d'un autre phénomène. C'est ervations multipliées et répéent à cette vérité générale, que origine, une raison, ou, ce même, que tout effet a une le mot cause pour synonyme ue l'idée de cause diffère de comme nous allons bientôt le XIX. ssentiellement porté à la re on des choses. rerum cognoscere causas! t encore une expression figurée, sy stance et essence. M raiso toute différ d'un une s En il fa qui e toute succes modifi autre s cement XX. Mais si toutes les choses ont raison, cette origine est-elle toutes, ou bien ont-elles chacu différent? Déjà cette question d'un examen sommaire qui va une solution importante. XXI. En remontant sans cesse d'orig il faut nécessairement s'arrêter qui est elle-même sans origine, toute substance doit de toute successivement d'une modificat modification, mais elle ne peut autre substance. On voit qu'elle cement ni fin, en un mot, qu'e donc quelque chose pense de de INDIVIDUUS, indivisible. C'est une losophes, qui ne peut être divisée qu'elle est : c'est, si l'on veut, une I n'est point d'unité qui ne soit din résulte qu'en divisant, par exemun corps à l'infini, on en pourrait en nombre infini, qui n'auraient, u'une seule origine et qu'une seule rigine et la substance du corps qu'on s faire. s, dit Montesquieu, les rapports nént de la nature des choses. » Ainsi sont que ses propriétés essentielles, qu'elle est. Par exemple, sentir ou l'homme. C'est ainsi que qualités is, caractères, lois sont synonymes. adm êtres tellige dire penser S'ils en op si l'on ment se con rait di ils étai ce qu'o brut, i de toute voir à e nse d est une divise t, une it di exem rrai: ent. euk or admettre qu'il existe de toute ét êtres que Dieu. Mais ces êtres telligens ou dépourvus d'intellig dire essentiellement capables ou penser. S'ils étaient intelligens, leurs p en opposition avec celles de l'être si l'on suppose que ces pensées so ment les mêmes que la sienne, se confondraient dès lors en une s rait dire qu'ils ne font qu'un; si, ils étaient dépourvus d'intelligen ce qu'on appelle la matière, être brut, inerte et insensible, coexis de toute éternité, Dieu n'aurait al voir à exercer sur un être qui n'én ne signifie pas autre chose que naissance à d'autres êtres (2). mot a la même signification. on de Pythagore formulée dans ces ac terras, camposque liquentes lobum lunæ, Titaniaque astra it, totamque, infusa per artus, ■em et magno se corpore miscet. VIRG., Eneid., lib. VI, v. 724.. cception primitive; mais dans le sens , aussi bien que le mot essence, ne nt, comme nous le verrons par la té ou l'assemblage des propriétés dist classer les êtres sous différens genres -tte acception, la nature ou essence pro J d'un à-dir. nous la na. signe mal c et de idées classi et ess comm de resz mieux général (1) L |