Histoire de la poésie scandinave: ProlégomènesBrockhaus et Avenarius, 1839 - 511 Seiten |
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Seite 232 - Pro Deo amur et pro Christian poblo et nostro commun salvament, d'ist di in avant, in quant Deus savir et podir me dunat, si salvarai eo cist meon fradre Karlo et in...
Seite 149 - ... la lame des épées ; elles versaient du poison dans les blessures et moissonnaient les guerriers comme le marteau d'Odin « Nous avons combattu avec l'épée! Pourquoi la mort n'est-elle pas plus près du guerrier qui se précipite sur le tranchant des sabres ? Celui qu'ils ne frappent point regrette souvent d'avoir trop vécu , et cependant il est difficile d'exciter le lâche à la lutte du cimeterre ; le cœur lui bat en vain dans la poitrine. « Nous avons combattu avec l'épée! Je tiens...
Seite 488 - Turnat sa teste vers la paiene gent ; Pur ço l'at fait que il voelt veirement Que Caries diet e trestute sa gent, Li gentilz quens, qu'il fut mort cunquerant. Cleimet sa culpe e menut e suvent ; 2365 Pur ses pecchez Deu en puroffrid lo guant*.
Seite 459 - C'est un jeune héros à la fleur de ses ans, Qui, dans cette journée illustre et meurtrière, Commençait des combats la fatale carrière; D'un tendre hymen à peine il goûtait les appas; Favori des Amours, il sortait de leurs bras. Honteux de n'être encor fameux que par ses charmes, Avide de la gloire, il volait aux alarmes.
Seite 459 - Avide de la gloire, il volait aux alarmes. Ce jour sa jeune épouse, en accusant le Ciel, En détestant la Ligue, et ce combat mortel, Arma son tendre amant, et d'une main tremblante Attacha tristement sa cuirasse pesante, Et couvrit, en pleurant, d'un casque précieux Ce front si plein de grâce, et si cher à ses yeux. Il marche vers d'Ailly, dans sa fureur guerrière; Parmi des tourbillons de...
Seite 88 - Ante mare et terras et, quod tegit omnia, caelum unus erat toto naturae vultus in orbe, quem dixere Chaos, rudis indigestaque moles nec quicquam nisi pondus iners congestaque eodem non bene iunctarum discordia semina rerum.
Seite 143 - Nous avons combattu avec l'épée ! J'étais jeune encore quand, à l'orient, dans le détroit d'Eirar, nous avons creusé un fleuve de sang pour les loups, et convié l'oiseau aux pieds jaunes à un large banquet de cadavres ; la mer était rouge comme une blessure qui vient de s'ouvrir, et les corbeaux nageaient dans le sang. « Nous avons combattu avec l'épée...
Seite 460 - Discorde accourut ; le démon de la guerre, La Mort pâle et sanglante, étaient à ses côtés. Malheureux, suspendez vos coups précipités ! Mais un destin funeste enflamme leur courage ; Dans le cœur l'un de l'autre ils cherchent un passage, Dans ce cœur ennemi qu'ils ne connaissent pas.
Seite 490 - Rollant de sun tens n'i ad plus: Devers Espaigne est en un pui agut, A l'une main si ad sun piz batud: « Deus, meie culpe vers les tues vertuz 2370 De mes pecchez, des granz e des menuz, Que jo ai fait dès l'ure que nez fui Tresqu'a cest jur que ci sui consoùt!
Seite 460 - D'un choc épouvantable ils se frappent soudain. La terre en retentit, leurs lances sont rompues : Comme en un ciel brûlant deux effroyables nues, Qui, portant le tonnerre et la mort dans leurs flancs, Se heurtent dans les airs, et volent sur les vents : De leur mélange affreux les éclairs rejaillissent; La foudre en est formée, et les mortels frémissent.