Geschichte der deutschen Höfe seit der Reformation, Band 5 |
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... England in der Südseecompagnie gleich- zeitig hatte . Diese mit der orientalischen Compagnie in Verbindung gesezte ungeheure Lotterie bestand aus hundert Classen , jede zu tausend Loosen und ward alle Jahre viermal gezogen . Die Summe ...
... England in der Südseecompagnie gleich- zeitig hatte . Diese mit der orientalischen Compagnie in Verbindung gesezte ungeheure Lotterie bestand aus hundert Classen , jede zu tausend Loosen und ward alle Jahre viermal gezogen . Die Summe ...
Seite 8
... England ausdrücklich nach Italien direct machen zu lassen versprechen . Noch fehlt ein wesentliches Element in diesem Chaos der Hofzustände Wiens : der Hofbettel . Er schrieb sich aus den Zeiten Kaiser Leopold's her , der geradezu aus ...
... England ausdrücklich nach Italien direct machen zu lassen versprechen . Noch fehlt ein wesentliches Element in diesem Chaos der Hofzustände Wiens : der Hofbettel . Er schrieb sich aus den Zeiten Kaiser Leopold's her , der geradezu aus ...
Seite 33
... England ; kein Herr erscheint hier , als der Oberhofmeister , um der Kaiserin die Ankunft des Kaisers zu melden . Seine Kaiserliche Majestät beehr- ten mich auf sehr verbindliche Weise mit mir zu spre- chen ; mit andern Damen spricht er ...
... England ; kein Herr erscheint hier , als der Oberhofmeister , um der Kaiserin die Ankunft des Kaisers zu melden . Seine Kaiserliche Majestät beehr- ten mich auf sehr verbindliche Weise mit mir zu spre- chen ; mit andern Damen spricht er ...
Seite 42
... England schon im funfzehnten Jahrhun- dert die Kriege der Rosen gewesen waren : Ecrafirung des alten Adels und darauf folgende Stiftung eines neuen ; was in Frankreich im sechszehnten Jahrhundert die Hugenottenkriege 42.
... England schon im funfzehnten Jahrhun- dert die Kriege der Rosen gewesen waren : Ecrafirung des alten Adels und darauf folgende Stiftung eines neuen ; was in Frankreich im sechszehnten Jahrhundert die Hugenottenkriege 42.
Seite 46
... Stände privilegirt , je höher ist derselbe Herr und Potentat und je größer ist seine Reputation . " Dieser in England , wo es eine dritte Potenz , die gentlemen , die Gemeinen giebt , sehr ,, richtige Saß war in Destreich , wo die zwei 46.
... Stände privilegirt , je höher ist derselbe Herr und Potentat und je größer ist seine Reputation . " Dieser in England , wo es eine dritte Potenz , die gentlemen , die Gemeinen giebt , sehr ,, richtige Saß war in Destreich , wo die zwei 46.
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Beliebte Passagen
Seite 180 - Elle aperçoit l'illusion qu'on lui fait, sans avoir la force de la dissiper. Elle en témoigne souvent de l'impatience, et a dit plus d'une fois que tout ce qu'elle demandoit le plus ardemment à Dieu , c'étoit de lui ouvrir les yeux sur les affaires. Elle n'a pas laissé cependant d'abolir bien des abus, et de retrancher des dépenses inutiles. Elle médite de faire encore beaucoup de changements, tant dans les finances que par rapport au militaire, et sur l'un et l'autre objet elle propose ordinairement...
Seite 180 - ... changements, tant dans les finances que par rapport au militaire, et sur l'un et l'autre objet elle propose ordinairement à ses ministres le système de Votre Majesté pour exemple. Elle leur parle quelquefois de la différence notable des revenus que Votre Majesté tire de la Silésie, et de ce que cette province a rapporté à elle et à ses ancêtres, et elle ne se persuade pas des raisons qu'ils lui donnent que le pays étoit foulé. Elle se propose aussi de régler un jour l'état militaire,...
Seite 181 - ... insurmontables. Il n'ya que les officiers qui n'ont point d'appui , qui y profiteroient, en recevant plus régulièrement leur paye. Mais ceux qui ont du crédit en cour, soit par eux-mêmes, soit par leurs parents, trouvent beaucoup mieux leur compte dans le désordre qui y règne aujourd'hui. Pour obvier même de loin à cette réforme, les ministres et les généraux font naître mille difficultés pour les moindres changements que l'Impératrice-Reine veut introduire.
Seite 181 - ... étoit obligé de marcher, soit dans les grandes chaleurs, soit par les pluies, et qu'il falloit les réformer sur le modèle des Prussiens. On lui représenta que ces longs habits étoient nécessaires pour couvrir le soldat la nuit; que les troupes de Votre Majesté n'en avoient pas besoin, puisque chaque chambrée avoit une couverte.
Seite 110 - L'amour extrême que l'Empereur et l'Impératrice lui portent, les empêchent de le corriger dûment d'un défaut qui n'aura que trop d'influence sur son caractère. Il n'aime que le militaire et n'estime que ce qui ya du rapport, au point qu'il n'adresse presque la parole qu'aux officiers et à leurs femmes. Il ne montre aucun penchant pour l'étude et l'on aura de la peine à lui faire apprendre les choses les plus communes et qu'il ne pourra ignorer sans honte.
Seite 111 - L'année passée, lorsque l'Impératrice jouoit à Schônbrunn, il lui prenoit souvent de l'argent, et le distribuoit à de pauvres officiers et à des soldats. Il est difficile jusqu'ici de décider s'il aura beaucoup d'esprit. Je doute cependant qu'il ail jamais un grand génie. Tous les traits qu'on rapporte de lui et qu'on admire, marquent à peine de la vivacité d'imagination, et aucun de la sagacité, ni quelque heureuse combinaison d'idées. Il n'ya qu'une réponse qu'il a donnée au comte...
Seite 267 - Hongrois, pressa les protestants et ne remédia à presque aucun de leur griefs, donna mauvaise idée de sa piété, en témoignant peu de respect pour la religion , au point d'aller un jour à cheval à l'église : ce qui choqua fortement le clergé, et lui attira des censures publiques.
Seite 271 - Robinson lui en a même parlé, par ordre de sa cour. Quoiqu'elle joue du clavecin, qu'elle chante fort bien et qu'elle entende assez la musique, elle ne s'en soucie pas beaucoup. Un de ses plaisirs favoris est la promenade, et surtout à cheval. Elle y court à faire trembler. L'Empereur et plusieurs antres ont vainement tâché de l'en détourner.
Seite 25 - ... manière d'être et de parler de ce souverain, et disait avec quelle bonhomie il allait solliciter la première camériste pour obtenir de rentrer dans le lit nuptial, quand, par mécontentement, la reine l'en avait banni; le temps qu'on lui faisait désirer cette réconciliation était calculé entre la reine et sa camériste , et toujours mesuré à la nature du délit.
Seite 265 - L'on ne sauroit disconvenir que ce ne soit une belle personne. En montant sur le trône, elle trouva le secret de se faire aimer et admirer de tout le monde.