Revue de Paris, Band 30Demengeot & Goodman, e.a., 1831 |
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... ment . J'allais donc me plonger dans tous les désordres que l'oisiveté amène à sa suite , lorsqu'une circonstance , qui dans la coutume des choses devait ajouter à mon inconduite , vint m'arracher pour toujours aux dangers de Paris . Il ...
... ment . J'allais donc me plonger dans tous les désordres que l'oisiveté amène à sa suite , lorsqu'une circonstance , qui dans la coutume des choses devait ajouter à mon inconduite , vint m'arracher pour toujours aux dangers de Paris . Il ...
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... qui devait la défendre était un lâche . Malheureuse- ment ce lâche est mon gendre ! .... Tenez , voici une pensée qui renferme toutes les miennes sur votre question : Cent lions commandés par un chakal , le plus lâche des LITTÉRATURE . 51.
... qui devait la défendre était un lâche . Malheureuse- ment ce lâche est mon gendre ! .... Tenez , voici une pensée qui renferme toutes les miennes sur votre question : Cent lions commandés par un chakal , le plus lâche des LITTÉRATURE . 51.
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... ment , et qu'un des interprètes de l'armée montra à mon ami M. Rolland , et à moi . Je ne me souviens pas du com- mencement de cette épître ; je ne pus en dire que le sens à Hussein : « Ton maître te recommande de veiller au poste » qu ...
... ment , et qu'un des interprètes de l'armée montra à mon ami M. Rolland , et à moi . Je ne me souviens pas du com- mencement de cette épître ; je ne pus en dire que le sens à Hussein : « Ton maître te recommande de veiller au poste » qu ...
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... ment existe sans doute entre les mains de l'interprète qui me l'a expliqué , en présence de M. Abaïbi , Algérien , in- terprète attaché à la brigade de M. le général Bertier de Sauvigny , et qui a , je crois , été chef d'escadron dans ...
... ment existe sans doute entre les mains de l'interprète qui me l'a expliqué , en présence de M. Abaïbi , Algérien , in- terprète attaché à la brigade de M. le général Bertier de Sauvigny , et qui a , je crois , été chef d'escadron dans ...
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... ment d'ambitions privées , qui , contenues à grand'peine , gros- sissent de leur courant l'ambition publique ; c'est cette exci- tation fiévreuse et presque machinale qu'éveillent chez un peuple animé par ses souvenirs ces grands noms ...
... ment d'ambitions privées , qui , contenues à grand'peine , gros- sissent de leur courant l'ambition publique ; c'est cette exci- tation fiévreuse et presque machinale qu'éveillent chez un peuple animé par ses souvenirs ces grands noms ...
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Achille Tatius aimé Allemagne amour Anne Comnène assez avaient Basse-Bretagne beau belle Ben Johnson brick c'était Catherine chambre chose chouannerie classes CLÉMENT cœur colléges à pensionnat Comnène consistoire costume coup d'Alger demande DEUXIÈME BRIGAND devant dire donne duchesse écoles élèves enfans étudians femme fille FLAMET François Ier gouvernement gymnase Hereward histoire homme Hussein j'ai JÉRICHO jeune Jouannin jour l'école l'empereur l'enseignement l'Europe l'histoire L'HÔTESSE l'impératrice l'instruction publique l'université laisser latin leçons Leipzig long-temps loterie Louis XIV MADAME DEMBRUN Madhava main maître MARGUERITE ment Monsieur le Ministre mort Nadjah Orloff pacha parler passé pauvre pays pensée Pétersbourg peuple peut-être Pforta philosophie pilau politique Poniatowski premier Prévost princesse professeurs proviseur Prusse qu'un recteur reste rien roman royaume de Saxe Russie sais Saxe Saxe-Weimar scène Schulpforta seigneurs sera seul Shakspeare soir soldats Soltikoff Sophie sort Suzanne teurs théâtre tion trône trouve Varangien voiture voulait Walter Scott Wolsey
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Seite 35 - Desiring this man's art and that man's scope, With what I most enjoy contented least ; Yet in these thoughts myself almost despising, Haply I think on thee, and then my state, Like to the lark at break of day arising From sullen earth, sings hymns at heaven's gate; For thy sweet love remember'd such wealth brings That then I scorn to change my state with kings.
Seite 234 - ... être heureux dans la religion , que je conserve dans toute » sa force l'impression de grâce qui m'ya amené ; il faut » que je veille sans cesse à éloigner tout ce qui pourrait
Seite 240 - C'est l'inconsolable douleur de cette perte qui lui fait dire avec un accent de conviction naïve bien aussi pénétrant que nos obscurités fastueuses : « Si les pleurs et les soupirs ne peuvent porter » le nom de plaisir, il est vrai néanmoins qu'ils ont une » douceur infinie pour une personne mortellement
Seite 244 - ouvrage périodique d'un goût » nouveau, dans lequel on s'explique librement sur...
Seite 206 - ... sans lumières générales , des procureurs et des avocats au lieu de jurisconsultes , des séminaristes et des abbés au lieu de théologiens , je ne pourrais indiquer un plus sûr moyen , pour arriver à ce beau résultat , que la dissémination et l'isolement des facultés. Hélas ! nous avons une vingtaine de misérables facultés éparpillées sur la surface de la France , sans aucun vrai foyer de lumières , comme nous avons un grand nombre de cours royales sans magistrature. Une vingtaine...
Seite 247 - ... emploie tous les jours sept ou huit heures à l'étude ; qui cherche rarement les occasions de se réjouir ; qui résiste même à celles qui lui sont offertes, et qui préfère une heure d'entretien avec un ami de bon sens, à tout ce qu'on appelle plaisirs du...
Seite 245 - style de cet ouvrage; il n'ya ni jargon, ni affectation, » ni réflexions sophistiques; c'est la nature même qui » écrit. Qu'un auteur empesé et fardé paroît fade en » comparaison! Celui-ci ne court point après l'esprit, » ou plutôt après ce qu'on appelle ainsi. Ce n'est point » un style laconiquement constipé, mais un style coulant, » plein et expressif. Ce n'est partout que peintures et » sentiments, mais des peintures vraies et des sentiments
Seite 234 - Qu'on a de peine, mon cher frère, à reprendre un peu de vigueur, quand on s'est fait une habitude de sa faiblesse; et qu'il en . coûte à combattre pour la victoire, quand on a trouvé longtemps de la douceur à se laisser vaincre!
Seite 168 - Créons pour l'amélioration de la race bretonne quelques-unes de ces primes que nous réservons aux chevaux, et faisons que le clergé nous seconde en n'accordant la première communion qu'aux seuls enfants parlant le français.
Seite 230 - Adolphe^ ont eu cette bonne fortune qu'on mérite toujours si on l'obtient,, de s'offrir, sous une enveloppe de résumé admirable, au regard sommaire de, l'avenir. On commence à croire que, sans cette tour solitaire de René, qui s'en détache et monte dans la nue , l'édifice entier de Chateaubriand se discernerait confusément à distance.