ETTRES DU DE PRUSSE ET DE VOLTAIRE. DE VOLTAIRE. 1753. u dans les gazettes eft-il croyable? On e votre majesté pour empoisonner les ane vie que je vous ai confacrée. Quoi ! -oir avancé que Koenig écrivait contre ■h, fire, il en est auffi incapable que té fait ce que je lui en ai écrit. Je vous a vérité, & je vous la dirai jusqu'au de ma vie. Je fuis au défespoir de à Bareith; une partie de ma famille, e aux eaux, me force d'aller chercher vos bontés feules pourraient me dontoujours tendrement dévoué, quelque ffiez. Je ne vous ai jamais manqué, je rai jamais. Je reviendrai à vos pieds A 3 |