L'Europe pendant le consulat et l'empire de Napoléon, Volume 10 |
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L'Europe pendant le Consulat et l'Empire de Napoléon Jean-Baptiste Honoré Raymond Capefigue Affichage du livre entier - 1840 |
L'Europe pendant le consulat et l'empire de Napoléon, Volume 10 Jean Baptiste Honoré Raymond Capefigue Affichage du livre entier - 1842 |
L'Europe pendant le Consulat et l'Empire de Napoléon Jean-Baptiste Honoré Raymond Capefigue Affichage du livre entier - 1840 |
Expressions et termes fréquents
aide de camp alliés armistice attaquer Austerlitz Autrichiens avaient banque bataille d'Austerlitz bataillons Bavière Berlin Bernadotte billets bivac Brünn Buxhowden c'était cabinet campagne cavalerie champ de bataille Chateaubriand coalition colonnes commandement comte corps czar d'Alexandre d'infanterie d'Italie d'Ulm Danube devait division empereur ennemis Fouché général Mack général Savary gouvernement grenadiers guerre Haugwitz hommes Jean de Lichtenstein Kutusoff l'Allemagne l'Angleterre l'archiduc Charles l'armée autrichienne l'armée française l'armée russe l'Autriche l'électeur l'em l'empereur Alexandre l'empereur Napoléon l'ennemi l'esprit l'Inn Lannes lieutenant général madame de Genlis Madame de Staël maison d'Autriche manœuvres marche maréchal Davoust maréchal Soult ment militaire ministre Moravie mouvement Munich Murat n'avait Napo Napoléon négociations neutralité officiers ordre paix paroles pereur politique position pouvait Presbourg prince Bagration prince de Lichtenstein prince Dolgorouski prince Jean Prusse prussien régiment retraite S. M. l'empereur s'était sénat serait soldats Suwarow Talleyrand Telnitz Templiers tion traité traité de Presbourg troupes victoire Vienne voulait
Fréquemment cités
Page 218 - ... s'est noyé dans les lacs. Quarante drapeaux, les étendards de la garde impériale de Russie, cent vingt pièces de canon, vingt généraux, plus de trente mille prisonniers sont le résultat de cette journée à jamais célèbre. Cette infanterie tant vantée et en nombre supérieur n'a pu résister à votre choc, et désormais vous n'avez plus de rivaux à redouter.
Page 218 - Une armée de cent mille hommes, commandée par les empereurs de Russie et d'Autriche, a été, en moins de quatre heures, ou coupée ou dispersée. Ce qui a échappé à votre fer s'est noyé dans les lacs.
Page 91 - Cette armée qui, avec autant d'ostentation que d'imprudence, était venue se placer sur nos frontières, est anéantie. Mais qu'importe à l'Angleterre? son but est rempli. Nous ne sommes plus à Boulogne , et son subside ne sera ni plus ni moins grand. « De cent mille hommes qui composaient cette armée , soixante mille sont prisonniers ; ils iront remplacer nos conscrits dans les travaux de nos campagnes...
Page 193 - ... verriez votre Empereur s'exposer aux premiers coups , car la victoire ne saurait hésiter, dans cette journée surtout où il y va de l'honneur de l'infanterie française, qui importe tant à l'honneur de toute la nation.
Page 219 - ... de gloire qui seul pouvait lui donner du prix à mes yeux; mais, dans le même moment , nos ennemis pensaient à la détruire et à l'avilir; et cette couronne de fer conquise par le sang de tant de Français, ils voulaient m'obliger...
Page 69 - Le vieux général ne s'est point laissé effrayer ; il a insisté sur les huit jours, en me pressant d'en porter la proposition à l'empereur. »Ce malheureux général est prêt à signer la perte de l'Autriche et la sienne; et pourtant dans cette position désespérée, où tout en lui doit souffrir cruellement^ il ne s'abandonne pas encore ; son esprit conserve ses facultés, sa discussion est vive et tenace.
Page 91 - SOLDATS DE LA GRANDE ARMÉE , En quinze jours nous avons fait une campagne. Ce que nous nous proposions est rempli.
Page 193 - L'armée russe se présente devant vous pour venger l'armée autrichienne d'Ulm. Ce sont ces mêmes bataillons que vous avez battus à Hollabrunn, et que depuis vous avez constamment poursuivis jusqu'ici. « Les positions que nous occupons sont formidables, et, pendant qu'ils marcheront pour tourner ma droite, ils me présenteront le flanc. Soldats, je dirigerai moi-même vos bataillons.
Page 186 - Il se loua beaucoup du bon accueil , des grâces et des bons sentiments personnels de l'empereur de Russie, et même du grand-duc Constantin, qui eut pour lui toute espèce de soins et d'attentions; mais il...
Page 66 - Après avoir échangé quelques complimens, je me nommai; puis , entrant en matière , je lui dis que je venais de la part de l'empereur le sommer de se rendre , et régler avec lui les conditions de la capitulation. Ces expressions lui parurent insupportables, et il ne convint pas d'abord de la nécessité de les entendre. J'insistai, en lui observant qu'ayant été reçu, je devais supposer , ainsi que l'empereur , qu'il avait apprécié sa position : mais il me répondit vivement qu'elle allait...