La cour de Rome et l'esprit de réforme avant Luther, Band 3

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Thorin et fils, 1897

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Seite 449 - ... les commandements de Dieu et à pratiquer le bien pour gagner le salut éternel » (19), et l'optimisme de Zell : « maintenant est venu le temps d'un parler viril et sans crainte
Seite 219 - le synode de Baie, légitimement réuni dans le Saint-Esprit pour l'extirpation de l'hérésie, la réforme de l'Église dans son chef et dans ses membres, et le rétablissement de la paix entre les peuples chrétiens, ne pouvait pas être, par qui que ce soit, non pas même par le pape, dissous, transféré ou ajourné, sans le consentement de ses membres
Seite 51 - ... sint, et non solummodo duo aut tres, sed decem aut duodecim, imo et singulis regnis singulos prœfici posse, nulla sibi invicem potestatis aut jurisdictionis auctoritate prœlatos.
Seite 367 - Si vous deveniez chrétien, .on reverrait avec la paix, refleurir sur la terre l'âge d'or d'Auguste célébré par les poètes... Nous vous nommerions empereur des Grecs de l'Orient, et, dès lors, vous posséderiez de droit ce que vous occupez aujourd'hui par la force. Les chrétiens eux-mêmes vous aideraient à étendre votre empire. Nul mortel ne vous surpasserait en gloire et en puissance. Vous auriez enfin cette autre gloire : vous deviendriez le soutien de l'Eglise romaine et elle se servirait...
Seite 129 - ... grand bien.» Et, comme Jean XXIH résistait, Pierre d'Ailly alla plus loin que Guillaume Pilastre, et dit que l'Eglise universelle, représentée par un concile général, était en droit d'ôter le pontificat au pape le plus légitime et même le plus homme de bien, s'il n'était pas possible de donner par une autre voie la paix à l'Eglise. Le pape toutefois ne cédait point, et il est douteux que tant d'efforts eussent vaincu sa résistance si un coup terrible ne l'eût soudain désarmé....
Seite 287 - Trêves, et quatre laïcs : le comte palatin du Rhin, le duc de Saxe, le margrave de Brandebourg et le roi de Bohème.
Seite 267 - La cérémonie se termina par un long défilé : tous les Grecs, l'empereur en tête, et tous les Latins vinrent fléchir le genou devant le pape et lui baiser la main.
Seite 320 - Piccolomini, après les diètes de Ratisbonne et de Francfort, « la chrétienté n'a plus de chef qu'elle respecte ni à qui elle veuille obéir ; les titres d'empereur et de souverain pontife ne représentent plus pour elle que des noms sans réalité, et ceux qui les portent ne sont plus à ses yeux que de vaines images...
Seite 265 - II ya ici une calomnie évidente : le formulaire même de l'acte d'Union porte que le Saint-Esprit procède du Père et du Fils comme d'une seule cause et d'un seul principe.
Seite 310 - Pontife et répandit avec abondance des semences de vie nouvelle. Une partie de ces semences n'a pu germer à cause de l'endurcissement des cœurs, une autre partie a porté des fleurs, il est vrai, mais elles ont promptement péri à cause de la négligence et de la lâcheté des hommes.

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