Lycée; ou, Cours de littérature, ancienne et moderne, Band 5 |
Was andere dazu sagen - Rezension schreiben
Es wurden keine Rezensionen gefunden.
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
acte aime amour assez Athalie aurait Bajazet beau beautés cacher caractere chercher chose ciel coeur Corneille coup cour crime croire crois cruelle David demande dernier devait Dieu dieux différence dire doit donne doute effet enfin ennemis eût femme fille fils fond force frere général génie genre gloire Grecs heureux homme idées Iphigénie j'ai jeune Joad jours juge juste l'amour l'art l'auteur l'autre l'un laisse loin lui-même main malheurs ment mieux montre mort mours moyen n'en nature naturel Néron ouvrage paraît parler passe passion pensée pere personnages peuple Phédre piece place pleurs poëte porte pouvait premier prince propre puisse Pyrrhus qu'à qu'en qu'un Racine raison reine rend reproche reste rien rôle Roxane s'est s'il sais sait sang scene secret Seigneur semble sentiment serait seul situation soin sort souvent spectateur style sujet talent tems théâtre Thésée tragédie traits trouve vérité veut vient Voilà voit Voltaire vrai yeux
Beliebte Passagen
Seite 95 - Peignez donc, j'y consens, les héros amoureux; Mais ne m'en formez pas des bergers doucereux ; Qu' Achille aime autrement que Thyrsis et Philène ; N'allez pas d'un Cyrus nous faire un Artamène ; Et que l'amour, souvent de remords combattu, Paraisse une faiblesse et non une vertu.
Seite 224 - Confonds dans ses conseils une reine cruelle. Daigne, daigne, mon Dieu, sur Mathan et sur elle Répandre cet esprit d'imprudence et d'erreur, De la chute des rois funeste avant-coureur!
Seite 173 - Hélas! ils se voyaient avec pleine licence. •Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence: Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux.
Seite 241 - Qu'il doit immoler tout à sa grandeur suprême ; Qu'aux larmes, au travail le peuple est condamné. Et d'un sceptre de fer veut être gouverné; Que, s'il n'est opprimé, tôt ou tard il opprime...
Seite 44 - Seigneur, j'ai tout prévu pour une mort si juste : Le poison est tout prêt. La fameuse Locuste A redoublé pour moi ses soins officieux : Elle a fait expirer un esclave à mes yeux; Et le fer est moins prompt, pour trancher une vie, Que le nouveau poison que sa main me confie.
Seite 205 - N'est point tel que l'erreur le figure à vos yeux : L'Éternel est son nom, le monde est son ouvrage; II entend les soupirs de l'humble qu'on outrage, Juge tous les mortels avec d'égales lois, Et du haut de son trône interroge les rois. Des plus fermes États la chute épouvantable, Quand il veut, n'est qu'un jeu de sa main redoutable...
Seite 163 - Ni que du fol amour qui trouble ma raison Ma lâche complaisance ait nourri le poison. Objet infortuné des vengeances célestes, Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes. Les dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang, Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle.
Seite 135 - Je meurs dans cet espoir, satisfaite et tranquille. Si je n'ai pas vécu la compagne d'Achille, J'espère que du moins un heureux avenir A vos faits immortels joindra mon souvenir; Et qu'un jour mon trépas, source de votre gloire, Ouvrira le récit d'une si belle histoire.
Seite 235 - Toutefois, je l'avoue, en ce comble de gloire, Du Dieu que j'ai quitté l'importune mémoire Jette encore en mon âme un reste de terreur. Et c'est ce qui redouble et nourrit ma fureur. Heureux si, sur son Temple achevant ma vengeance, Je puis convaincre enfin sa haine d'impuissance, Et parmi les débris, le ravage et les morts, A force d'attentats perdre tous mes remords 1 Mais voici Josabet.
Seite 159 - Pour en développer l'embarras incertain , Ma sœur du fil fatal eût armé votre main. Mais non : dans ce dessein je l'aurais devancée; L'amour m'en eût d'abord inspiré la pensée ; C'est moi, prince, c'est moi dont l'utile secours Vous eût du labyrinthe enseigné les détours.