SERMONS POUR LE CARESME, o ù TOUTES LES PARTIES Par le Pere Louis MAIMBOURG, PREMIERE PARTIE. A PARIS, M. DC. LXXIÍ. AVEC PRIVILEGE DE SA MAIESTE'. AU TRES-REVEREND PERË, LE PERE JEAN PAUL VA, GENERAL DE LA COMPAGNIE ET PREDICATEUR DU PAPE. M ON TRES-REVEREND PERE, Ce n'est point comme au General des Jefuites, mais comme à un grand que je Maistre des Predicateurs viens vendres cet bommaged N ast TRE PATERŃLT sq ft on la verité, quelque chose que d'eftre à la rete divùc Compagnie qui tienti quelque kang dans l'Eglife en dont il n'est pas jusqu'aux perfecutions, «qui ne foient une marque affez éclatante de L'estime que l'on en a faite, depuis fa naissance I jufques à cette keured C'eft beaucoup plus d'y estre enla gon vornant comme vous faites, aveo ceste application I cette prudcnse, cer te force, & cetre douceur, qui infpine à tout ce grand Corps étendu par tous te la terre cet esprit qui le fait agira avvastrewexemple rues des manicur mens plus reguliers encore plus concerten que jamais, pour le service, ent pour la gloire de celush dont wome avons l'honneur d'estre appella ha Compagnies Mais dy agir en cette excellente maniere que nous admirons, ge ୯ abco e en mefme temps d'y\.com/ever, dans la maltitude infinie des occupas sions infeparables d'une fugrande chur toute la liberté d'esprit qu'il fant avoir pour exercer le divin miniftere de Predicateur, dans toure la perfe ction dont il est capable desk assuré ments MON TRBS REVEREND PERE, co que pas on de ces grands hommesje mefme de ves grands Saints, vos predeceffeurs n'a pu faire C'est l'avantage fingulier que Dieu vous avoir refervé, de nos jours pour nostre inftruction & pour noftre glona ness Erje ne fçay mefme fi l'on peut raisonnablement efperer que ceux que viendront apréssnous en agent jamais one semblablesta vesilugar enly answe En effervode poursilovnen voors nivouiron dess plush grind o veloplus majeftuctes es dessplus I disirs que ce qu'on lib, cadde étonnement) danswords admirables Sermons & qua á iij. |