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elles n'est ainsi que la transforidées antérieures; en d'autres teridée nouvellement acquise n'est e vue nouveau d'une idée ou de s que nous avions déjà. Toutes quent une seule et même origine remière; et il suffit, comme on analyser ce qui se passe en nous sition d'une nouvelle connaissance, r la manière dont toutes nos idées,

métaphoriques, et que la transforman'est que cette même idée envisagée evue nouveau? Toutes les expressions aphysique sont figurées.

sonner

une ser

mière q sation n

contraire

mes sens la même Ces dé

ne cons à lui-m pourtant

mieux p

sibles. E

son forme tout-à-ladernier de

sonnemens peuvent se traduire ainsi. une sensation entièrement semblable à mière que j'ai déjà éprouvée; cette se sation n'est donc que la première ellecontraire, j'éprouve une sensation dif mes sensations antérieures, donc elle la méme; donc elle est autre.

Ces déductions paraissent futiles, en ne consistent que dans un jugement à lui-même sous une autre forme. pourtant cela de commun, ainsi qu'o mieux plus tard, avec toutes les déduc sibles. Entre deux jugemens, dont la son forme un raisonnement, il y a to tout-à-la-fois, identité et diversité. Ains dernier des deux raisonnemens qu'on

‣ idée antérieure. J'ai d'ailleurs rouvé déjà que le raisonnement le à la génération de toutes nos

ue tout raisonnement consiste raison de plusieurs jugemens, esprit découvre, soit un rapport un rapport de différence. Mais ais plus loin en disant que toute 1 rapport de différence implique la perception d'un rapport d'ideny compare toujours le moi avec comparant ses modifications, et ption d'un rapport d'identité imement la perception d'un rapport ar, nous ne pouvons comparer

sieurs divers &

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plusieurs

une véri mathéma Consid

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ne sont a

chose, il chose entr Quæ sunt

inter se. Ainsi tous

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sieurs attributs, par exemple, sont, en mê divers et identiques, enfin, comment il n'y ne soit tout-à-la-fois simple et composé, o plusieurs et un sont la même chose; et c'est une vérité incontestable, fondée sur une dén mathématiquement rigoureuse.

Considérez cette pièce d'or: voilà une sub est malléable, elle est ductile, voilà deux q férentes. Mais la malléabilité n'est qu'une m qui, comme telle, ne diffère pas de l'or su n'en est pas autrement de la ductilité; car tribut ne diffère de son sujet. Or, si plusieu ne sont ainsi, avec leurs sujets, qu'une seu chose, ils ne sont également qu'une seul chose entre eux. C'est une vérité convertie e Quæ sunt eadem cum uno eodemque tertio,

inter se.

Ainsi tous les attributs divers d'un même

motion de leur diversité est par con-
le de la notion de leur identité. Or,
qu'une substance, tous les êtres de
donc que les attributs divers de cette
et comme tels, ils sont identiques
mot, tout est identique parce que
niel; et, c'est en somme
que repose le système universel des
i sur cette doctrine.

sur cette

issimuler qu'il ne sorte de cette proéquences qui d'abord doivent nous ges. Mais, puisque enfin elle est vraie, parce qu'elle a sa raison dans des véont elle dérive, il faut bien aussi que dont elle est elle-même la raison, vraies; et, quelque contradictoires

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que nou

peuvent on bien Nous so deux so Que c

nous un rerum co

que par 1 monie.

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