Oeuvres de Boullanger, Band 6 |
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Alexandre amis Anaxarque Antipater armée armes arriva Artabaze auroit aussi-tôt avoient avoit ayant Babylone Bactre Bactriane barbares bataille Bessus Calisthène camp cavalerie charriots chevaux Cilicie Clitus cœur combat côté coup courage Cratère d'Alexandre d'Ephestion Darius de-là dessein devoit dieux dit-il donner donnoit Ecbatane enfans ennemis ensuite entra envoya Ephestion étoient étoit eût faisoient faisoit falloit fils fleuve force fortune fût gloire gouverneur graces Grèce guerre habitans héros hommes Indiens infanterie jamais jetta jours Jupiter l'armée l'Asie l'ennemi l'Euphrate laissa long-tems lui-même Macédoine Macédoniens mains maître Malliens montagnes mort n'avoient n'avoit n'étoit Nabarzane nation néanmoins Néarque officiers Olympias Parménion paroissoit paroître parole passer pays Perdiccas Persépolis Perses personne peuples Philippe Philotas pied Porus pouvoient pouvoit prince prit province reconnoître rendoit rien rois royaume s'étoient s'il Satibarzane Scythes Seigneur seroit seul siége Sogdiane soldats sorte Sysigambis Taxile tems tête troupes trouva vaincu vainqueur venoit victoire vint vouloit voulut xandre
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Seite 14 - Junon, c'est-à-dire la gravité avec- l'amour conjugal, Mercure avec l'éloquence, Jupiter et la sagesse politique. Du côté de l'Asie...
Seite 14 - Elle ne pouvait souffrir que l'Asie pensât à la subjuguer; et en subissant ce joug , elle eût cru assujettir la vertu à la volupté, l'esprit au corps , et le véritable courage à une force insensée qui consistait seulement dans la multitude.
Seite 32 - ... obligea tous les Grecs à marcher sous ses étendards contre l'ennemi commun. Il fut tué dans ces conjonctures; mais Alexandre son fils succéda à son royaume et à ses desseins.
Seite 11 - Grecs étaient instruits à se regarder et à regarder leur famille comme partie d'un plus grand corps, qui était le corps de l'État. Les pères nourrissaient...
Seite 13 - ... parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs, et celles de la société.
Seite 12 - L'idée de liberté qu'une telle conduite inspirait était admirable; car la liberté que se figuraient les Grecs était une liberté soumise à la loi, c'est-à-dire à la raison même reconnue par tout le peuple. Ils ne voulaient pas que les hommes eussent du pouvoir parmi eux.
Seite 17 - Perse étoit affligée par une excessive sujétion, Athènes, dit Platon, ressentit les maux d'une liberté excessive. Ces deux grandes républiques, si contraires dans leurs mœurs et dans leur conduite...
Seite 133 - Perse, qui après les 25 éclipses de Lune avoient eu les Dieux contraires lors qu'ils avoient combatu. Rien n'est si puissant, poursuivit Q.. Curce(a), que la superstition pour tenir en bride la populace. Quelque...
Seite 14 - Perse se trouva faible, et éprouva plusieurs fois, à son dommage, ce que peut la discipline contre la multitude et la confusion, et ce que peut la valeur conduite avec art contre une impétuosité aveugle. Il ne...
Seite 19 - ... absolue, qu'à la fin, moitié par adresse et moitié par force, il se rendit le plus puissant de la Grèce, et obligea tous les Grecs à marcher sous ses étendards contre l'ennemi commun.