Bel mourut d'une chute de cheval, à quarante-sept ans. Ma plume se refuse aux exemptes moins anciens.
Seite 271 - Pourquoi deux grandes puissances ne feraient-elles pas une fois au profit de l'humanité la plus belle et la plus utile des expériences, celle d'une liberté de commerce de bonne foi, convenue pour un certain terme et sans aucun dessein de se circonvenir mutuellement? Mais, peut-être que c'est trop espérer. Ou je suis fort trompé, ou celle expérience découvrirait une grande vérilé.
Seite 250 - Je puis enfin avoir l'honneur d'apprendre à Sa Majesté, avec une certitude parfaite, que l'incendie de Moscou est entièrement l'ouvrage des Russes, et n'est dû qu'à la politique terrible et profonde qui avait résolu que l'ennemi, s'il entrait à Moscou, ne pourrait s'y nourrir ni s'y enrichir. Dans une campagne très proche de la Capitale, on fabriquait depuis plusieurs jours toutes sortes d'artifices incendiaires, et l'on disait au bon peuple qu'on préparait un ballon pour détruire d'un...
Seite 128 - Ce fut l'intérêt de la souveraineté mal entendu qui fit la révolution du seizième siècle. On nia les dogmes de l'Église pour lui voler ses biens. Aujourd'hui, ce même intérêt, bien entendu, produira une révolution contraire. Il faudrait que les souverains protestants eussent perdu le sens, pour ne pas apercevoir l'insigne folie qu'ils font de soutenir une religion qui pose en maxime le jugement particulier et la souveraineté du peuple, contre une autre religion qui soutient (indépendamment...
Seite 121 - Beau sujet de méditation! l'un des pays les plus fertiles de l'univers est l'un des plus sujets aux disettes ; il est couvert de bétail et l'on manque de laitage, etc., etc. C'est l'effet de sa législation et de ses préjugés.
Seite 269 - Sa personne seule a disparu, mais son esprit demeure. Il a fait des nobles, il a fait des princes, il a fait des rois, tout cela subsiste. Le roi de France porte son Ordre. Il est tombé seul, et parce qu'il l'a bien voulu et parce qu'il devait tomber; quant à sa maison, en possession de biens immenses, et liée par le sang aux plus grandes maisons souveraines, rien ne peut la faire rétrograder. Si c'est un mal, il fallait y penser plus tôt.
Seite 71 - Le premier effet de ce grand coup d'état est la chute de Murât, et le rétablissement d'un Trône légitime ; le reste suivra. Déjà Bonaparte n'existe plus: ce que nous voyons n'est pas lui, c'est une effigie empaillée, et cette effigie même périra. Les Jacobins se sont montrés de nouveau. Tant mieux ! L'effet de cette nouvelle explosion sera d'en détruire une partie, d'en rassainir une autre, et de contenir la troisième. Le malheur...